Eren, jeune lycéen, fêtard, peu studieux et... gay bien sûr^^
Mais dans peu de temps, il y'a les examens, et la remise des diplômes....
Alors comment se rapprocher de ce gars dans sa classe qui l'attire depuis le premier jour, mais qui semble être b...
Arrivé devant la porte de chez les « Kirstein », je pénètre à l'intérieur sans même frapper, ni même sonner. Je traîne ici depuis que j'ai 7 ans, et comme toute la famille de Jean m'a très vite adopté, je me suis toujours sentit comme leur second fils.
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Monsieur et Madame Kirstein sont des personnes adorables, ouvertes, et surtout hyper tolérantes. Ils ont su depuis longtemps que leur fils aimait les hommes, mais ils l'ont toujours accepté sans problème, sans même le dérangé avec ça... Comme sa mère me dit souvent : « Tant que notre fils se protège et qu'il est heureux, c'est le plus important pour nous. » Quelle chance... Mais en même temps, Jean à une grande sœur, donc pour les petits-enfants, tout n'était pas perdue pour eux.
Dans un sens, j'envie mon ami, car même si ma mère m'aime et m'accepte comme je suis, j'aurais tellement aimé avoir une meilleure relation avec mon vieux...
Bref, une fois à l'intérieur, je fais un détour pas la cuisine pour récupérer une poche de glace, et grimace de douleur en la déposant sur ma joue. Puis en passant devant le salon, je salue les parents de Jean qui me répondent sans détourner les yeux de leur télé. C'est dingue de voir à quel point ils sont accros à ce petit écran... Enfin, je peux parler, je ne suis pas mieux avec mes jeux vidéo.
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Je monte les marches qui mènent à la chambre de Jean, espérant la trouver de meilleure humeur.
Depuis cette « altercation » avec Armin, traîné avec lui est devenu une vraie corvée. Jean était devenu exécrable (enfin plus que les autres jours), envoyé chier tout le monde, et il avait tendance à être beaucoup plus agressif lors de ses entraînements de boxe auxquels j'assistais.
Quant à notre petite tête blonde, il avait effectivement bien changé ces derniers jours. Il ne déjeuné plus avec nous le midi, nous éviter pendant les pauses, et disparaissait rapidement à la fin des cours. Jean et moi avions bien tenté de le suivre, trop curieux de savoir où il se rendait à chaque fois, mais même en combinant nos deux cerveaux, Armin restait largement trop intelligent pour nous deux. Toutefois, nous étions persuadés d'une chose : qu'il partait courir rejoindre cette mystérieuse personne rencontrée à la bibliothèque.
