En se levant ce matin Noria ne pensais pas que sa vie allait changer d'une manière dont elle n'aurait jamais imaginé, Noira est une jeune fille de 21 ans, elle vit avec sa mère et son frère son père est mort quand elle était petite. C'était une belle jeune fille avec des petites rondeurs, assez mignonne, brune, de petite taille c’était une fille assez simple elle ne rêvait pas de grandeur mais sa vie vas totalement changer lorsqu’elle va faire la rencontre de deux homme qui vont marquer sa vie à tout jamais. Deux homme avec qui elle pourra faire la différence entre amour désir passion et attirance mais un seul d’entre eux sera le grand amour de sa vie.
Comme tous les matins elle prépara son petit-déjeuner, et ensuite fit ses autres rituels du matin (comme toutes les filles). Et directe à l'université
Arriver à l'université elle alla directe retrouver sa bande d'amies et les salua
_bonjour les filles
_bonjour Noria (répondit Carine, c'était sa plus fidèle amie)
Et les autres la saluèrent à tour de rôle.
-tu n'as pas oublié ta promesse
J'avais promis à Carine de l'accompagner à un match de football, elle voulait absolument me faire rencontrer quelqu'un, car j'étais la seule célibataire parmi mes amis.
- bien sûr que je vais y aller, je te l'avais promis.
-je vais passer te chercher vers 16 h et je t'interdis de me faire attendre.
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La journée se passa très vite.
Arrivé chez moi, il était déjà 14 h je me suis rapidement enfilé quelques choses et je me suis fait un léger maquillage, Carine passa me chercher quelques minutes plus tard.
- tu es prête ?
Me dit Carine En m'attirant par le bras vers la sortie
-attends-je vais prendre mes clefs.
On s'en alla directe après
Arrivé, Carine était allée retrouver son copain et moi, j'étais là à tenir la chandelle comme d'habitude, mais ça me faisait plaisir de la voir heureuse dans les bras de son chéri et je commençais à m'imaginer moi aussi dans les bras d'un homme
Je suis sorti pour aller acheter un truc pour passer le temps, je commençais à m'ennuyer. En descendant les escaliers pour mon pied, s'est coincé à un bout de métal heureusement, c'est mon jean qu'il avait troué.
Je ne pouvais pas me dégager, j'essayais de toutes mes forces, mais rien une grosse brute arrivas à toute vitesse sans se soucier que j'étais coincée dans les escaliers le métal risquerait de me percer la cheville, il me poussa sans tenir compte de ma situation, c'est là que j'ai senti une main me rattraper, un homme grand et muscler, il avait attrapé ma jambe et me tira vers lui, j'étais complètement intimidé par son regard dur alors il m'avait dégagé d'un simple geste et j'avais atterri directement contre sa poitrine, j'ignore pourquoi ?
Mais mon cœur, c'est mis à battre très fort, je croyais qu'il allait sortir de ma poitrine, j'étais plutôt gêné par la situation, j'ai eu peur à un moment qu'il l'entend, alors je me suis dégagé de lui en vitesse et le remercier de m'avoir aidé.
-merci de m'avoir aidé
- la prochaine fois regarde où tu vas ?
D'un ton sec
Alors comme ça, j'ai fait exprès de coincer ma jambe ! Me suis-je dit avec ironie.
Et en plus de ça mon jeans préféré n'allais pas s'en remettre il était complètement fichu.
J'adorais vraiment ce pantalon!!
Il me tourna le talon, je pensais qu'il voulait connaître au moins mon nom, mais rien même pas un au revoir.
Je suis donc allé acheter du pop-corn pour grignoter pendant le match, j'ai essayé de chercher mon sauveur parmi la foule, mais rien, j'avais envie de le revoir, il y avait une d'aimant qui m'attirait vers lui qui m'attirait vers lui.
J'ai passé deux longues heures à attendre que le match se termine, quand l'arbitre donna le coup de sifflet pour annoncer la fin du match, j'étais enfin délivré, je voulais sortir pour revoir cet homme sans trop savoir pourquoi je voulais le voir.
J'étais dans le parking les yeux, partout cherchant mon homme mystère, mais rien.
-tu cherches quelqu'un ?
Me demanda Carine
Je savais que si je déballais tout à Carine elle allait me parler de ça Durant toute la journée.
Alors j'ai décidé de lui dire une partie de la vérité.
-personne, je voulais juste retrouver ce type qui m'a évitée.
De perdre ma jambe.
- tu es attirée par lui...
-Moi non pas du tout, je voulais juste le remercier.
En secouant la tête avec un air décontracté
Elle avait tout deviné comme toujours.
-ah oui, c'est ça le remercier.
Elle me regarda avec moquerie.
Je croyais que tu l'avais remercié tout à l'heure.
-je vais le refaire, c'est tout.
Et on éclata de rire toutes les deux dans le parking.
Le copain de Carine venait de nous interrompt
-vous avez fini de rire heo je suis là.
-mon petit chou, il ne peut pas rester sans attention.
Elle lui donna un bisou sur la joue.
Disons les gestes affectifs me dérangeais, j'étais heureuse pour mon amie, mais je comprendrais jamais l'amour.
-hé les amoureux, on y va ou pas ? Où vous allez vous trouvez une chambre, je peux patienter vous savez.
-t'inquiète pas vas d'abord te ramener et ensuite moi et Carine on va jouer à maman et à papa
-ah oui, à maman et papa, c'est un nouveau jeu.
Je fis semblant de ne rien comprendre
-mais merci papa et maman, votre fille meurt de faim alors.
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Arrivé chez moi cette nuit-là, je n'arrêtais pas de penser à ce type, je n'arrivais pas à enlever son image de ma tête
- arrête de penser à lui, alors que lui ne pense sûrement pas à toi.
Me suis-je dit
Pourquoi est-ce que je pensais à cet homme, j'avais juste envie de le revoir une dernière fois. J'ai eu du mal à m'endormir ce soir, car l'image de cet homme m'avait hanté toute la nuit.
En me réveillant ce matin, j'ai pris ma douche et fais mes autres rituels du matin quand j'ai remarqué que j'étais déjà très en retard à cette heure trouvé un taxi pour le centre-ville, c'était un véritable casse-tête, j'allais être doublement ou triplement en retard.
J'étais devant chez moi guettant arriver d'un taxi, que je n'arrivais pas à trouver quand une voiture blanche se gara devant moi, je ne pouvais distinguer la personne parce que les vitres étaient teintées en noir.
Peut-être que c'est lui, l'homme que je n'arrivais pas à sortir de ma tête.
Que dis-je il ne connaît même pas mon adresse
Mon visage resta figer en voyant que c'était lui, comment m'a t'il retrouvé.
L'homme qui était constamment dans ma tête depuis hier soir était là devant moi
-bonjour monte, je te dépose
Il était sérieux là !
Bien qu'il me hante l'esprit, j'étais quand même.
Assez idiote pour monte dans la voiture d'un inconnu.
-non merci
La façon dont il me parlait, on dirait une gamine ou un petit chien
Oh, vas-y monte mon petit toutou ! Rigolais-je dans ma tête.
- désolé, mais je ne vais pas te le redire monte et je te dépose.
On dirait qu'il était sérieux parce que le ton de sa voix avait changé, mais je m'en fichais royalement
- tu dois sûrement parler comme ça à ta petite chienne, mais je suis très loin de l'être, si c'est comme ça que tu parles avec toute les filles que tu croises alors tu es qu'un jeune homme très mal éduquer, tu devrais prendre des cours pour être plus sociable.
Il m'avait souri, son sourire était vraiment craquant, ce qui me fit imaginer un baiser avec lui un instant ce que j'avais vite sachez de mon esprit.
- une vraie gamine.
Sur ces mots, je commençais à marcher pour changer de route.
Voyant que je n'allais pas monter dans voiture.
Alors il descendit de la voiture et se dirigea vers moi, j’étais nez à nez avec lui, j'avais le cœur qui battait vraiment fort, je ne savais pas trop si c'était parce que j'allais me faire kidnapper par un beau mec ou si c'était parce qu'il était un beau mec. Alors il descendit de la voiture et se dirigea vers moi, j’étais nez à nez avec lui, j'avais le cœur qui battait vraiment fort, je ne savais pas trop si c'était parce que j'allais me faire kidnapper par un beau mec ou si c'était parce qu'il était un beau mec.
-je m'appelle Hans maintenant dis-moi ton nom.
- Noria
Réussis-je à dire.
-on est plus des inconnus maintenant, tu peux monter dans la voiture et de toute façon, je t'ai sauvé la jambe hier, si j'avais envie de te faire du mal hier, j'avais le champ libre.
Là, il avait marqué un point.
Il ouvrit la portière et me fit signe de monter de toute façon, je n'allais pas trouver un seul taxi libre à cette heure et il avait raison.
Alors j'ai fini par monter dans la voiture.
Le trajet se passa en silence, je ne savais pas trop quoi dire après lui avoir donné l'adresse.
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Il me déposa directement à l'université.
Je lui fis un petit merci timidement.
J’avais envie de lui demander comment il avait eu mon adresse, mais je n'osais pas
-demain, je passe te chercher à 7 h.
- non ça ne sera pas nécessaire
- embrasse-moi !
-comment ça t’embrasser ?
Il ne savait que donner des ordres.
Cet homme étais complètement barge je n’allais toute de même pas le laisser m'embrasser je venais à peine de le rencontrer, j'ai pris mon sac j'allais descendre de la voiture, il me prit par le bras et s'approcha de moi j'ai cru qu'il allait m'embrasser.
-très bientôt, tu vas le faire sans que je te le demande.
Il me donna un léger baiser sur la joue.
-bonne journée Noria...
Et il ouvrit la portière pour que je puisse descendre. Je suis descendu sans rien dire, je ne comprenais pas ce qui venait de se passer.
Quelques minutes, plus tard, j'étais assise dans la salle avec Carine lui racontant ce qui m'était arrivé
- alors il te plaît.
- je ne sais pas peut-être, disons qu'il me prend pour sa chienne, il n'arrête pas de me donner des ordres.
-je suis certaine qu'il te plaît parce que quand tu parles de lui, on dirait qu'il y a des petits cœurs dans tes yeux.
- vraiment tes sérieuse là, je ne sais pas où tu trouves ce genre d'idées et d'expression, arrête ce n'est pas du tout ça, il est bel homme, c'est vrai, mais je ne sais rien de lui et comment a-t-il eu mon adresse.
-peut-être qu'il est dangereux, tu as raison sois prudente, mais ne sois pas trop dur avec lui, il t'a peut-être vue comme ça par hasard et dis-moi demain, tu vas l'attendre à 7 h.
-il peut toujours rêver.
Carine éclata de rire.
- tu vas aller regarder l'appartement avec moi après les cours.
- mais bien sûr
J'avais hâte de vivre seul, j'avais 21 ans et il était grand temps que je vive seule
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Après les cours moi et Carine on était allé voir l'appart C'était un très jolie appart avec une chambre accouché un petit salon et une cuisine
Je l'aimais parce qu'elle était très aérée et la chambre était accompagnée d'une Douche.
Alors je l'ai tout de suite acheté, il était simple mais joli, je sentais que j'allais adorer vivre ici
Après moi et Carine on décida d'aller prendre une glace, à peine assise qu'on commença déjà à bavarder, c'était notre endroit favori pour papoter entre fille
-bonsoir Noria,
Je vais finir par croire qu'il me suit.
- mais Hans qu'est que tu fais ici
-tu ne présentes pas ton ami Noria.
- Hans Noria, Noria Hans.
Qu'elle, idiote, c'est moi noir
-alors elle s'appelle comme toi.
-c'est Carine elle est un peu soule à cause de la glace excuse la
Carine, mon sauveur me suis-je dis à l'intérieur même si elle aurait pu trouver mieux
- je comprends surtout la glace au chocolat rende les filles un peu...
Tu vois ce que veut dire.
Avec un petit sourire moqueur tout
- je vois ! Tu veux t'assoir avec nous
Je fis signe à Carine de ne pas le faire, mais que voulez-vous, c'est ma meilleure amie et je dois la supporter.
Hans accepta directe, on dirait qu'il n'attendait que ça.
-c'est donc vous qui à sauver le pied de mon amie
Dit-elle ironiquement.
-lui en personne
Je regardais le plafond pour ensuite regarder Carine avec des yeux accusateurs.
-arrêter de parler de moi.
Je détestais être le sujet d'une conversation ou qu'on parle de moi, tout court, je n'ai jamais cherché à trop paraître durant toute ma vie.
-je trouve que c'est un très beau sujet de conversation.
Et en plus de ça, il en rajoutait.
-j'aimerais bien rester, mais j'ai un rendez-vous.
Je savais qu'elle n'avait aucun rendez-vous, elle voulait juste me laisser seule avec lui.
J'allais la tuer cette fille.
- au revoir Noria et essaie de te souvenir de ton prénom s'il te plait et Hans ramène la chez elle tout de suite après C'était un plaisir de faire ta connaissance.
En faisant la révérence tout en prenant son sac. Pour ensuite passer la porte
Quelques secondes, plus tard, j'étais seule avec lui.
Je ne savais ni quoi faire ni quoi dire. Je dois dire qu'il m'intimidait beaucoup aussi.
J'étais là assise devant lui sans rien dire, je ne pensais qu'à une seule chose, dégagé en vitesse.
Je n'avais pas envie de dire quelque chose de stupide ou encore moins...
Il venait de briser le silence.
-pourquoi restes tu aussi silencieuse, je sais ta peur d'oublier ton prénom à nouveau, j'ai autant d'effet sur toi à ce que je vois.
-tu as autant d'effet sur moi qu'une carotte.
Bien sûr qu'il avait de l'effet sur moi, mais jamais j'allais l'avouer.
En disant ça ses yeux me fixait et s'approchait de moi et de plus en plus, j’essayais de me reculer timidement de lui, mais j'étais dos au mur, il me caressait le visage pendant qu'il me fixait et déposa un tendre baiser sur mon cou.
‐ Tu es sûr que je ne te fais pas de l'effet.
J'avais fit signe que non avec à la tête.il avait déposé un baiser sur main
Ensuite sur ma joue puis mes lèvres, au début, je voulais répondre à ses baisers,
Mais une petite voit intérieur me disais, mais réagi, tu le connais à peine enfin réveille toi.
Alors je l'ai donc repoussé même si j'avais très envie de continuer,
-ne me repousse pas s’il te plait.
On dirait presque qu'il me suppliait.
- on se connaît à peine Hans, je ne sais absolument rien de toi, je ne suis pas le genre de fille qui cherche une relation sans lendemain, et je suis absolument sûr que tu me suis
Le visage de Hans devient dur comme si aucune impression ne pouvait sortir de ce beau visage après ce que je venais de le dire comme si j'avais dit quelque chose de mal
-viens je te ramène chez toi.
Encore à me donner des ordres, quand va t'il arrêter de se prendre pour mon papa.
-non, je ne veux pas partir maintenant.
-dis-moi, tu attends quelqu'un d'autre
-j'attends mon petit Ami.
Évidemment, je n'avais pas de petit Ami, je ne voulais pas remonter dans sa voiture, parce que je me suis rendu compte que je ne savais rien de cet homme peut-être que ce n'était pas quelqu'un de confiance.
Il me prit par le bras en me disant.
- il va devoir attendre parce qu'aujourd'hui, tu es à moi.
D'un ton menaçant, il était le genre d'homme qui obtenait ce qu'il voulait d'un claquement de doigt
Et moi, je n'allais pas le rendre la tâche facile
-je n'appartiens à personne et je ne veux aller nulle part avec toi
Il avait compris que je n'allais nulle part avec lui sans qu'il n'accepte de me parler un peu plus de lui.
- ok, je m'appelle Hans Smith, je suis vice-président dans l'entreprise les frères Smith et associer.
Il pensait que son petit numéro allait me faire me lever, ce n'est pas parce que t'es riche que je vais te faire confiance.
C'était un homme très important leur famille avait fait fortune dans l'immobilier, j'en avais entendu parler, il avait plusieurs autres chaînes d'hôtel 4 étoiles, mais ces trucs-là ne m'intéressait pas, je ne pensais jamais rencontrer quelqu'un de cette famille,
-ce n'est pas parce que tu es riche que je vais te faire confiance, la confiance ne s'achète pas cher monsieur.
-si tu ne te lèves pas pour entrer, je vais...
-tu vas me faire quoi.
Le défiais-je du regard.
Je regrettais déjà mes mots.il me souleva et me mit sur son épaule comme si j’appartenais j'essayais de me dégager de lui mais rien à faire il était beaucoup plus fort, arrivé devant la voiture il me déposa sur mes pieds pour qu'il puisse ouvrir la portière
J'étais rouge de colère parce qu'il me tenait toujours par le bras et que je ne pouvais pas m’enfuir, il ouvra la portière et me glissa dedans, de deux pas, il était déjà au volant.
Pendant tout le trajet, je n'avais pas arraché un mot, il essaya de faire la conversation, mais je ne répondais pas.
Arrivé devant chez moi, il se rapprocha de moi en me disant
- embrasse-moi
-non, mais sérieusement es-tu complètement fou, ou bien, tu sors de l'hôpital psychiatrique.
Il ignora tout ce que je venais de dire.
Alors il s'approcha encore plus près.
Il déposa un baiser sur mes lèvres plus intenses que celui de tout alors j'essayais de me débattre mais j'ai fini par accepter, nos lèvres ce livrèrent une dance acharner, cet homme avait une emprise sur moi comme personne, il continua à m'embrasse et commençais à me caresser lentement C'était tellement bon j'en voulais plus et puis il s'arrêta comme pour me punir.
-bonne nuit princesse
Et me sourit en signe de victoire, j'étais là comme une idiote devant la porte complètement figer, il remonta ensuite dans sa voiture me laissant en plan devant la porte, je bouillonnais de colère, j'avais envie de lui...

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on aurait pu...(Non Corriger )
RomanceJ'étais là assise dans le public pendant qu'il présentait sa future femme devant moi,pendant que les larmes coulaient sur mon visage. J'ai commencé à le détester mais je ne pouvais pas m'empêcher de l'aimer je voulais arracher...