on aurait pu...(Non Corriger )

partie 5

Carine était encore, elle essaya de me changer les idées.
EN me faisant regarder toute sorte de films ou série.
Il était vers les 22heures quand quelqu'un sonna à la porte mon cœur s’est mis à battre tellement fort que je croyais qu'il allait sortir de ma poitrine.
-tu attends quelqu'un.
- non.
-je vais ouvrir.
Elle ouvra la porte et c'était Hans, je le regardais depuis mon fauteuil, je ne savais plus si j'étais en colère ou si j'étais triste.
- je te parle plus à toi, qu’Est-ce que tu as fait à ma meilleure amie.
Dit Carine en regardant Hans
- ce n’est pas ce que tu penses Carine.
- ah OUI.
Carine disais ca tout en croisant les bras
Je restais toujours aussi silencieuse.
- Noria stp laisse-moi te parler juste quelques minutes.
- je peux le laisser entrer?
Disais Carine en me regardant, bien que j’étais en colère mais j’avais besoin d’entendre ses explications
-oui.
Elle nous laissa seul quelque minute dans le petit salon.
Hans se rapprocha de moi j'essayais de rester calme et écouter ce qu'il voulait me dire.
- je suis désolé de ne pas avoir pu venir te chercher .J'avais pas une minute à moi
-ah tu me prends pour une débile ou quoi tu penses que je suis pour mais tu avais toute la journée pour être avec cette femme
- mais tu parles de qui ?
-de la femme qui avait décroché ton téléphone celle qui m'avait traitée de garce.
-mais de quelle femme?
Mais il le faisait exprès ou quoi.
Je l'ai regardé un moment sans rien dire parce qu’il commençait à me prendre pour aéré mentale et que j’étais à deux doigts d’exploser.
- Tu ne sais vraiment pas qui à décrocher ton téléphone ?
En le regardant droit dans les yeux.
- non mon amour, je ne sais pas et rassure toi il y a que toi et personne de plus.
Ce mot qui ce matin m'avais tellement fait plaisir sonnait faux dans mon oreille à cet instant précis.
J'essayais toujours de garder mon calme.
- tu étais où ?
Bien que je le croyais, mais il fallait que je sache qui pouvait bien répondre a son téléphone pour ça il devait me dire où il était.
-je suis passé un instant chez ma mère j'avais oublié mon téléphone c’est pour ça que je ne suis pas venu te chercher j’ai dû l’aider avec certain…
-certain quoi Hans sérieusement tu vas me sortir c'est excuse bidon.
- jamais je ne te mentirais.
En s'approchant de moi, il caressa ma joue avec sa main, c’était comme s'il m’avait drogué, j’avais oublié le long discours que je mettais préparé à le dire.
Il déposa un baiser sur mon front
- fais-moi confiance mon. Amour, je t’aime.
-Hans ce n'est pas un jeu, Stp arrête !
Réussi-je à dire.
- je ne sais pas de quoi est-ce que tu parles, mais je vais découvrir qui m'a fait ce coup tordu mais stp il faut que tu me fasses confiance, j’ai besoin de te l’entendre dire
Je n'étais avec aucune femme à part que J'étais chez ma mère et ensuite le bureau.
-Hans stp ne me mens.
- mais je ne te mens pas chérie
En passant une main autour de moi
-Je t'aime mon amour.
Il a fini par me prendre dans ses bras pour me rassurer de ce qu'il disait.
-je te promets que ça ne vas plus jamais ce reproduire.
Je le regardais sans rien dire.je ne n'avais aucune réponse, j’étais effrayé rien qu'à l'idée qu'une autre femme prenne ma place, j’avais surtout peur de le perdre je l'aimais beaucoup plus que je l'avais cru.
Je voulais parler mais rien n'arrivais à sortir de ma bouche. Tous les scénarios que j'avais imaginé toute la journée avais disparu en une fraction de seconde.
Il me prit la main pour ensuite déposée un baiser sur mes lèvres, j’ai résisté au début mais après je lui ai rendu son baiser, après une bonne petite minutes à discuter et à m’embrasser il avait même réussi à me décrocher un sourire
Quelques minutes plus tard il était parti, il avait décidé de me laisser avec Carine.
-tu vas lui pardonner aussi facilement.
-je l'aime Carine,
-mais tu dois aussi mérité son respect sinon il va sortir cette excuse à chaque fois
-j'ai peur de le perdre.
-Je te comprends, mais...Enfin bref si tu le fais confiance je n'ai plus rien à te dire à part de rester sur des gardes
-ok on continue de regarder le film.
Je voulais changer de sujet je me sentais fragile, et je détestais cette sensation.
- mais promet moi que tu vas être prudente avec lui.
- promis.
On passa le reste de la soirée à regarder le film, mais je n'arrivais toujours pas oublier la voix de cette femme.
Au milieu de la nuit j'avais reçu un message d'Hans pour me souhaiter une bonne nuit et surtout qu'il m'aimait, je n’avais pas répondu à son message mais je rougissais juste en voyant le message
Deux semaine plus tard je m’étais réconcilié avec Hans mais toujours pas l'identité de cette femme qui avais répondu à l'appel.