Diabolik Lovers Éclipse

Rassemblement

(DE RETOUR ! Après 2 ans ! J'ai chercher mon code ... et j'ai abandonner... mais je suis revenue ! )
J'ouvris les yeux, la vue embrouillé. Encore dans mon lit, en pyjama.
Eum...
-Eeehhh?!
Il faut bien croire qu'ils m'ont encore habillé... Je me secoue la tête; le fait de savoir que j'étais inconsciente durant ces moments me donne des frissons...
Ont frappa doucement à ma porte.
-Yui, habille-toi et viens dans le salon.
Je n'arrivais pas à reconnaître la voix... encore endormie.
-Mmh... D'accord..
Je pris mon uniforme, m'habilla, puis sorti de ma chambre.
Le manoir était silencieux, ont entendais à peine le vent souffler sur les fenêtres.
Je descendis en bas. Proche des marches se trouvait une lettre. (À partir de ce moment, je fais l'histoire de moi-même et non tiré de l'animé (certain passage oui, comme celui de la fin) ) Il y avait un sceau ressemblant à une rose et en arrière, il y avait une inscription : "Monsieur .... " le prénom ainsi que son nom était effacé... brouillé. "Pour ... Sakama..." il devait y être écris.. pour la famille Sakamaki ?
J'ouvris la lettre avec minutie afin de ne pas le déchirer à cause du sceau. Je pris le papier parchemin qui s'y trouva à l'intérieur, celui-ci était mieux conserver que l'extérieur... je me permis de le lire.
"Chère famille Sakamaki, je vous envoie ma petite fille, Komori Yui. Comme vous cherchez des "religieuses", elle en est le parfait exemple. Après tant de recherches que vous avez passez pour avoir une femme pur, je peux vous la confier. Malheureusement, je ne pourrais revenir la prendre. Elle serait scandalisé de savoir qu'elle est là, pour un sacrifice. Je l'ai élevée, pour ce moment.
Cordialement.
Monsieur..."
Son nom... effacé.
Des perles d'eau se sont mise à couler le long de mes joues.
-M..Mon père... m'a élevé... comme un bétail ..?!
Je mis le papier dans l'enveloppe, les mains tremblante.
-Yui ?! Ont t'attend !
À la voix d'Ayato, je mis la lettre en dessous de mon chandail en prenant soin qu'elle ne paraisse pas.
-Pourquoi pleures-tu ? Dit Ayato.
Je passe ma main dans le visage afin d'y ramasser quelques larmes.
-Rien... un cauchemar.
-Ah... et bien viens...
Il baissa la tête.
-Ont doit te parler de quelques petits trucs importants...
Je me mis le suivre, les pieds traînant au sol.
-Tu es sûr que ça va Chichinashi?
Je ne répondis pas, préoccuper par le message...
-Tcht !
Il pris ma main et me poussa sur le mur, fâcher que je ne lui réponde pas. Il mit sa main gauche sur le mur, proche de mon visage et l'autre à mon cou.
Je ne réagis pas. Mes yeux étais d'un regard vide et inexpressif.
-Tu attends quoi ?! Tu veux que je te fasse des faveurs ?!
Il se mit à rire et commença à déboutonné ma chemise.
Aucune réaction de ma part... je n'avais... pas envie de me débattre... je savais que ma vie n'était maintenant que pour servir de bétail...
-Yui ?!
Il me regarda avec un air inquiet.
-Qu'est-ce qui ne va pas chez toi ..? J'aime te voir te débattre...
-Ça ne sert à rien... dis-je...
Des larmes se mire à couler... sans pour autant d'avoir des émotions.
-Ça ne sert à rien...
-Que dis-tu ? Son air paraissait vraiment inquiet... plus que d'habitude... plus que son air méchant et égoïste...
-Ça ne sert à rien... répétais-je.
-Qu'est ce qui sert à rien ?!
Je pleurais... sans avoir réellement d'émotions.
-Je suis élevé comme du bétail. Ma vie est faite pour ça non ?
Je me suis mise à rire. Ce n'étais pas moi. Je n'arrivais plus à me contrôler. J'avais... l'impression d'être diriger par des fils.
-Elle n'est qu'un pantin rempli de viande fraîche.
-Yui ?!
Il me secoua... ma tête pris un tournis... et je m'évanouis.
Quelques temps plus tard, je me réveilla dans le salon. Tout les frères autour de moi. Le premier à m'avoir sauter dessus était Ayato...
-ELLE A LES YEUX OUVERT !
Il me flatta doucement les cheveux.
-Yui... Yui...
Il baissa les yeux.
-Il va falloir... qu'on te dises tout.
Il regarda les autres, Kanato serrait Teddy, Raito me regardais avec un air abattu, Subaru... Subaru n'osait pas me regarder. Son air de colère était remplis de frustration et de tristesses.
-Qu'y à t'il ?
Je m'assis sur le sofa et découvris une robe... la robe... que j'avais aperçue, pleine de sang.
Mon coeur... "boum" "boum" "boum"...
J'entendis Shuu... très loin...
-Tu es une mariée sacrificielle. Pour réveiller Cordelia.
À ses mots, mon coeur battais plus vite, plus fort. Je commençais à avoir le tournis. Des gouttes de sueurs perlaient sur mon front. Mon souffle plus fort et plus vite.
Soudain, plus rien. Le vide, le noir... une femme... cette femme... Cordelia.