Je suis seul, sous le ciel étoilés.
Tout ce qui m'entoure s'embrase, les gens se dispersent en hurlant. Je suis incapable de bouger et de parler. Puis je vois une petite maison aussi noir que du charbon. Ses poutres enflammées se tordent tels de dangereuses tentacules. Elles s'écroulent et se ruent vers moi pour m'attraper. Je voudrais fuir et me protéger mais mon corps ne m'obéis plus. Je mets mon bras en avant par réflexe même si je sais pertinemment que cela ne serviras à rien. Je ferme les yeux pour ne pas voir ce qui vas m'arriver. Après quelque secondes qui me paraît interminable, je rouvre mes yeux et à ma grande surprise je suis encore entiers et indemne. Un mur de pierre de deux mètre était à quelques centimètre de moi. Je rabaisse ma main et le mur se désintègre en laissant place à la poutre. Elle tombe sur moi. Je ne sent plus mes jambes ! Je crie mais personne ne m'entends.
Je me réveille en sueur. Cela me pique les yeux. La paille de mon lit me griffe le visage et les jambes.
J'inspire à fond et je passe mes mains froide sur ma figure. Leur contacte me fais du bien.
Par la fenêtre, je vois la lune ronde et grosse. Les étoiles brille de mille feux dans un manteaux sombre et froids. A côté de moi se trouve Jasmine, une femme d'une quarantaine d'années. Son visage brille avec les lueurs de la lune.
Elle est mince et grande. Tout autour de son nez se trouve des tâches de rousseurs. Son visage est fin et radieux. Elle inspire la joie et la beauté. Ses yeux sont d'un bleu clair remarquable et son nez est aquilin et fin ; ces cheveux sont châtains clair avec des nattes qui lui descend jusqu'à la taille.
Quand je suis arrivé dans ce village de Bretagne, elle m'as accueillit a bras ouvert avec un sourire d'ange. Sans elle je serais en train d'errer dans les rue étroites et sombre en mendiant et en priant chaque jour de ne pas me faire attraper puis jeter dans les cachots par les soldats qui rôde dans les alentour. Pendant neuf ans elle ma nourrit, loger, aimé comme si j'étais un membre de sa famille.
Elle n'a pas de mari malgré sa beauté fatale et ses parents sont morts d'un accident de bateau il y a douze ans. Depuis qu'elle ma accueillit, on vis dans une petite case pas loin de la grande place du village.
Elle est servante en chef chez un des plus grand noble du comté; Monsieur Peurloc. Son fils ; Sullivan qui est dans la même école que moi est un abruti, menteur, fouineur et il se moque de moi à cause de mes différence. Bien sur tout le monde le suit et on ne peux rien lui dire sans être taper au bout du doigts par le proviseur adjoint .
Quelques heures plus tard la lueur du soleil commence à apparaître à l'horizon. Sans un bruit je me lève pour aller me purifier dans la rivière du coin. Cette endroit est mon temple spirituelle et il me permet de réfléchir. C'est ici que je me réfugie quand j'ai besoin de calme ou quand il y a des soucis.
Ici tout est colorés. L'eau est transparent et de temps en temps on peut apercevoir des poissons de couleurs rouge, vert vifs, jaune, gris, marron, et aussi blanc. Les arbres sont très grands, c'est la seule partie de la forêt où les fougères font près de trois mètre de haut.
Parfois je grimpe tout en haut de l'acacia géant pour admirer la vue. Vers l'Est se trouve une plage aux sables fin. C'est là-bas que j'ai échoué il y a quelques années maintenant. Vers l'Ouest ce trouve le village de pêcheur ou Jasmine et moi habitons.
Aujourd'hui est un jour particulier. C'est la rentrée des classes. Et oui je vais à l'école, moi un enfant adopté par une femme qui a tout juste assez de sous pour ce payer la nourriture. Cela peux s'avérer impossible mais je vous assure que c'est vrai. On peut dire que c'est une histoire un peu compliqué. Il y a sept ans Jasmine a décidé de travailler pour Mr Peurloc. Elle a demandé explicitement si il pouvait inclure dans sa paie la possibilité de m'inscrire dans une école.
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Volpel et le monde magique
ParanormalJe suis seul, sous le ciel étoilés. Tout ce qui m'entoure s'embrase, les gens se dispersent en hurlant. Je suis incapable de bouger et de parler. Puis je vois une petite maison aussi noir que du charbon. Ses poutres enflammées se tordent tels de dan...