Christophe partait au collège en vigueur - il avait éducation physique en première heure. Cette fois le professeur, a décidé de faire un cours de volleyball. Il pleuvait alors c'était pas très agréable de courir en étant trempé.
M. Phanaube était le professeur de sport gay. D'habitude Christophe ne le lâchait pas de l'oeuil. Mais ce jour là, il avait d'autres préoccupations. Après la conversation de la veille, il n'arrive pas à ne pas contempler Owen. Tout le long du cours, Chris le regardait du haut en bas. Partant de ses cheveux ensoufflés par ses mouvement rapides et brusques, comme splendides par ses boucles raides et sa brillance au contacte des rayons de soleil. Passant par ses bras musclés à peine, et par son short; il s'arrêta un plus long moment sur cette partie là, car lorsque le garçon sursautait pour attraper et renvoyer le ballon, ce short mettait en liberté et en évidence sa masculinité ; celle là, on ne pouvait pas la retter. Il finit par ses jambes aussi bien construites que ses bras.
Les réflexions de Chris sur les parties du jeune anglais s'arrêtèrent, quand M. Phanaube lui avait fait la remarque de continuer à jouer. Il reprit donc le ballon et le fit passer à son adversaire. Plus loin dans la compétition, il se fit de nouveau une pause et demanda à Owen:
"- Pourquoi est-ce que tu ne parles plus à Emile? - il dit ce que l'autre jour on lui à demandé de dire.
- Emile? Je lui parles toujours, à ce que je sache. - Owen fit de gros yeux et fut confus.
- Ah bon? Parce que j'ai cru voir que vous ne vous voyez pas si souvent. - Chris détourna la conversation pour pas que le châtain sache se qu'il a eu lieu auparavant.
- Non. Pas du tout. - répondit l'anglais. - On se vois seulement au..."
Il fut coupé par le sifflet de M. Phanaube. Lui, il sait très bien quand il faut interrompre. Néanmoins Chris a eu une vision générale, déjà, de ce qui allait suivre.
Christophe continua la journée en pensent, alternement à ce qu'Owen avait voulu lui dire, et à la conversation qu'il avait eu avec Théo; aussi aux choses qu'il avait vu! Ca lui prenait la tête jusqu'au moment de l'ouverture du portail. C'était vendredi - le premier jour des vacances, il en était gai.
Il arriva chez lui. A ce moment, il se retrouva dans son lit regardant son portable pour la dernière fois avant de se mettre à essayer à s'endormir. Il fut interrompu par une pensée fugace de reparler à Théo. La conversation qu'il a eu la veille lui a beaucoup plu. La conversation entre Théo et lui se construisait parfaitement, même sans trop se connaître. Alors il fit comme il voulut:
"- J'ai rêvé de toi. - écrivit-il.
- Ah bon? J'y faisais quoi dans ton rêve? - demanda-t-il.
- Tu était le beau garçon qui m'embrassa en plein milieu de la ville, cachés sous un toit pour que personne ne voie. - Chris raconta.
- Il était très beau ton rêve. Tu sais bien que j'aimerais le faire réalité. Mais nous habitons sur deux extrémités différentes. Toi, tu habites à Toulouse, et moi à Paris. Je t'avait déjà dit que cela allait être impossible. - expliqua Théo.
- Je sais, mais c'est bien de rêver. - Chris insista.
- Parfois c'est bien, mais parfois ça amène la dépression et l'égarement. Alors au lieu de te plonger dans quelque chose d'inexistant, trouve-toi un prince réel. - encouragea-t-il Chris.
- Mais sait-tu combien c'est dur? - dit Chris. - Attends! Je te reparles après."
Leur conversation fut interrompue par une notification:
"- Tu peux parler, s'il te plaît? - écrivit Emile.
- Oui, je peux. Qu'est-ce qu'il y a? - demanda Chris.
- Tu pourrais me passer une ou deux cigarettes que t'auras pris à ta mère? - demanda le rebelle pour une faveur.
- Ah tu voulais savoir ça? Bien, non. Désolé, mais je peux pas. Elle ne dort pas encore, alors je ne peux pas les lui voler. - répondit Chris gentiment.
- D'accord. Mais je ne voulais pas savoir seulement ça! Si tu peux pas m'en ramener, alors est-ce que tu pourrais venir? J'aimerais bien te parler un peu en quatre yeux.
- Si tu le dis... Je vais voir ce que je peux faire, alors."
Il se fut avéré que Chris est allé à la rencontre d'Emile dans le parc près de chez lui. Lorsque le rebelle est arrivé, ils se furent la bise et commencèrent à parler. Christophe était curieux, alors il demanda: "Pourquoi est-ce que tu voulais qu'on se voit?". La réponse qu'il eu, fut une réponse inattendue et surprenante: "Je n'avais personne à qui parler. Et vu que t'es un peu mon bouche-trou..." Même s'il ne finit point sa phrase, Chris a déjà compris ce qu'il voulait dire. Chris eut un peu offensé mais il s'est dit que ce n'était pas grave. Les garçons continuaient leur discussion sans grand interes. Ils parlaient un peu du collège et surtout de la relation entre Owen et Emile. Le dernier avait, entre temps, aussi fumé sa dernière cigarette. Il racontait à Chris qu'une fois, quand il était malade, Owen est venu l'accompagner chez le médecin. Il lui disait qu'ensuite, ils sont rentrés à la maison et se sont fait des câlins sur le lit. Il énonçait la manière dont Owen l'embrassait sur le cou, sa tendresse et sa délicatesse. Il lui décrivait chaque détail, dont la beauté du jeune anglais. Il insistait sur le déboutonnage, sur la sa tablette sans défauts, aussi que d'autres parties possédant également aucun défaut. Chris avait un peu marre d'entendre en boucle les péripéties tellement belles des deux garçons gays. Il proposa donc d'aller à un autre endroit.
Chris et Emile montèrent sur une construction en bois. C'était une sorte de petite maisonnette élevée. D'un côté, on ne voyait rien à cause des feuilles d'un arbre. De l'autre côté, en revanche, on apercevait le ciel noir, laid, sans décoration. L'ambiance dans ce petit endroit était quelconque. On sentait le vent moyennement, et on entendait le chant désordonnée des chouettes et le cri déplaisant des chatons.
Chris examinait l'endroit. Etant donné qu'il était petit, les garçons étaient assez serrés, et Chris ne voyait que la silhouette d'Emile. Il l'a regarda de haut en bas. Il commença par la coiffure de cheveux châtains, avec une frange tombant dans les yeux du fumeur. Cela l'empêchait des fois de voir et il recevait des attaques de clignement de paupières. Il descendit un peu plus bas et eut peur de frôler son nez contre celui du jeune garçon, tellement il était gros. Puis, en reculant la tête, Chris aperçut ses lèvres étendues identiquement à celles d'un canard, et son menton reculé, lui donnant une forte ressemblance à nos cousins de Neandertal. Il descendit son regard encore plus bas et vit le corps du garçon tout mince. Ses épaules ne tenaient presque plus sur les articulation, son ventre ressemblait à un bol vide, quand à ses jambes, elles avaient l'air de deux cure-dents.
Lorsque Chris finissait sa contemplation en paix, il sentit une force poussant son menton vers le haut, puis sentit un frottement sur ses lèvres. C'était les lèvres d'Emile qui s'eurent collées à celles de Chris. Cela était un geste rapide, mais qui faisait naître dans Christophe, le gay perdu, un égarement encore plus importent. Tout d'un coup Chris se sentit joyeux et désespéré, excité et dégoûté, confus et cetera. Quand les deux garçons se regardèrent de nouveau dans les yeux, Chris ne réagissait point parce que c'était la première fois qu'il se retrouve si proche avec une personne. De se fait, c'était Emile qui s'est exclamé: "Tu es un garçon dur, toi, dites donc!" Et il finit encore par aspirer les lèvres de Chris.
Les deux gays, n'ont pas dit grand chose après cet événement. Emile est parti par son chemin. Chris a fait de même.
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Passion Déplaisante
No Ficción"Quand était la dernière fois que nous fussions quelque chose pour le première fois?" - dit Saara. Et bien justement, cette histoire raconte la dernière fois que Christophe fut quelque chose pour la première fois. "Je te voulais encore plus que je v...