Première page

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Heeey !


Alors voilà, vous êtes 100 à me suivre.

Et à cause d'une certaine personne... (@Ophélia-Agreste) je me vois écrire cette fiction pour vous remercier, en quelque sorte. Sur le coup du jeu, je ferai quelque chose qui tourne autour de "100". Original, n'est-ce pas ? Mais bon. Finalement, j'ai eu une assez bonne idée. La voici donc :

Cette fic'... Aurait dû, préférablement, être écrite avec une écriture manuelle. Stylo contre feuille, vous voyez le genre ? Oui ? Non ? Tant pis.

En tout cas, sachez que tout ce qui est italique/gras/souligné a un sens. 

Autre chose : les chapitre n'auront pas la même longueur. J'en suis dés...o-carillon, mais c'est comme ça. Je préfère couper quand il faut plutôt qu'allonger plus que nécessaire.

Sans rien vous rajouter d'autre : bonne lecture, j'espère que ça vous plaira.



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À toi, lecteur de cette lettre, j'adresse mes mots.

Lettre ? Non, je devrais dire « Testament », car si tu es tombé sur ces notes, c'est que je ne suis plus de ce monde, que j'ai rendu l'âme. Oui, à 25 ans je pense à écrire un Testament. Un problème ?

Si mon corps repose dans un cercueil, je pense pouvoir enfin dévoiler mes secrets.

Avant de commencer, je tiens à spécifier que j'estime ma double vie comme étant une part de moi. C'est pour ça que je suis — j'étais — en train d'écrire ses mots. Je ne veux pas qu'on l'oublie. Qu'on oublie Ladybug.

Ladybug, oui, c'était moi.

J'ai été dans ce costume, j'ai pris ses coups, j'ai volé dans les cieux et j'ai vaincu aux côtés de Chat Noir.

Moi, Marinette, la fille maladroite et désespérante, ai incarné le rôle de superhéroïne. C'est étonnant, n'est-ce pas ? Je n'avais que 13 ans. Et pourtant, il a cru en moi. Ils ont tous cru en moi. Je ne pouvais juste pas trahir leur confiance.

L'histoire de Ladybug, vous la connaissez, j'en suis certaine. Difficile de ne pas la connaître.

Avec Chat Noir, nous avons combattu chaque akumatisé et avons protégé Paris jusqu'à la fin.

La fin. Vous vous demandez peut-être pourquoi j'ai cessé de revêtir mon costume. Eh bien simplement parce que c'était fini : nous avons fait disparaître le Papillon. À partir de ce moment, la capitale n'avait plus besoin de nous.

Les pouvoirs que nous détenions étaient des plus dangereux. Il était impensable que nous les gardions sans raison : nous ne devions pas prendre le risque d'égarer un Miraculous. Je m'en excuse.

Je suis partie sans explication. Je n'en ai pas eu le temps.

Et Chat Noir ? Pourquoi est-il resté plus longtemps ? Je l'ignore. J'ai questionné ce garnement sous mon autre identité, mais il a déclaré ne rien pouvoir dire à une simple civile.

Sur le coup, c'était un peu douloureux et frustrant. J'aurais voulu dire « C'est moi, Ladybug ! » Mais à quoi bon ? Il a fini par partir. Et je ne l'ai jamais revu.

Je pense que ma question l'a décidé : il a dû rendre sa bague, ce jour-là.

Ici, je ne pourrais jamais exposer toutes mes connaissances en ce qui concerne les Miraculous, mais j'adresserai simplement ces mots, car j'y tiens :

TestamentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant