[Ancienne version] Amoureusement Immortel ~ Tome 3 : PCM

Amoureusement Immortel

Petit mot de l'auteur:

Je sais que j'ai déjà deux histoires à finir mais c'est une idée qui m'est passé par la tête alors j'ai commencé à écrire, ce n'est que le début mais n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.

Cette histoire est inspirée de Et si c'était vrai... de Marc Levy que je vous invite à lire si vous ne l'avez pas fait !

Bonne lecture! =)

Elisa G.C.

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Prologue

Éric Cronwell était célèbre dans le monde du mannequina en tant que photographe même si il aurait pu facilement se retrouver devant l’objectif. Il était considéré comme l’un des meilleurs et enchaînait les couvertures de magazine. Son cercle social s’était étendu si loin qu’il avait des tonnes de demandes et avait le choix entre des milliers de contrats en une année. Bien sur, il s’assurer d’avoir le meilleur pour rester à la pointe de la mode et ainsi rester au rang le plus haut du show-business. Et quand il prenait la place du modèle, il continuait à faire des merveilles et fut vite adulé de tous les créateurs qu’ils le réclamaient pour des séances photos, des défilés, des pubs, etc. Pourtant il acceptait rarement les séances photo, et refusait tout le reste, rétorquant qu'il préférait la photographie à la figuration. Éric Cronwell était tout simplement la personne la plus influente du monde de la mode. 

On le connaissait aussi comme étant un tombeur des plus ardus, connu dans le monde entier pour la multiplication de ses conquêtes toutes plus charmantes les unes que les autres. Il n’avait aucun mal à se trouver une compagne puisque les femmes réagissaient à sa simple vue et s'aplatissaient à ses pieds pour un unique sourire.

Il possédait un immense manoir à Staten Island souvent fréquenté par les paparazzis et il n’hésitait pas à en abuser pour modifier à sa guise son image. Tantôt il jouait à l’être indifférent, tantôt à celui chaleureux en toutes circonstances, puis en personne perdant son calme et après il se délectait de l’effet que ça produisait dans les médias. Oui, il aimait être le centre d’attention de toutes ces personnes, ce faire admirer par les femmes et envier par les hommes. Il résidait ainsi à quelques rues de sa mère, grande actrice de son temps qui appréciait beaucoup trop à son goût sa popularité. C’est dans ce manoir même qu’il y emmenait chaque femme qui demandait ses faveurs et affichait son côté draguer dont il avait nullement honte. Être célibataire était pour lui le plus essentiel pour les relations et il ne s'engageait plus dans aucune aventure de plus de deux semaines. Avait-il était une fois amoureux durant ces 27 années ? Une seule fois, quand il avait 10 ans, de sa chienne Lally, qui une nuit s'était enfuit alors que sa mère avait négligemment laissé le portail de la maison ouverte. Sans se l'avouer, il évitait toutes attaches en vue d'une autre trahison par la suite. Comme quoi n'importe quel expérience pouvait être traumatisante. C'est pour cela, qu'il réglait sa vie de manière à n’avoir ni regrets ni peine.

Il avait un meilleur ami, Matt Dolagan, sur qui il pouvait réellement compter et c'était bien le seul à ne pas juger ces actes puisque lui aussi était un séducteur avéré. Il se trouvait qu’en plus Matt était le manager d’Éric donc il savait tout de la vie de son ami. Celui-ci était le seul à connaître l'existence de son appartement au centre de New York. Cosy et chic, c'était le petit refuge d'Éric dès qu'il souhaitait de la tranquillité. Personne, à part Matt, n’en avait connaissance. Même si Éric adorait l’effervescence qu’il procurait autour de lui, il avait besoin d’un endroit où se relaxer, ne pas avoir à faire à ses photographes de people qui étaient là à chaque faux pas parce qu’il avait beau se servir de ses gens, il ne les portait pas du tout dans son cœur. Pour lui, ce n’était que des gens qui cherchaient à se faire de l’argent sur le dos des autres en vendant des photos mal prises voir floues. Donc quand ses problèmes refaisaient surface ou quand il avait envie de calme, il demeurait dans son appartement grand luxe. Quels problèmes ? Eh bien, essentiellement l’absence de père. Sa mère n’avait jamais rien voulu lui dire sur l’identité de celui-ci qui d’après elle avait fuit en apprenant qu’elle était enceinte. Pour figure de paternité, il n’avait eu que les nombreux partenaires du lit de sa mère, le gardien de la maison et le cuisinier. Au moins il était un vrai cordon bleu. Enfin, il s’en était accommodé.