PUTE DE LUXE

Complication

9 mois plus tard

J'étais dans une voiture appartenant à Waren nous nous dirigeons à l'asile ou ma mère à été interné. Vous vous demandez peut -être pourquoi je ne l'ai pas faite des mon retour à New York je ne me sentais pas prête à la revoir ce n'ai pas facile de revoir une femme qui vous à élever aussi mal en point ,j'avais peur des dégâts cause par la maladie comment sera t'elle , bien parlant de ma relation avec Waren les choses vont pas trop mal ,nous avons juste quelque soucis avec son divorce les choses ne vont pas vite Addison ne veut aucunement l'accorder le divorce donc ils font la une des magasines people en se moment , Waren s'entend mieux avec jordan ils sont devenu inséparable . En ce moment j'ai la tête ailleurs je suis accompagné de Waren et de Caren , nous arrivons enfin devant le centre hospitalier Waren gara la voiture et descends ainsi que Caren ,je n'avais pas envie de descendre mais il Le fallait Apres 16 ans je vais enfin la revoir , Waren ouvra la portière du côté co-pilote ou je me trouvais .

Waren : tout va bien se passer

Il me tendit sa main et m'aida à descendre , nous entrons dans le centre tout était fade et très dépriment , il y avait des personnes d'un mental défaillant ce qui ne m'aida point Waren me prit par la main Caren avança vers la réceptionniste. Après quelque minute d'attentes Caren nous demanda de la suivre , nous arrivons dans une cantine ou les malade prenne leur repas l'infirmière me pointa du doigts une femme , au loin je ne reconnaissais pas du tout ma mère ,elle avait les cheveux en bataille elle était vêtu d'aillons et elle mordait de ces dent un carton .

Hilary : êtes vous vraiment sûr que cette femme est madame lucile handersan

L'infirmière me demanda s'approcher de plus prêts , j'avance et arrive à l'auteur de cette femme , nos regards se croisèrent ces yeux bleus , je mis une main sur ma bouche j'étais étonné

Hilary : M....ma..man

Des larmes coulèrent sur mon visage , je ne tenais plus debout , Waren m'aida a m'assoir .elle ne disait rien pourquoi ne parle t'elle pas , je la regarderais et remarqua qu'elle avait avait des blessures sur le corps c'est blessure était semblable à des cicatrice laissées par des coups de fouets

Hilary : pourquoi a t'elle cela sur le corp ( hurlai-je )

Waren me demanda de rester calme , de Le laisser s'adresser au médecin . Pendant qu'il parlait avec les médecins moi je regardais ma mère je posais une main sur la sienne .

Hilary : Maman à quelle moment ? Hein dit moi tu n'étais pas malade , tu n'avais rien dû à quelle moment a TU perdu la tête pourquoi m'a tu abandonnés ,pourquoi m'as tu laisser toute seul.

Je m'effondre en larme sur la paume de main de ma mère , je pleurais à chaude l'arme j'aurai jamais dû venir ,jamais , Waren revint près de moi et me caressa la crinière comme pour me réconforter Caren elle n'arrivait à ne rien dire .

Hilary : je veux rentrer .

Waren : déjà ? 

Hilary : oui je ne me sens pas très bien

Waren : ok

Je me lève sans aucun derniers regards à ma mère , jai trop mal et c'est trop dur tout sa !

Je n'arrivais pas à croire que j'ai revue ma petite fille ,elle a tellement grandie et j'aurai tellement voulu la prendre dans mes bras . Je la regardais s'éloigner et une larme coula sur mon visage . Je ne t'ai pas abandonné ma fille, tu m'as été enlevé je suis obligé de faire semblant d'avoir perdu la tête . Ma fille je te promet qu'avant que je quitte ce monde tu seras la vérité bien que ce ne soit plus pour longtemps .

Depuis que nous étions sur la route Hilary na dit aucun mot et je préfère ne rient rajouté, je lui caressa la cuisse juste pour qu'elle sache que je suis avec elle .
Nous arrivons devant chez elle Caren descendit la première , et se fut au tours de Hilary de descendre , je la retient et lui demande de refermer la portière ce qu'elle fit sans discutée , il faut que je lui dise une chose que j'aï pu apercevoir lors de notre départ .

Waren : arrête de pleurer s'il te plaît tu sais que je ne suis pas un très grand consolateur .

Elle essuya ses larmes du revers de sa main . Et me fit un tout petit sourire

Waren : voilà il faut que je te dise quelque chose 

Hilary : rien ne pourrai t'être pire que ce que je viens de voir tout à l'heure

Je lui fis un sourire

Waren : voilà tout à l'heure Quand nous nous éloignions j'ai pris le temps de me retourner !...ta mère j'ai pu apercevoir des larmes sur son visage .

Elle me regardait et avait l'air de ne pas comprendre ou je voulais en venir

Waren : elle pleurait  sa veut dire quelle na peut -être  pas perdu toute sa tête

Hilary : sa ne veut rien dire Waren , elle pleurait peut-être pour autre chose

Waren : non je ne pense pas j'ai remarqué dans son regards certaine capacité mentale . Et elle avait les yeux rivés sur toi

Hilary : c'est trop pour moi Waren tu raconte n'importe

Waren : sur 1000 fois je me suis trompé que 2 fois sa je te l'assure

Elle ouvra la portière et voulu descendre .

Waren : referme cette portière je n'ai pas fini de parler

Elle souffla puis se rassieds tranquillement .

Waren : Quand je suis allé discuter avec les médecins sur le traitement qu'elle prenait et les cicatrices sur son Le corps de ta mère ils m'ont dit qu'il utilisait le fouets pour les punir lorsqu'il faisait une bêtise et j'ai pu remarquer qu'aucun autre patient ne portait de marque rouge ou de cicatrice sur le corp bien sûr tout sauf ta mère .

Hilary : et TU veux dire quoi par là Waren .

Waren : qu'il y'a quelque chose qui ne tient pas la route ?

Hilary : TU as fini ?

Waren : oui j'ai terminé

Elle descends et claque la portière violemment je sais que ce que je dis parais fou , mais je me trompe rarement et toute cette histoire me paraît louche