Chapitre trois.

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Énorme retard de ma part. Je tiens à m'excuser, je ne me suis pas donnée le temps d'écrire, que ce soit vis à vis du fait qu'il s'agit, cette année, de mon année de bac mais aussi des activités extérieurs. Je suis vraiment désoler, je ferais plus attention à l'avenir.
Bonne lecture!

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Milia se retourne, portant la main à son coeur, celle-ci ne s'attendait pas, loin de là même, d'obtenir une quelconque réponse.
En face d'elle se trouve un garçon, il doit avoir approximativement le même âge que la jeune fille, de grande taille, vêtue entièrement de noir allant parfaitement avec le même noir de ses cheveux mais contrastant vivement avec le bleu profond des yeux de celui-ci.
Que fait-il ici? Comme a-t-il découvert cette endroit? Toutes ces questions tournent en boucle dans la tête de la jeune femme. Elle ressent une certaine colère qu'une personne étrangère vienne dans son endroit, mais surtout que cette même personne ait entendu ses pensées.

"Qui êtes vous?!"

Sans s'en rendre, tout de suite, compte elle venait de cracher cette phrase, comme s'il s'agissait de venin, en espérant que l'homme prenne la fuite. Mais sa réaction fut tout le contraire, il hausse les sourcils, légèrement étonné du ton employé par cette nouvelle connaissance. L'ayant entendu parler tant de fois, toujours joyeuse, quelques fois triste, il ne pensait pas qu'elle pouvait agir de la sorte envers autrui. Il rentre négligemment ses mains dans les poches de son jean noir.

"Quelqu'un qui souhaite se reposer ici, mais qui ne le peut pas à cause d'une certaine personne qui n'est pas capable de régler ses foutues problèmes, ou même de les penser dans sa tête au lieu de les partager au monde"

Il savait qu'il avait était dur, après tout, après tous ce qu'il a entendu, toutes ses journées, il savait qu'elle a vécue des choses horribles et blessantes, mais il était comme ça, froid et légèrement trop franc. Et puis aussi et surtout il déteste quand on lui parle mal. Rien de plus étonnant.
La jeune femme quant à elle, elle sentait sa colère grandir un peu plus. Mettant les politesses de côté, elle s'exclame.

"Pour qui tu te prends à me parler comme ça? Si tu es si mécontent tu n'as qu'à partir, tu ne devrais même pas être là!
-Peut-être que je le devrais plus que toi"

Le coeur de Milia lui fait atrocement souffrir suite à cette phrase prononcé avec tant de mépris par l'inconnu. Elle en avait le plus de droit d'être ici, il s'agit de son père.

Je croyais être seule.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant