Papy... Ça fait un mois aujourd'hui et ça fait toujours aussi mal. Je t'avais promis que lorsque je reviendrais sur Paris te voir, tu ne serais plus dans cette chambre, tu serais à la maison. Une partie de cette promesses s'est réalisée, ce n'était plus une chambre mais tu n'allais pas vraiment mieux. Dans un sens oui car tu n'avais plus à te soucier de tes problèmes de santé, à souffrir mais tu n'étais plus avec nous. Tu nous as laissé, tu as laissé ta femme que tu aimais tant, tes enfants que tu chérissais, et tes petits-enfants que tu adorais. Papy, je ne t'ai pas dis au revoir et j'ai ces deux dernières images de toi qui me hante. La dernière fois que je t'ai vu, le 27 décembre, tu étais dans cette chambre d'hôpital avec tout ces fils et ce masque qui t'aidait à respirer. Tu avais un regard que je ne saurais décrire et tu me tenais ma mail puis me caressais la joue droite. Et dans vette piece vide, tu étais si froid c'était horrible à un moment j'ai mis ma tête sur ta poitrine et je priais pour entendre ton coeur battre mais rien, il n'y avait plus aucun espoir... Papy tu me manques tellement je réalise toujours pas, mais tu étais si beau dans ce costume que tatie juju t'avait mis, papy... Je t'aime tant je ne pense qu'à toi toute la journée et je me déteste de ne pas pouvoir venir te voir tout les jours. Je suis désolée Papy, j'espère que tu es heureux là haut et que tu prends bien soin de mamie.
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Mon Journal
Non-FictionPar moment on ne peut pas s'adresser à certaines personnes, il y a de multiples raisons qui cause cet empêchement. Seulement, bien souvent, on repensé à ces personnes et les messages qu'on aimerait leur transmettre et ça nous ronge. Alors, il vaut m...