Tome 1 - Doki Doki Literature Club : Une vraie fin heureuse

Prologue : Une fin pas si heureuse...

Je ne comprends pas... J'ai toujours voulu cette fin, mais j'ai l'impression que quelque chose manque...

Sayori est de retour et est très heureuse, Yuri est revenue à la normale et Natsuki... est Natsuki !

Mais au fond de moi, je sens que quelque chose manque... Qu'est-ce que ça pourrait bien être ?

??? : Joueur, à quoi penses-tu ?

Une voix aigue me sortit de mes pensées. Ugh, Sayori...

Moi : Hein, heu, à rien, à rien...

Sayori : Tu es sûr ?

Moi : Ouais, ouais, t'inquiètes pas !

Sayori : Ok !

Nous continuâmes à marcher en direction de chez nous. Après quelques minutes de marche et de dicsussions inutiles, nous arrivâmes devant chez nous.

Sayori : À demain, Joueur !

Moi : Demain, c'est le premier jour de vacances.

Sayori : Je sais ! Mais tu m'as promis qu'on irait manger une glace demain !

J'ai vraiment promis ça ? Je ne m'en rappelle pourtant pas.

Moi : Quand est-ce que j'ai dis ça ?

Sayori : À l'instant...

Sayori me regarde comme si j'étais le plus grand des idiots. Il faut que je me rattrape !

Moi : Je... Je le savais ! Je voulais juste te tester !!

Sayori : C'est ce que tu dis tout le temps lorsque je me rends compte que tu ne m'écoutes pas !

Voulant arrêter cette conversation, je me dirigea rapidement vers ma porte d'entrée et la salua d'un geste de la main. Elle, par contre, me regarda avec un regard foudroyant mais mignon.

Lorsque plus personne ne put me voir, je soupira.

??? : Salut !

Je cria. Il était impossible qu'il y ait quelqu'un avec moi dans cette maison, mes parents ne vivaient qu'à quelques trentaines de mètre d'ici et personne d'autre que moi n'a la clé ! Je leva mes yeux et vit quelqu'un que je ne pensa pas revoir de sitôt.

Monika : C'est pas très sympa d'ignorer tes amis.

Moi : Que fais-tu là ?!

Monika : Assis-toi, fais comme chez toi !

Je lui lança un regard voulant dire que je trouvais stupide ce qu'elle venait de dire, mais elle n'avait pas l'air de comprendre mon regard.

Moi : Je... je suis chez moi...

Son regard changea directement. Je pense qu'elle se sentait un peu stupide. Je décida de la réconforter à ce propos.

Moi : Mais... mais c'est pas si grave... ce n'est pas comme si tu avais dis quelque chose de super stupide !

Monika : Merci d'essayer de me faire passer pour... Oublie ! Assis-toi juste. Je vais t'expliquer ce que je fais ici.

Je décida de faire ce qu'elle me dit et m'assit sur un fauteuil de mon salon. Elle fit de même et prit un air sérieux.