Les petites moments de voldemort

Chapitre 1 : la découverte

Fourchelangue

(note de l'amie qui ma corriger sa me faisait rire donc je les ais laisser ^^)

N'avez vous jamais penser à ce que faisait notre cher Seigneur des Ténèbre lorsqu'on ne parle pas de lui ? Et qu'il est seul ? Moi je le sais, et je vais vous le raconter, mais CHUUUT !

C'était un doux après-midi d'été, Voldemort ne pouvais rien faire car ce satané Potter était sous haute protection et il avait envoyer ses Mangemorts un peu partout en mission. Il ne lui restait personne.

Enfin seul dans sa demeure, il était installé dans SA pièce : des murs aux couleurs pales et douces. Sur l'un d'entre eux, trônant fièrement, une grande cheminée en marbre blanc ou l'on distinguait les reste d'un feu et devant, une petite table en bois clair posée sur une joli tapis vert pâle. Personne n'avais le droit de venir, sauf une : Bellatrix.

Assis sur son fauteil préféré – le vert pomme avec des petits fleurs rose – Il se frotta les mains et passa sa langue de serpent sur ses lèvres. Nagini, sa douce Nagini, vint se lover sur ses cuisses comme un petit chat. Il commença à lui grattouiller la tête et le reptile émit de petits sifflement tels les ronronnement d'un chaton.

-Bella !!!appela Voldemort

La porte s'ouvrit sur une belle jeune femme aux cheveux bouclés noir corbeau qui souriait tendrement (c'est super chelou d'imaginer ça tu te rends compte) Ah ! Qu'elle aimait voir son maître se détendre comme il le méritait.

-Oui, My Lord ?

Et non elle ne s'inclina pas. On aurait dit une parfaite petite épouse a ce moment là.

-Peux-tu, ma douce Bella, m'apporter mon gouter. (et il prends quoi ? Des BN et un verre de lait?)

-Bien sûr, je viens de le finir. Je vais le chercher ainsi que celui de Nagini.

Lorsque Bella dit cela, il frappa joyeusement dans ces mains (chouette, mes BN!). Cette dernière sortit rapidement pour aller vers les cuisines : jamais elle ne laisserais un pauvre elfe de maison toucher la nourriture de son cher et tendre maître.

-Nagini, ma belle, que veux-tu regarder aujourd'hui ?

-La sssuite de la dernière fois.

-Quelle bonne idée !

Il agita sa baguette et un grand écran magique apparus sur le mur. D'un autre mouvement il ferma tout les rideaux de la pièce. Au même moment, un toc-toc se fit entendre : il ouvrit la porte grâce à un sort et trouva un Bella vêtue d'un beau tablier vert menthe à froufrous. Elle poussait un petit chariot remplit de douceurs de tout genre (zut ! Pas de BN) et d'un beau service à thé en porcelaine blanche décorée d'un petit oiseau bleu posé sur un branche d'arbre : le service à thé préféré de Voldemort.

Il l'avais trouvé lorsqu'il cherchais LE village de la semaine à attaquer. D'ailleurs il avait lui-même tué de la vermine Moldu pour le récupérer. Ah, Quel beau service ! Avec sa propre petite histoire en plus.

Elle déposa le tout sur la table basse, servit une tasse de thé fumant à la rose, puis déposa un léger baisé sur le crane chauve de notre petit Seigneur des Ténèbres avant de partir.

-Merci Bella.

-Je vous en pris Maître. N'hésitez pas à m'appeler, je serais sûrement en train de m'amuser avec de la vermine.

-Ah que sa voix est mélodieuse, et que j'aime ces yeux pétillant de folie lorsqu'elle joue.

-D'ailleurs papa, tu devrais lui offrit un cadeau c'est bientôt sont anniversaire.

-j'y est penser, un joli petit village moldu rien que pour elle, et je leur métrais chacun une bougie sur la tête, je ne devrais pas non plus oublier d'envoyer les carton d'invitation, et prendre mon appareille photos.

-je vous aiderais.

Sur ces mots Voldy alluma la télévision et mit la suite de leur série favorite, à lui et à Nagini : Les Feux de l'Amour. Ils adoraient ce feuilleton. Il y avait tellement de tromperie, de jalousie, de mensonges. Oh qu'ils aimaient ça tout les deux ! Il avait découvert cette série en rentrant dans la tête de ce stupide Gryffondor. Apparemment le truc qui lui servait de tante adorais regarder ça, et il voyais parfois des bout de la série en faisant le ménage (est-ce que j'ai le droit d'imaginer Harry en train de faire le ménage dans le même tablier que Bella?)

Il enleva le couvercle d'une assiette et pris une grosse souris pour la donner à Nagini qui la goba délicatement dans la main de son père. Elle aimait les souris que tata Bellatrix ramenait de mission : elle étaient toujours bien grosses. Une fois pour son anniversaire sa tante lui avais offert une souris enceinte. Un vrai régal ! (mais c'est super glauque ton truc ! Oh miam, une souris fourrée à la souris, génial!). Voldy, lui, pris un bon morceau de gâteau au chocolat, leur yeux toujours captivés par l'épisode.

-Par Serpentard, je m'attendais pas à ce que Veronica ai une si belle mort. Elle s'est empalée sur un crochet dans son étable, quel beau suicide. (s'empaler tout seul, effectivement c'est pas commun. Faudra prévenir son kiné qu'elle aura plus besoin de lui par contre)

-Mais comme sssa Joshua va pourvoir être avec Niki.

-Je me demande si ce n'est pas lui qui l'à pousser à faire ça d'ailleurs.

-Quelle belle idée il aurait eu.

-Oui Nagini, quelle belle idée. Je vais essayer la prochaine fois.

Ils regardèrent l'épisode suivant, mais des bruits de transplanage et de pas se firent entendre. Bella vint frapper à la porte, cette fois habillé de sa classique robe noire. Quand elle vit que son maître chéri n'avais même pas eu le temps de manger tout son goûter et que l'épisode n'étais pas fini, elle se promis de torturer ces idiots de Mangemorts revenus trop tôt. Voldemort se leva et hocha la tête. Bella parti dans la salle du trône, vite rejoint par un Voldy en colère. Il jeta un Doloris à celui qui avait oser arrivé en premier, Nagini à côté de lui menaçant de mordre à tout moment. Dire qu'il allais savoir ce qui s'était passer avec Véronica et qu'ils n'avaient même pas fini leur thé et les gâteaux.

Le pauvre Goyle se reçu pas mal de Doloris ce jour là. Lucius et Severus, qui avaient compris depuis longtemps que si le Maître ne précisait pas de revenir rapidement il fallait être de retour le plus tard possible, étaient restés sagement en retrais, laissant leur collègue se débrouiller tout seul. De toute façon ils n'aimaient pas Goyle, bien fait pour lui.