Le tragique accident

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 Aujourd'hui ,nous arrivons à l'un des plus important petits moments de Voldemort. Alors sans plus tarder, place à la danse.

Nagini étais entrée plus tôt que nos trois beau garçons dans la salle de bal, pour pas éveiller les soupçons sur l'identité de leur Maître. Lucius, lui, fit son entrée au bras de sa magnifique femme, vêtue d'une belle robe couleur d'argent. Leur fils se tenait à leur droite, fier comme son père. A peine étaient-ils arrivés que les regards se posèrent sur eux. Notre petit Lulu conduisit sa femme au centre de la piste.

-Oh mon Lucius, tu es le meilleur danseur qui puisse existé.

-Ma douce, je danse aussi bien uniquement pour montrer aux autres hommes que seul moi peut te convenir. (donc même si c'est un crétin, tant qu'il sait bien danser c'est bon. Narcissia, tes critères de sélection sont un peu particulier dit moi)

-Lucius, tu vas me faire rougir.

-Les rougeurs vous vont tellement bien ma très chère.

De l'autre côté de la porte, alors que Lucius et Narcissa s'occupaient en virevoltant sur toute la piste – éclipsant sans vergogne tous les autres danseurs – se tenaient Voldy et Severus.

-Oh mon fils, tu n'as pas de cavalière ?

-J'en est pas besoin.

-Et cette file de la dernière fois, elle te plaisais pourtant, non ? (tu sais la rousse qui aime les gars à lunette)

-Mais.... j'ai pas réussi à lui demander, dit-il d'une petite voix en rougissant.

-Oh mon tout petit bébé, papou va arranger ça.

-Non, c'est bon, je t'assure.

Mais Voldemort n'avait pas pris la peine d'entendre ce que lui disait son fils et il entra fièrement dans la grande salle. - Parfais personne ne semble m'avoir reconnus -

Il trouva sans soucis Bellatrix,, grâce aux informations de son futur beau frère, vêtue d'une somptueuse robe bleu roi marquant magnifiquement ces formes. - Par Serpentard, elle est belle a en damnée un Saint. Pfff elle ne mérite pas ce stupide Lestrange, il n'est même pas assortit à elle -

Avant d'aller vers sa belle, il chercha l'héritière qui avais ravis le cœur de son fils. Il était tout content, avec un peux de chance, il pourrait être grand père. - Oh oui grand père, et il m'appellerait grand papout. Ouuu je l'imagine déjà tout mimi avec ses petits petons et ses petites mimines –.(et moi je m'inquiète grandement pour l'avenir de cet enfant)

Il la trouva quelques minutes plus tard. Sev, quand à lui, venait juste de rentrer et se tenait droit comme un piquet dans un coin, un verre à la main - Parfais, ne bouge pas mon fils, papa vas devenir grand père - Voldemort regarda la jeune fille, ces longs cheveux châtain étaient lâchés et tombaient sur ses épaules. Une fois près d'elle il lui souri joyeusement -Ma future belle fille -.

-Bonjour jeune demoiselle, avez- vous un cavalier ?

-Hélas non. Pourquoi jeune Lord ?

-Voyez- vous, mon fils là-bas est un grand timide, et sensible. Il n'ose pas vous le demander, mais il aimerait vraiment être votre cavalier.

-Oh, Severus ? Il est si adorable. Mais en êtes-vous sûr ?

- Bien-sûr, je connais mon fils, il bomba le torse, fier. Mais comment l'avez-vous reconnu ?

-Comment pas reconnaître une telle prestance. Et ces cheveux d'un noir corbeau soyeux, qui brillent à la lumière. (L'oréal, parce que je le vaut bien, répondit Severus au même moment en lançant ses cheveux au dessus de son épaule)

Les petites moments de voldemortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant