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"Ce doux son"

Hey! Je vous rappelle que c'est un OS de Kacchan et Deku dans le cadre du Kacchan's fanclub !
Tout au long de l'histoire nous serons en PdV Kacchan, je le précise car je ne le dis à aucun moment. Et aussi, quand il utilise "il" bien sûr il parle de Deku !
Aller ! Bonne lecture !

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Un accident. Tout à commencé lors d'un accident. C'était une belle journée d'été, et pour une fois que j'avais accepté de passer l'après-midi avec lui... Je me rappelle qu'il avait sauté de joie à l'entente de ma réponse. Nous avions mangé ensemble et marché dans le parc ensoleillé. Je me rappelle de sa main qui effleurait la mienne à plusieurs reprises. J'avais tellement envie de la prendre et de caresser sa douce peau. Je me souviens de son doux sourire quand je lui avais proposé de manger une glace, il sautillait dans tous les sens. Nous avions donc partagé ce dessert sur la terrasse du glacier. Il avait tellement un air enfantin et joyeux qu'un sourire s'était étiré sur mes lèvres.
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Un sourire s'étirait sur mes lèvres à cette vue.

- " Pourquoi tu souris comme un con ?"

- " Q-quoi ?! Dis pas n'importe quoi sale nerd."

Je détournais la tête, gêné.

- " T-tu rougis en plus ?!"

- " Mais non putain ! Tch."

- " Désolé, je voulais pas t'énerver, c'est juste que c'est tellement rare. En plus t'es trop mignon comme ça !"

Il dit ça avec une telle simplicité que mes joues devenaient encore plus rouge. Et quand je l'entendis rire, je ne pus m'empêcher de le rejoindre.

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Après avoir fini, nous étions retournés au parc devant le petit étang. Nous nous étions assis sur un banc, côte à côte, nos épaules se touchaient. J'hésitais, devais-je prendre sa main ? Puis finalement, je m'étais lancé et je l'avais pris, si fragile entre mes doigts. Il n'avait rien dit mais je ne voyait pas son visage étant donné que j'avais tourné la tête, gêné. Mais finalement, je le regardais lorsque j'avais senti une pression sur mes doigts. Il regardais ailleurs, mais ses yeux verts sont venus se planter dans les miens. Nous nous regardions, sans rien dire. Sans nous en rendre compte, nos visages s'étaient rapprochés l'un de l'autre. Mon regard passait de ses yeux à ses lèvres. J'en avais envie, je voulais les embrasser mais j'étais effrayé par l'idée qu'il me rejette. Donc je n'avait plus bougé malgré que lui s'avançait encore. Et c'est quand ses lèvres vinrent toucher les miennes que je me lachais, ma main vint se poser sur sa joue. J'avais appronfis ce baiser, me rapprochant vers lui. Il s'était collé à moi, bougeant ses lèvres contre les miennes. J'avais demandé l'accès à sa bouche grâce à une légère pression sur ses lèvres de ma langue. Lorsqu'il me le donna, nos deux membres se rejoignèrent dans un danse endiablée. Les yeux fermés, nous nous embrassions. En manque d'oxygène, nous nous détachions l'un de l'autre. Il avait les joues rouges, les cheveux en pagaille et le souffle court. Un sourire béat éclairait son visage. Dans ma tête, je rigolais de lui mais j'étais sûrement pas mieux. Lorsque mon cœur décida de se calmer légèrement, je m'étais levé en lui tendant la main. Il l'avait accepté avec plaisir, et c'est ainsi que nous reprîmes notre promenade, main dans la main. Nous marchions en direction du cinéma, mais il ne le savait pas. Je me rappelle qu'il faisait que de me demander où nous allions et que moi, je gardais le silence. Lorsqu'au loin nous avions vu le bâtiment, tout excité il m'avait lâché la main et partit à toute vitesse. Je courrais après lui, lui demandant de s'arrêter.
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- " Attends moi !"

- " Ahah ! Non ! Le dernier arrivé est une poule mouillée !"

Je m'élance à sa poursuite, car le connaissant, il est tellement maladroit qu'il pourrait se blesser.

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Tout était allé trop vite. Je le vois encore s'élancer sur le goudron au feu vert mais une seconde après il n'était plus là. Il avait été percuté par un voiture qui n'avait pas vu le feu. Je l'avais vu étendu sur le sol trois mètres plus loin. Du liquide rouge avait commencé à former un flaque autour de lui. Mes mains tremblaient, je ne comprenais pas ce qu'il s'était passé. Je me souviens de cet homme qui m'avait hurlé d'appeler une ambulance.
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- " Jeune homme ! Appeler une ambulance !"

Quoi ?

- " Dépêche toi d'appeler quelqu'un ou ce gamin va mourir !"

Mourir ?

J'entends quelqu'un, mais je ne pouvais rien faire, mon corps est paralysé à la vu de lui au sol, en sang.

Soudain, mon corps réagit lorsque je sentis une claque sur la joue. Je relevais le regard et vis un homme qui me gueulait dessus.

- " TU VA TOUT DE SUITE TE REPRENDRE EN MAIN ET APPELER UNE AMBULANCE !"

Je sors mon portable à la seconde où je compris ce qu'il voulait. Je compose le numéro de l'hôpital et portais le téléphone à mon oreille. Alors que j'explique la situation à la personne de l'autre côté, des larmes dévalaient de mes joues. Je ne peux pas retenir mes tremblements et manque plusieurs fois de faire tomber l'objet dans mes mains.

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Ils étaient arrivés le plus vite possible.
Je me rappelle que l'ambulance avait accepté pour que je monte avec eux vu mon état. J'étais à la limite de faire une crise d'angoisse. Dans le véhicule, je ne lachais pas sa main et pleurais sur son corps, encore vivant d'après les ambulanciers. Je me souviens qu'à l'hôpital, les infirmiers avaient dû m'arracher de lui, pour qu'ils puissent le soigner. Je devais donc attendre sur une chaise dans le couloir. Mais je ne pouvais pas tenir en place, je tournais en rond comme un lion dans une cage. C'est 5h plus tard, qu'ils acceptèrent que je puisse rentrer dans sa chambre. Il était là, sur son lit blanc. Seulement ses cheveux verts ressortaient par rapport au décor autour lui. Il était branché à plusieurs machines qui indiquaient plusieurs chiffres ou tracés que je comprenais pas. À peine je prononçais son nom que l'une des machines se mit à biper. Affolé, je m'étais jeté vers lui pour attraper sa main, froide. Je ne voulais pas le perdre. Les larmes coulaient quand des docteurs rentrèrent dans la chambre et me demandèrent de partir. Je ne voulais pas, je me mis donc dans le coin de la pièce pour ne pas le gêner. L'un des docteurs commença un massage cardiaque pendant que les autres bidouillaient les machines, appuyaient sur plusieurs boutons. Je me mis à trembler, les larmes déferlaient sur mes joues. Et quand je vis le médecin arrêter le massage et que la courbe sur l'un des écrans se mit à faire des tracés bizarres, je m'effondrais au sol tellement mes jambes ne tenaient plus.

Et puis j'entendis ce son, ce doux son qui m'indiquait que le cœur qui faisait battre le mien, était bien vivant.

FIN

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Voilà !❤
C'est mon premier OS donc soyez indulgents 😅
Je pense pas trop avoir respecté le caractère de Kacchan mais je ne pouvais pas faire autrement pour l'histoire !
Je m'excuse pour les fautes d'orthographes !!
J'espère que ça vous à plus, je vous fais de gros bisous ❤

Ghaliane ⚔