Chapitre 1:Ce jour la...

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Je monte la pente de l'église, pour atteindre mon arrêt de bus, mes chaussures blanche ressorte dans la lueur du jour quand j'ai atteins le croisement. Mes mains sont rouge de froid, il fait -3 degrés aujourd'hui.
Je gravis les trois marche du bus, avec orgueil.

Je traverse l'étroite allé du bus, cherchant à porter de vue un siège libre à coter de la fenêtre, je trouve mon siège et m'asseois.
Le bus avançe sur cette route que l'on prends tous les jours, nous arrivons dans la clairière où se trouve une forêt d'un côté et de l'autre une forêt légèrement déboisé, entre celles ci un espace avec un champs, une larme salée coule sur ma joue qui se réchauffe et s'estompe grâce à la chaleur du bus. Je regarde à travers la vitre, mes yeux sont brouiller par les larmes, puis mon regard se calme a cause de l'image clair qu'ils viennent d'apperçevoir et se concentre sur une forme majestueuse parmis les alentours brumeux qui s'humidifie avec la rosé, mon regard devient de moins en moins humide. Je compris se qu'était cette forme avec quelque minute de réflexion, à travers la brume, se trouve au loin près du tas de foin, un groupe de cerf, de faon et de biche qui sortent de la forêt : les deux cerf sont vraiment grand et majestueux portant sur leur tête une paire de bois immense qui peuvent a coup sûr faire tomber un camion de
deux tonnes.

Le bus roule doucement à cause du verglas, de l'autre côté de la route, le côté est remplie de ronce et de déchet de planche et de clous qui sont déposer la tard dans la nuit quand personne ne roule par le ferrailleur de notre village, le bus arrive à la fin de la clairières quand le choc ma surpris, un des deux mâles percutta le millieu du bus, celui ci roula et tomba dans le fausser, le choc ma assomer, mais avant de mourrir -se que je pensais- je vit le soleil se lever à travers la vitre brisée j'ai un bout de verre dans la jambe et ma ceinture va bientôt se détacher et je vais tomber sur une planche avec de grand clou rouiller avec le temps, je suis sûrement et même peut être la dernière survivante, j'ai mal, je ferme les yeux pour ne pas y penser et me souviens de tous se que moi et mon entourage avons vécu avant se jour la.

Ma ceinture se détache et je tombe, une music passe malgré la rapidité du choc transperçant. Les clous transperçe mon poumons droit et je me sent vide, je ne peux plus maintenant, je ne peux plus me retenir de pleurer ou de penser à lui, mon souffle se coupe respirer devient difficile à présent, mon cœur bat quelque instant et le temps de me rappeler le visage de celui que je définissait par "Juste lui" le visage des autres apparue comme si il me brouillais le passage je ne voie plus rien, le noir instantanée, le ressenti de vide, alors c'est sa de mourir sous l'effet de l'émoragie, le sang d'une quarantaine de jeune se déversse dans le creue du sol. Le vide instantanée, le silence froid, ma music qui continue de tourner, l'horrible sensations d'être seule face au monde. Ces sa la mort, être face à nous même à se que l'on devrait être, mais tous le monde ressemble à tous le monde, le groupe des moutons noir, nous sommes en soit tous des moutons de couleur blanche mais certains d'entre nous sont noir (ces magnifiquement rare de trouver des personnes comme sa).

Les urgences sont appeler quelque heure plus tard.

Si l'Amour Peut Guérir...  {Terminer} et {Publier}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant