Chapitre 2:Les battements de sont cœur

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J'entends les sirènes des pompiers, les pas des gens, le bus est complètement retourner après l'accident, je n'ai plus rien en moi, je suis vide, remplie de haine et de tristesse pour mon entourage et contre se cerf, qui nous a percuté quelque heures auparavant.

  Les corps sont froid et glacé, mon cadavre ne ressemble à rien j'avais des baskets Filla se jour là et j'étais contente de les avoir, un pull blanc et un jean bleu mis fonçé mis clair.
    Mes habits sont tous tâcher par le sang qui s'écoule de ma blessure, je voie tous les autres corps étaler sur le côté recouvert de drape d'où il seront ensuite enlever pour être mis dans des housses mortuère.

Je marche, personne ne me voie, je suis perdu...  je commence à comprendre que je ne suis pas là où devrais aller les mort mais justement pourquoi ?

   J'essaye quelque mètre plus loin vers le camion de pompier, je tente de m'approcher d'un pompier et de toucher le bras de celui ci pour voir si il réagis à ma présence, une impression bizarre entoure ma main pour moi le contact avec la combinaison jaune et rouge de cette homme étais réel..mais se n'étais qu'une impression, pourtant au contact de ma main, son regard ce tourne vers moi, mais il ne me voit pas je reprends alors ma marche. Je ne sais pas depuis combien de temps je marche mais je n'ai pas encore atteint mon collège(la au moment où l'accident ces produit j'ai 20ans), une fois atteint, je vois comme à mon habitude, un groupe de jeunes qui se réunit comme chaque matin pour fumer et parler ensemble, j'avançe sans les détaché des yeux, parce qu'il me semble reconnaître quelqu'un, chacun de mes pas imprimés sur le sol encore enneigée de la veille, mais qui d'ici se soir auront disparu, une musique s'affiche à chaque regard que je lance sur mon téléphone, Daughter- Romance, au moment où je passe derrière l'un deux, qui porte un manteau noir et sa capuche recroquevillé sur sa tête me cache son visage, au moment où je passe derrière lui, la brise caressa mon visage et emporte avec lui un vent de mon parfum qui lui fait lever la tête et se retourner, il retire sa capuche et hume le parfum qui passe et ferme les yeux en appréciant l'odeur,  je vis sous la brume la sombre tête de Jordan j'avais des sentiments pour lui et lui pour moi; mais il avait une copine enfin c'était assez compliqué en se moment, a chaque regard que l'on se lançait l'électricité statique passait, mon regard est surpris quand il tourne sa tête vers moi sans me voir, il sait....Lui au moins sait que c'est moi, il sentait que j'étais là, ma pensée de lui étais insurmontable je n'arrivais pas à penser à autre chose qu'à lui.

  Leur bus arrivent, il avançe, avec des pas lourd, sans me lâcher du regard.
Je reste cloués là sur place, je fais une rotation pour me tourner dans le sens de vue de la cour de récréation elle est vide... .

  Il est 14:00 , Jordan est la devant le collège, assis sur le rebord de pierre du pont, il fixe droit devant lui, dans son champ de vision il y a moi, je suis assis la depuis 7:50 à fixer tous droit le regard.

Sa meuf arrive et il regarde dans une autre direction avec un air désespérer:

-Coucou bb.

Elle va vers lui pour l'embrasser, je détourne mon regard mais a ma grande surprise et celle de sa copine, il se poussa toujours en me fixant, ces potes le rejoigne mais il ne lâchait pas du regard sa direction droit devant.

-Salut. Répliqua t-il pour dire bonjour à ses potes.
Charlène changea de sujet et répliqua:

-Au faite vous avez vue le bus qui ces retourner dans le fausser ce matin? Ces horribles ! Ma mère m'a dit que il y avait des mort.. dit-elle en regardant tous le monde.
Elle rajoute un peu tristement ironique:
- Ils avaient notre âge !

-Ouai et d'ailleurs une filles dans ma classe et morte dedans, mais c'était une pauvre pute et puis sa ne vas pas changer le monde qu'elle soit morte. Ajoute la petite amie de Jordan.

-Oui la petite la qui te regardait mal, comment elle s'appelait cette pute déjà? Cherchant Ludovic.

Les sentiments de Jordan envers moi était trop dur a retenir intérieurement.. en vérité il n'avait pas écouter de quoi parlais Charlène, Ludovic et sa copine. Il n'étais donc pas au courant de l'accident, il descendit du muret d'où il était assis et main dans les poches et tête pensive il partie en direction du skate parc.

-Quesque tu fait bb?

-Ne m'appelle plus comme sa ces finit nous deux et puis pour ta gouverne la fille que tu insultes elle s'appelle Isabelle et je l'aime tu comprends sa! Toi tes juste une merde et ne tache pas de l'appeler encore une fois pute car je t'exploserais la gueule sans remords alors pense se que tu veux mais je ne veux plus jamais vous voir.
Alors si sa ne vous dérange pas trop je vais aller lui annoncer mes sentiments pour elle! Finit-il

Charlène et Ludovic essaye de lui dire que un accident et arriver mais il n'écoute rien.

Après sa il part et passe un petit regard discret derrière son épaule comme pour me dire de venir.

Il est 18:00 le soleil se couche et cela fait plus de 3h que je suis avec lui, enfin mon aspect fantômatique il  regarde droit devant lui en tournant la tête vers moi, il sens ma présence.

Il parle à mon esprit sans vraiment savoir que je l'entend, enfaite il s'entraîne a comment m'avouer ces sentiments envers moi:

- Je voudrait faire un truc que je cherche à faire de puis longtemps sans y arriver...

Il s'arrête un moment puis reprend en soupirant :

-Je...t'aime..

Je n'arrivais pas à entendre se qu'il disait... Je ne bougeait plus ces mots qui sorte de sa bouche dont tellement improbable...

-Mais j'avais peur que sa ne soit pas réciproque...

Si seulement tu savais...

Il regarde devant lui, il regarde au loin et il soupire avec un rire accompagnateur:

-Je sais que entre toi et moi on n'avait pas une relation ami ou même plus, en réalité je n'ai jamais osé te parler je veux que sa change, je veux t'avoir à mes côtés chaque matin, chaque jours, chaque heures qui remplissent ma vie....et...j'ai même une....

Mais cette phrase n'eut pas le temps de se terminer que son téléphone sonne:

-Allô maman?
-Oui... J'ai quelque chose à te dire... .
-Dis moi
-Il y a eu un accident avec un bus plein de personnes d'Esternay et de Sézanne et de ce qui prennent se bus pour aller travailler et....
-Et..... En quoi cela me concerne, il y avait une personne que je connaissais?
-Dans se bus il y avait....une fille que j'espère tu connais...
- Qu'elle est son nom?
- Isabelle je croit, oui, car je connais sa mère on travaille ensemble... Tu la connais...
- Je ...la connait peut mais .... Il étouffe un rire puis... .

Une boulle se forme dans sa gorge, sa mère reprend la parole pour le rassurer:

- Je viens d'avoir sa mère au téléphone, ils ont emmené Isabelle a l'hôpital car il pense qu'elle est encore vivante... Elle pousse un petit rire nerveux. Je vient te chercher reste où tu es, ok?

Il crie de toute ces force et pleure il laisse tomber le téléphone et raccroche.

-Non!!non! ces juste impossible tu peux pas enfin non! Tu dois te battre pour revenir je pense que j'ai pas été assez présent pour toi malgré tes problème... Je regrette maintenant...je regrette de pas avoir donner ne mes nouvelles plus tôt et puis quand on sortait ensemble j'ai fait une connerie de te dire que je ne t'aimerais plus jamais...

Il n'a pas a regretté...

D'un seul coups je suis pris d'un coups dans le cœur se qui me fait tomber du haut de tas de copeau de bois je dévale la pente et un souvenir glissa avec moi.

Voilà la suite dans le prochain chapitre je voudrais bien que cette histoire apparaisse en vrai en livre plus précisément comme @valeriel

Si l'Amour Peut Guérir...  {Terminer} et {Publier}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant