Cinquième chapitre

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J'arrive devant le train la boule au ventre. M. Pronbalius vient d'arriver mais le policier en chef M. Courain n'arrive pas. Je m'imagine tout et n'importe quoi.

Voilà tout ce que je m'imagine:
-M. Courain nous temps une embuscade pas loin.
-M. Courain est dans le train et essaye de faire exploser le train. Pour nous tuer.
-M. Pronbalius fait genre de rien savoir alors qu'il sait tout ou il veut me kidnapper.

Une seule chose:
J'ai peur.
Je ne sais pas à qui en parler. Si M. Pronbalius découvre que je le sais et qu'il est complice avec M. Courain, il va vouloir se débarasser de moi.
Si j'en parle à Mme. Diamin je ne sait pas comment elle va réagir. Je ne vais pas non plus attendre la mort de M. Pronbalius. Que faire continuer l'enquête seule est trop dangereux.

Je sais! Je voler le permis de port d'armes de M. Truc. C'est risqué mais bon au point où nous en sommes...
Bon je t'enterai.

PAN PAN

Je me jette à terre derrière un rocher. Là j'attends, je nose plus bouger.
J'entend à nouveau deux coups de feu.
PAN PAN
Et un crit déchirant retentit.
Haaaaaaaaa! c'était un crit d'agonie de douleur et de détresse.
Ce crit mourrut quelques secondes après. Je jette un rapide coup d'œil et la je vois M. Pronbalius dans une marre de sang. Et je vois M. Courain sortir de derrière un gros rocher un revolvert à la main. La peur me noue le ventre. Partir est risqué, rester est aussi risqué. À un mètre il y a un ènorme arbre. J'observe discrètement M. Courain pour savoir quand partir.

La j'entends la voie de M. Courain
-Où est la fille? cracha au visage de M. Probalius.
-Par... là. fit-il en indiquant fébrilement l'opposé de ma cachette.
M. Pronbalius va mourir je le sais je ne peux plus rien pour lui. Juste le remercier et filer en direction de la fôret puis aller au commiceria de police pour demander de l'aide. Pendant ce temps M. Courain est parit dans la direction que M. Pronbalius lui a indiquer. Il est loin. Je remercie le et il meurt juste à la fin de ces dernière paroles qui sont:
-Tu est courageuse tu dois maintenant affronter ce danger. Il va rejoindre le commiceria de police. J'ai une preuve infallible qu'il était conducteur du train. Va dans la cabine de commendement. Le quatrième tirroire en haut en partant de la gauche tu trouveras toutes les preuves dont tu auras besoin bonne chance.

Maintenant qu'il est mort j'ai très peur. Je ne veux pas rentrer dans le train. Mais je dois le faire pour ce brave monsieur qui est mort en me sauvant.
Je rentre dans le train prent le tiroir que M. Pronbalius m'a dit de prendre. Et cours au comiceria.

PAN PAN
Deux nouveau coups de feu venait de partir. Je courait de plus en plus vite. J'arrivais dans la ville, je rentrais en coup de vent dans le commiceria de police. J'ai tout expliquer.
5 policiers sont partis avec moi. Devant le corp de M. Pronbalius j'ai troivé une lettre. La voici:
J'en avait marre de la vie je me suis tuer. Adieu
M. Pronbalius.

Le truc tellement pas crédible. M. Pronbalius n'a pas de permis de port d'armes aucune n'est a proximité en plus  l'écriture est celle de M. Courain, les policiers ont fait fermer la zone du crime au public et nous sommes retournés au commiceria.

L'histoire d'une filleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant