Chapitre 5

492 34 4
                                    

Precédant chapitre avec le point de vue de Kuki.

Depuis mon combat avec Donato beaucoup de découvertes m'ont été faites. La déclaration de Saiko mais aussi à quel point j'étais faible et ignorant. Je refusais, encore aujourd'hui, de donner raison à Porpora.
À partir de ce moment là, je me suis renfermé sur moi. Encore plus qu'avant. Et mes démons revenaient. Plus intense que jamais. En particulier un moment. Shirazu. Oui c'etait la mort de mon coéquipier qui me hantait le plus. Je ne voulais plus que cela arrive.

Depuis ce jour là, j'étais devenue quelq'un d'autre. Un chef qui prenait soin de ses cadres. Je n'etait plus ce gamin arogant se croyant au dessus de tout le monde.

Alors que j'étais plongé dans mes pensées, j'entendit la voix de t/n derrière la porte.

- t/n: (frappe à la porte) je peux entrer?
- Moi: Oui.
- t/n: (entre) Bonsoir...
- Moi: Bonsoir. Assieds toi si tu veux.
- t/n: Oui merci...
- Moi: Alors de quoi veux-tu parler?
- t/n: Je me souciais juste de comment vous vous portiez.
- Moi: Je vais bien.
- t/n: Pourquoi refuser de me parler...
Nous savons tous que ce n'est pas le cas... Saiko et Hsiao nous ont raconté ce qu'il s'etait passé... Je doute que...
- Moi: De quoi tu peux douter... Tu ne sais rien et tu ne sauras rien. Je n'ai aucune raison de te parler ou de me confier aupres de toi. Si tu es venue pour ça alors ça ne sert a rien. Pars.

T/n se tue quelques instants et parti sans rien dire.

J'ai été odieux. Mais je ne pouvais pas l'embeter avec mes histoires. Au fond je sais que t/n était quelqun sur lequel je peux me reposer et me confier. Mais partager et me confier n'a jamais été mon point fort. J'ai entendu ses mots. J'ai entendue son honêteté et sa sincèreté. Mais je ne voulais pas parler. J'ai l'impression que depuis quelque temps mes sentiments pour t/n sont flous.

Le lendemain, à mon reveil je découvre avec surprise que t/n venait de déposer sa démission de mon escouade pour être integrer à une autre.
Etait-ce de ma faute? Avais-je été trop rudes dans mes mots? Aurais-je du dire le fond de ma pensé et me confier auprès d'elle?

...

Décidement, ses mots se fond emporter par le vent. Personne n'a jamais entendue le fond de sa pensée.

Comme il est muet. Il sembalit s'être fait arracher la langue. Oui. Il ne disait rien.

Des mots imprononçables (kuki urie x reader) Tokyo ghoul:reOù les histoires vivent. Découvrez maintenant