Des mots imprononçables (kuki urie x reader) Tokyo ghoul:re

Chapitre 6

Tu faisais maintenant partie de l'escouade de Take Hirako. Un inspecteut en chef respectable. Ta nouvelle equipe te plaisait. Tu t'entendais bien avec tout le monde et en particulier avec Ito que tu trouvais très apréciable de part sa personnalité enfantine.

Tu ne rencontrais tes anciens équipiers que pendant des reunions et des entrevues dans les couloirs du CCG. Tu ne leurs adressait pas la parole. Pas même des politesse tel que "bonjour ou bonsoir" rien. Pourtant ils ne t'avaient rien fait. Mais ils semblaient t'avoir eux aussi oublié. Eux non plus ne se donnait pas la peine de te saluer. Seule Saiko avait chercher à discuter avec toi voulant savoir tu avais quitter les QS. Et Touma semblait gené en ta presence. Tu le savais car il baissait les yeux en passant près de toi.

Kuki Urie.

Tout était de sa faute.

Toi qui semblait l'aimer tu as fini par le haïr.

Qu'il crève.

Tu avais voulu l'aider et tu t'es fais bouffer.

....

Un certain temps s'était écoulé et depuis, beaucoup d'évènements s'étaient produits.
Le mariage de Takeomi Kuroiwa avec une certaine Yoriko. Tu étais contente pour lui. Tu avais d'ailleurs était l'une des premières personnes à savoir qu'il allait se marier étant donner que vous faisiez partie de la même escouade. Ce jour la tu avais vu Urie parler à un jeune homme. Enfin plutôt une jeune femme. Tu n'etais pas dupe, son odeur ne pouvait cacher son genre. Elle  sentait le sang. Pas le sang de blessures. Mais le sang que seules les femmes peuvent faire couler...

S'en est suivit de la mort de Kuroiwa. Iwao Kuroiwa. Assasiné par Furuta.
Tu avais entendue dire qu'il était mort dans les bras de Urie. Ce devait être pour lui, un drame...

Non, non,non non non non....

NON.

Ça ne l'était pas. Et même si l'avait été tu te fichais bien de ce qu'il pouvait lui arriver.

Un groupe de goules avaient débarqué au CCG jettant leurs masques déclarant vouloir sauver leurs roi. Leurs visage à decouvert montraient non seulement leurs vonlonter a sauver ce "Ken Kaneki" mais aussi le désir brulant de vouloir faire la paix avec les humains. Les goules avaient beau être la cause de tes précédents malheurs tu n'en restais pas moins quelqu'un d'ouvert d'esprit. TOUTES les goules n'étaient pas responsable de tes malheurs. Rien n'est tout blanc comme rien n'est tout noir. D'ailleurs, Urie avait été l'un des premiers à vouloir mettre en marche le plan des goules et de s'allier à elles.

Malgrès tout les resentiments que tu lui portais, tu ne pouvais pas retenir d'éprouver un profond respect pour ses paroles défiant Marude.

Et enfin, s'en suivit de  l'apparition d'un monstre gigantesque, qui se rependait sur Tokyo comme un virus que tout le monde le surnomais "dragon". Tu te trouvais  donc sur le terrains éléminant un par les monstres sortant de cette créature. Tu n'étais pas avec ton escoude. Il n'y avait plus d'escouade, il n'y avait plus de camps. Il n'y avait plus de goules. Il n'y avait plus d'humains ou de goules... il n'y avait plus de camps. Seulement des êtres vivant se battant pour une cause partagée.

Ces créatures arrivaient par centaines, ne vous laissant aucun répis. Jusqu'au moment où un coup fatal te fus porté à ta nuque. Tu t'ecroulas . Tu ressentais une forte douleure. Tellement forte que tu ne la ressentais même plus. Tu sombras.

Et là, ce fut le noir complet. Jusqu'au moment ou tu voyais tes souvenirs de ton passé, s'ecouler un par un. Il passaientt, passaient, passaient... Tombaient. Tombaient un par un comme tomberaient des feuilles d'automne. Serais-ce pour toi la fin d'une saison?

Tu voyais des personnes passer, de vagues souvenirs. Des personnages de ta propre histoire sans visage. Serais-ce ta mère? Ou bien même ton père? Tu entendais des rires, des paroles, des mots doux que diraient une mère à sa fille... Des encouragement qu'un père crirait à son trésor...

Tu n'étais que spectatrice. Tu voyais des visage sans expressions dont seules les voix resonnaient encore dans ta tête. Pas de bouche, pas de yeux. Seulement des visages sans traits apparents.

Et soudain un paysage sombre apparut...

Deux cerceuils en bois somres. Des pleurs et des prières. De faibles bougies illuminant à peine la pièce. Et toi. Toute petite. Une enfant. Une enfant de 5 ans seulement. Tu pleurais. Tu implorais les adultes de te ramener tes parents. Tu étais petite et pourtant, tu savais que tes supplications ne mèneraient à rien. Et pourtant tu esperais.

L'esperance... Tu en avais oublié le sens il y a de cela bien teop longtemps pour savoir ce que l'on ressent quand on eprouve ce sentiment.

Tu t'es toujours sentie seule.

Tu ne voulais pas t'attacher. Jusqu'au jour où tu intégras l'escouades des QS. . Tu étais heureuse. Tu avais enfin une famille. Tu les aimais d'amour. Comme un amour que l'on porte à ses frères et soeurs. Urie était une exeption. Tu l'aimais comme une femme aimait un homme. Mais lui t'avais rejeté. Tes démons remontaient, la peur t'envahit, vite remplacé par la colère... Tu décidas de tout rompre. Pour ne pas être blessé, encore une fois...