Fatiguée de devoir me lever demain
D'aller là-bas
Sourire face aux hurlements d'un coeur
Désespéré face aux gens, aux longues heuresUne vieille l'arme essuyée
Balayée par la pluie d'une longue journée
Mais dans l'élan d'un ultime soupir
On le transformera en un beau sourirePuis il y a ici, cette maison si vide d'amour
Je m'en plains toujours
Mais je traîne cette peur revenue
Chaque jour, depuis que je l'ai revueQuelques tremblements face aux cries
Quelques larmes face à la douleur infinie
Quelques faux sourire face aux regards
Quelques sos dans les sms du soirs