Le calme avant l'ouragan

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"C'était Mathieu Sommet , pour vous servir"

Une phrase qui était devenue banale avec toutes mes années sur le web, qui aurait pu penser que cela serait la dernière fois que je la dirait dans un épisode. à peine la caméra éteinte le gamin sauta sur sa peluche et commença a jouer sur son pc tandis que le hippie se rouler des pétards et que le patron faisait des choses que je préfère ne pas dire pour le coté tout publique. Enfin je suppose que je peux bien leurs laissés un peu de répit, après tout ce n'est pas tous les jours que je peux me vanter d'avoir fermer sa gueule a ce saleté de panda, dommage que je ne puisse pas m'en vanter mais je préfère cela que dire à ce foutu gamin qu'il a eu raison au sujet du nom à l'envers. J'ai donc commencé à ouvrir un paquet de chips en sirotant un bon café (j'aime le café) pendant que Jeanne me sermonner encore une fois sur l'effet néfaste que pouvait avoir la caféine en trop grande quantité dans l'organisme, je lui répondit par un cinglant "Pour ça il faudrait d'abord qu'il y ai un organisme espèce de programme de carnaval." J'aurais jamais cru penser ça un jour mais le monde réel commence à me manquer, pas la chaleur du soleil, la caresse du vent ou une connerie pareil mais plutôt les lieux de débauches, la saveur de la bière bon-marché dans ma gorge et surtout la saveur d'un putain de vrai café !  

Une fois mes chips finis et mon café ingurgiter , j'ai commencé a écumer les vidéos du moment ne trouvant rien de bien intéressant à me mettre sous la dent seulement les mêmes vidéos de chat et autres challenge toujours plus dangereux et stupides (parce qu'apparemment le public aime voir des cons se ridiculiser sur internet ). Jeanne a bien fait de matérialisé mon appart parce que ce grand espace vide commencé à m'angoisser et même si je sais que rien de cela n'est réel je préfère cette fausse réalité qui me fait penser que tout va bien.

Pendant que je converser avec moi-même je sentit une présence à mes cotés, je me tourna pour regarder et vit un homme dont je n'attendais pas à avoir des nouvelles si récemment:

-"Je suis l'homme à la cravate."

-"Ouais, je vois ça mais je t'avais pas dis que je voulais plus de toi dans l'émission ?"

-"Certes Mathieu, certes mais j'ai une message à te donner. Vois-tu depuis notre dernière rencontre je me suis fait aborder par un curieux personnage qui m'a demander de te remettre ceci alors vois-tu je suis venu te l'apporter."

-"Et à quoi ressembler cette personne personnage inutiles issue de l'imagination d'un mec bourré à la bière bon marché ?"

-"Et bien vois-tu je ne peut pas te le dire car il avait crypté son apparence rendant toute identification impossible mais je sais que l'on peut lui faire confiance."

-"Alors déjà il n'y a pas de "nous", tu es une erreur dont je me suis débarrassé. Et deux, comment tu peux savoir qu'il est digne de confiance si tu ne sais même pas à quoi il ressemble ?"

-"Car je suis l'Homme à la cravate."

-"Allez merci casse-toi maintenant" lui répliquai-je après qu'il m'eut donné le message caché derrière son hideuse cravate. Ce message qui m'était destiné m'informer que le panda en plus des ninjas avait maintenant les communistes à ses ordres et que s'il continuait comme ça il aurait la force nécessaire pour nous anéantir moi, mes comparses et l'émission entière. Jeanne apparut dans l'écran d'ordinateur me demandant le contenue de la lettre, je lui répondit que ce n'était rien de plus qu'un spam en fourrant la lettre dans ma poche. Décidément depuis qu'on est sortie de l'asile ce maudit ursidé ne m'attire que des problèmes mais là il peut effectivement représenter un problème. Je fut tirer de ma réflexion par un coup de feu, le gamin surgit en trombe hurlant des mots incompréhensible, il était en état de choc.

-"Calme-toi, qu'est-ce qu'il s'est passé ? où sont les autres ?"

-"Il...Il...Il a été touché. Le patron s'est fait descendre."

-"Oh putain non, on va perdre tout notre publique féminin !"


La cyber-révolution du pandaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant