Les liens familiaux.

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Chapitre 2

Mes doigts bougeaient à peine, mon dos me faisait mal d'une douleur atroce. J'ouvrais petit à petit les yeux, la vision était flou, avec les secondes qui défilaient ma vue s'améliorait. Une forte chaleur envahissait ma main droite, des gouttes d'eau tombées sur mon visage. Ma vue retrouvé, j'apercevais ma tante en pleure. Je comprenais pas ce qu'il se passée, mes esprits étaient encore trouble à ce moment. Je regardais de droite à gauche, aucun signes de père ou encore de mère. Sa me surprenais pas, ils étaient jamais là en cas. Au contraire de Délia, ma tante, elle a toujours était la quoi qu'il arrivait. Mes yeux se posaient sur son visage, sanglotant, son regard exprimait de l'angoisse soulagé. Pour lui montrer que j'allais bien, je lui avais fait un petit sourire. D'une seconde a l'autre je sentais son cœur qui battait a la chamade. Son calin était si doux et chaud. Pendant ce moment de réconfort, elle me disait en pleurant:

Délia: Dieu sois loué! La mort n'es pas venu te chercher. Pourquoi ne pas me l'avoir dis?

Moi: Je...je sais pas. Avais-je dis d'une voix basse et tremblante.

Délia: Tu m'a foutu une de ces trouille. Je deviens quoi moi si tu nous laisse? Hein?

Moi: n-nous? Avais-je demandé.

Je ne comprenais pas ce "nous". Elle étais seul avec moi. Mes yeux cherchaient la trace de présence. Apres la salle inspectée, mon regard ce posait sur la porte qui était entre ouverte, j'observais attentivement dans la faille et mes yeux prenaient la form de secoupe. Une femme ce tenait la, elle nous regardait,cette silhouette je la connaissaisAucun doute ne pouvait se poser, sa ne peut etre que mere. Quand elle avait remarquée que mon regard la fixais,elle se cachait. Ma colere envers elle était énorme, pourtant, je lui accordais d'entrer dans la chambre. Mere m'avais répondue:

Mère: Ho?! Est tu sur? J'en est vraiment le droit? Avait-elle dis d'une voix basse doutante.

Moi: Tu est ma mère, tu en a le droit.

La porte ouverte entièrement, l'apparence de mère ce devoilée. Elle avait la tête baissée, comme si elle était coupable de cette agression. Ma tante me regardais et me souriais. Elle sortait pour nous laisser seul. J'avais beau à haïr mère, la voir dans cette états était la pire des choses. Mère avait les bras le long de son corps, ses doigts rentrés et sortaient de ses poches par le stress et l'angoisse. Un petit malaise s'était installé dans la pièce. Après quelques minutes à rien dire, je lui avais dis:

Moi: Tu sais, je mange pas les humains.

Mère: Je...je veut pas te gêner... Disait-elle d'une voix tremblante.

Moi: Me gêner? Aller, approche toi.

Mère: Bien si tu me le demande.

Elle s'approchait pas à pas vers moi, tremblante comme une feuille et lente comme par peur de quelque chose. Je la regardais, triste et gené. Je ne savais pas pourquoi un telle sentiments s'était installé en moi. Il s'agissait de quelque seconde pour que tous changaient. Proche de moi,j'avais dis:

Moi: Comment tu va?

Par cette question, mère était surprise, puis elle m'avais répondu :

Mère: Sa peut allez mais le plus important c'est toi.

Moi :Tu...tu t'inquiètes pour moi?

Mère: Je me suis toujours inquièté pour toi.

Moi: Ah bon? C'est nouveau et depuis quand?

Mère: Depuis ta naissance. Jeanne, écoute, je sais j'ai pas été souvent là pour toi, j'ai pas écouté ton cœur, tes cris, tes peins. J'ai pas été à la hauteur d'une mère parfaite, voir d'une mère. Mais, mon amour envers toi est comme des étoiles vivant dans l'univers. Vaste, brillant, infini. Tu est mon soleil quand mes jours sont couverts de pluies. Mon petit phare quand mes yeux sont plongés dans le brouillard. Tu est mon tout Jeanne, mon tout.

Par ces mots,mon cœur battait comme une voiture de rallye sur un circuit. Mes larmes ce remplissaient comme l'eau dans un verre. Ma voix tremblait comme les craquenment des feuilles en automne. Jamais elle a était présente pour moi, je les toujours détesté mais elle m'a toujours aimé. Elle m'avais jamais avoué ce qu'elle ressentait, mais ce jour ci oui. Mes larmes qui ce remplissaient c'étaient mis à couler, mais, de bonheur pour une fois. Ma mère se mis aussi à pleurer comme une fontaine. En quelques minutes, je me retrouvais dans ses bras, contre sa poitrine chaleureuse et confortable. Délia souriait nous espionnant nous voyant ensemble. Les liens brisés avec ma mère c'étaient cousue de plus belle. On avait parlé toute l'après midi, jusqu'a la nuit tombée. Quand le soir arrivait, je me préparais à sortir de l'hôpital. Ma tante était rentré chez elle dans la journée. Mère était resté avec moi. Elle portait mes affaires en souriant. Dire qu'il y avais quelque heures on ce détestait, mais ca c'était du passé. Elle me faisais passer comme sa priorité, sa faisais si longtemps que elle s'occupait plus de moi. Une fois monté dans la voiture, mère avait mis la musique à fond comme qund j'étais petite. On chantait comme des folles. Un peut plus de une heure passé, on était enfin arrivé. Toutes les lumières étaient éteintes, hors celle de la chambre parentale. Mère ne m'avait pas dis à propos de la présence de père ,j'avais suposé qu'il était entrain de boire comme toujours. Après deux trois minutes, je sortais des nuages. Mère c'était placé derrière moi et me caressait le dos, au même elle dis:

Mère: Ne t'inquiètes pas chéris, il a beaucoup changé je t'assure.

Mon silence avait répondu à ma place, père avoir changé? Comment on pouvait changer un homme hypocrite et alcoolique? Cet homme était la négation incarné. Pourtant, quand je rentrais avec mère, l'odeur de vin d'avant avait complètement disparu. La maison était différente, c'était à dire que j'étais dans une autre maison. Ma mère déposait mes affaires au bas de la porte et me montrais du regard les escaliers. Je lui répondais en auchant la tête. Tandis qu'elle partait dans la cuisine, moi je restais devant ces escalier, figée. A l'étage,la lumière était faiblement allumée. Il ce trouvait juste en haut, la peur s'était emparé de moi. L'homme dont les coups ce sont défoulaient sur moi étant saoul. L'homme dont la dignité n'existe pas. L'homme dont le respect n'existait pas. Cet homme qui est qui est enfaite mon père ce trouvait proche de moi. Je montais les escaliers d'un pas lent. Mon corps tremblait telle un chiot voyant son premier humain. Arrivé devant la porte de la chambre, je poussais la porte et je le voyais. Le voila, mon père...

                                                                                                                                                                          À suivre

La Vie De JeanneWhere stories live. Discover now