Chapitre 1

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Je savais bien qu'il fallais y résister,ne pas y penser. Ne serais-ce que l'observer de loin ou de près j'en avais pas la permission.  A la nuit tombée,je me suis dis qu'il ne fallais l'observer une nouvelle fois,car ces parents s'y opposait. 

Et donc avec courage,je me suis diriger à sa fenêtre en l'appelant,mais sans aucune réponse. Mais je ne voulais pas abandonner l'idée de la revoir,alors j'ai escalader tel un prince jusqu'à sa fênetre. Je voulais juste la regarder d'un peu plus près,en rentrant doucement dans sa chambre j'observais chaque détails dont je puisse m'en rappeller à jamais sans pour autant y toucher. Puis j'ai pris la chaise qui se trouvais bien ranger en face de son bureau,en prenant la chaise délicatement pour pas faire de bruit,pour m'asseoir juste à côté de son lit qui se trouvais contre d'un des murs de sa chambre.

Puis j'ai continuer à l'observer,en souriant bêtement. Je regardais sa longue chevelure rousse,ces lèvres si fines,cette nuisette mauve qui evelopais son corps si gracieux. Si paisiblement je la voyais dormir sans m'en apercevoir je n'ai pas pu y résister,je me suis lever en me rapprochant de ses lèvres pour y poser les miennes,certes un moment d'hésitation au début,mais au final je ne voulais pas arrêter de l'embrasser.

Mais j'ai entendu un bruit,alors je me suis précipité vers la fenêtre,pour redescendre et repartir chez moi en courant,pour que personne n'ai de soupçons le lendemain.

Le jour d'après,je suis revenue comme à mon habitude l'observer malgré tout mais avec gênance,puisque hier cette même fille pour qui j'avais ce sentiment si fort dont je ne peut résister,je l'ai embrassée malgré cette condition.

Alors j'y ai juste jeté un coup d'oeil,elle y était dans son jardin en lisant un livre,mais toujours aussi belle,comme quand elle dormais. Mais je ne m'attendais qu'elle me fixe du regard aussi,cette fois. J'ai alors essayer de comprendre pourquoi,mais finalement quand elle m'as souris j'ai compris. Je pensais être la seule à l'observer,mais au final j'avais tord. On s'observait mutuellement sans pouvoir s'approcher. 

PermissionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant