Mes deux mains sur le volant je roule,
Regarde au loin, me dit-elle, j'obéis.
Dans le rétroviseurs mes larmes coulent,
Je regarde encore une fois, oh non, c'est lui.
Regarde donc où tu vas ordonne-t-elle
Mes oreilles l'entendent, mais mes yeux oui,
ont reconnu ce visage qui m'interpelle,
He Ho, réveille toi, ajoute-t-elle.
Mais la voiture derrière nous qui la conduit?
Si tu savais, tu voudrais me protéger de lui.
Oui c'est lui, cette arme qui a détruit ma vie.
Tu sais, c'est dur de rester concentrer,
si tu savais que l'homme derrière nous m'a violée.
VOUS LISEZ
Sans issue
PoesíaSi seulement on m'avait prévenue que la vie pouvait inspirer à de choses si sombres. Mais finalement l'obscurité n'est que le reflet d'une partie de nous mêmes, et si tu comptais y échapper cela ne sera jamais possible. La noirceur de l'être humain...
