Chapitre 1

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Lisez le prologue, il est important pour la compréhension de l'histoire!
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A la naissance, chacun a son âme aussi blanche que la neige. Puis, l'enfant grandit et se forge son propre caractère. A l'âge de dix-huit ans, notre âme à prit sa couleur définitive, nous passons près d'une âme blanche, il est rare d'avoir gardé sa pureté durant toutes ses années. Ce sont eux qui détermine à quel coloris tu appartiens. A partir de ce moment la, des règles s'imposent à toi. L'amitié, on en a droit qu'avec ceux qui ont la même couleur que nous. Pour l'amour, c'est pareil. Nous ne pouvons entretenir de relations avec des membres de notre famille que ci ceux-ci ont le même caractère. Voilà la logique de l'état. Des gens avec le même esprit réunis par clan. Risible. Oh mais ne croyez pas que je n'entretiens plus de contactes avec les autres personnes, ils ont simplement été relié au rang de connaissance. J'étudie avec eux, je travaillerai avec eux plus tard mais il m'est devenu interdit d'avoir de conversations amicales avec ceux-ci.
J'ai dix-neuf ans. J'ai du donc passer mon test chez les précurseurs l'année dernière. On m'a attribuée la couleur rouge, pour la force de l'âme et la passion. Je ne vous cache pas que la colère est aussi fortement présenté chez moi. Mon nom est Purpurine, mes parents ayant le même caractère que moi, ils avaient voulu au départ que je garde une trace d'eux sur ma personne. Drôle de coïncidence quand on a les cheveux aussi rouge que son prénom l'indique.
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Les rues en plein centre ville grouillaient de monde. En même temps, pour un deuxième jour de septembre, c'était une situation tout à fait banale. Je vis des étudiant courir dans les cafés les plus proche pour acheter leur petit-déjeuner en quatrième vitesse avant d'aller en cours. Des homme en costume-cravate occuper parler boulot avec leur téléphone collé à l'oreilles.
Huit heures quarante-cinq, je marchais d'un pas pressé vers l'université armée de mon sac et de mon classeur. Je bousculais une jaune en chemin. Je le savais car elle avait un petit bout de tissu collé sur la poitrine, autre règle du gouvernement.
-" Mes excuses madame." Dis-je avec un petit sourire crispé.
Je ne suis pas timide, loin de la, j'ai juste quelques difficultés à converser avec les gens, je suis d'une nature réservée.
-" Ce n'est rien ma petite."
Je me retournais et continuais mon chemin. Mes cours de droit commençaient à neuf heures. L'université se trouvais à deux rues d'ici. J'avais mon temps pour y arriver.
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Les deux pieds plantés dans le sol, je faisais face à l'entrée du bâtiment municipale. Vérifiais l'heure une dernière fois avant de me lancer en quête de ma classe de cette année.
«C221, classe de droit, deuxième année.»j'entrouvrais la porte et me faufilais à l'intérieur. J'inspectais la salle du regard. Leïna n'était pas encore arrivée. Je haussais les épaules, pas vraiment surprise. La pauvre devait prendre le train pour venir et celui-ci était toujours en retard.
Je m'avançais vers le milieu de la classe là où était placé mon banc et déposais mon sac à terre avant de m'affaler sur ma chaise. Mon pauvre bureau était déjà griffonné de toute part, signe des heures que les élèves des années précédentes avait passé à s'ennuyer durant les cours. Je pris un bic et continuais les grimages.
-" Mon dieu, je vais fini par tuer ce conducteur de train!" S'exclama ma meilleure amie en s'asseyant à côté de moi.
Toutes les personnes dans la salle se retournèrent comme un seul homme pour la dévisagée.
-" Quoi? Retournez à vos jacassements inutiles et lassez moi exprimer ma colère et mon exaspération tranquillement!" Gronda Leïna.
Ils firent tous ce qu'on leurs demanda sans demander leur reste, ne connaissant que trop bien ce qu'une âme pourpre pouvait faire endurer à quelqu'un qui la mettait en rogne.
J'explosais de rire en tapant dans mes mains.
-" C'était beau Leïna, ces mauviettes ont tellement peur de nous qu'ils exécutent au doigt et à l'œil tout ce qu'on leurs demandent de faire." Ricanais-je
-" Je ne crois pas non."
La voix provenait de dernière nous. Je me retournais pour croiser le regard d'un jeune homme au cheveux blond et au yeux bleu presque translucide.
-" Tu es qui toi?" Grognais-je méchamment car je n'aimais vraiment pas qu'une personne vienne s'incruster dans des conversations.
-" Je suis Théodore, une âme bleue, mais tu peux m'appeler Teddy. Enfin, pour revenir à ce que je disais avant. Nous n'avons absolument pas peur de vous, seulement, nous n'aimons pas recevoir un coup de poing à chaque fois qu'on fait quelque chose de travers à vos yeux."
-" Ça y est, monsieur je suis sincère déballe tout ce qu'il a sur le cœur. Je te conseil de fermer ta bouche si tu ne veux pas recevoir ma jolie petite main dans ta figure." Gronda ma meilleure amie.
-" Ça va laisse tomber, c'est un crétin qui ne mérite pas ton attention." Dis-je à mon amie en lui tannant sur l'épaule.
Elle fusilla une dernière fois le garçon derrière nous et posa ses prunelles brune sur moi.
-" Si il dit un seul mot, je le frappe."
-" Fais comme tu le sens." Lui souriais-je.
Elle attrapa une de ses cheveux couleur café et changea totalement de sujet.
-" Il va y avoir du soleil aujourd'hui." Dit-elle avec enthousiasme.
-" Tu parles, moi et ma peau blanche comme un cachet d'aspirine on va attraper des coups de soleil au premier UV qui va s'abatte sur nous." Maugréais-je.
-" Arrête, moi aussi j'aimerais avoir une peau aussi belle que la tienne Puri!" Me dit ma meilleure amie en m'appelant par mon surnom.
La porte s'ouvrit laissant entrer le professeur avec sa grosse mallette.
-" Bonjour tout le monde, asseyez-vous je vous prie."
-" Une heure de plus à se faire chier, qu'elle joie!" Disais-je avec ironie.
-" Chut, j'écoute le prof." Répondis Leïna en me fessant un petit signe de ma main.
-" Ok." Murmurais-je avant de me concentrer de nouveau sur notre enseignant.
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-" Mais je ne sais pas quoi choisir, je prend le bœuf ou le poisson?"
-" Je n'en sais rien et je m'en fiche Leïna, prend au hasard!" M'exclamais-je exaspérée.
-" Mais Puri, c'est important de bien équilibrer ses repas!"
-" Prend le poisson, on a mangé de l'agneau hier."
Elle opina du chef et se servit avant d'aller s'assoir à notre table.
-" Hé les mecs!" Salua mon amie les deux garçons. Lucas, un grand blond au yeux bleu et Benji, un gars qui avait doublé ayant les yeux et les cheveux brun.
-" Salut Leïna, Puri ton pantalon met bien en valeur tes fesses aujourd'hui, je suis fière de toi!" Dit ce dernier en souriant de toutes ses dents.
Je soufflais d'exaspération, ce mec me faisait du rentre dedans depuis un an déjà, et il n'avait toujours pas compris que je n'était pas intéressée.
-" Tait-toi Ben, je ne veux rien entendre."
-" Ne sois pas grincheuse et remercie-moi plutôt du compliment que je viens de te faire!"
-" Compliment! Tu parles!" Marmonnais-je avant de m'assoir à côté de Lucas.
-" La mâtiné s'est bien passé?" Me demanda ce dernier."
-" Plutôt pas mal, Leïna a voulu frapper un gars qui s'était incrusté dans notre conversation à la première heure de cours. Il disait que les gens n'avaient pas peur de nous et qu'il faisaient ce qu'on leurs demandaient juste parce qu'il ne voulais pas nous énerver." Lui expliquais-je
-" On fait pas peur, mon œil oui, je vais aller lui faire manger mon poing et on verra après ce qu'il en pense." Marmonna Benji.
-" Pas la peine, laisse tomber."
-" C'était qui le gars en question?" Demanda Lucas.
-" Un bleu." Je cherchais la personne sur lequel était centré notre discussion et me s yeux s'arrêtèrent sur un groupe de gens.
-" La-bas, le gars au cheveux blond."
-" Je vois, et quel est son nom?"
-" Teddy."
Benji ricana.
-" Mon ours en peluche s'appelait comme ça quand j'était petit."
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Je j'était un coup d'œil à ma montre.
-" Les gars, il faut que j'y aille, les cours commencent dans dix minutes et ma salle de cours est à l'autre bout du bâtiment.
-" À plus Puri!" S'exclama ma meilleure amie
Je leurs fis signe de la main et sortais du réfectoire pour m'engouffrer dans le couloir principale. Celui-ci était désert. Les élèves préférant rester avec leurs groupe d'amis jusqu'à la dernière minute.
-" La présence t'avais tellement perturbée que tu n'as pas pu t'empêcher de parler de moi au déjeuner?"
Je me retournais. Il était la, encore plus grand que ce que je pensais quand il était assis sur sa chaise en classe.
-" Crois-moi, ce qu'on a dit sur toi était loin d'être gentil!"
-" Tu as parler de moi, c'est déjà un bon départ." Me dit-il avec un petit clin d'œil.
-" Tu as peut être oublié mais moi pas, donc je vais me faire un plaisir à te rappeler qu'on est pas censé sympathiser tout les deux!"
Et sur ce, je le laissais en plan dans les couloirs.

Purpurine...( en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant