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La Vie prit La Mort dans ses bras.

Yume resta immobile, alors que Vitae le serrait de toute la force que pouvaient génerer ses petits bras frêles.

Il se sentait étouffé par la chaleur de cette étreinte. Il avait ses yeux d'acier dans le vide, essayant de contenir cette nostalgie.


Cette nostalgie qu'il n'avait jamais ressentit.

Il ramena ses bras pâles sillonés par des veines bleutées marquantes autour de la petite surface du dos de Vitae, et laissa tomber sa tête sur le haut de son crâne.

La Vie* leva les yeux vers lui, perplexe par son comportement et son étrange absence. Il sembla lire son incompréhension et répondit:

'-Cela doit faire des siècles que je n'ai sentit de chaleur pareille.'

Ce Jour Là, Elle M'a Donné Un Nom.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant