Et si... - RWBY FanFiction

Le cœur à rude épreuve

Néo était dans sa chambre . Elle était en train de plier certains des vêtements que leurs avaient passé les filles. De vieux vêtements qu'elle pensait donner à Sophia. seulement elle avait grandis plus vite que prévu . Par conséquent Néo en avait héritée de part sa petite taille . Elle regardait les vêtements toute contente, les étendant devant elle, imaginant la réaction de Moïse lorsqu'il la verrais dedans. Elle en pris finalement un rose fushia, au col ronds, descendant en récolté orné d'une sorte de surplus de tissu formant un froufrou le long du devant du col .

Elle s'imagina alors une scène, sortant dur le pont rayonnante et toute timide avec Moïse la remarquant des étoiles dans les yeux . S'approchant d'elle tout sourire, il lui caresserai la joues.

- Wow... Neo... je ne t'avais jamais vu aussi belle ...

Cachant sont rougissement et son sourire coquin, la belle le regarderai de coté avant que son appolon ne la serre contre son torse la serprenant .

- Ca me fais réaliser à quel point je t'aime ... lui dirait il d'un air charmeur en s'approchant de ses lèvres. Elle le prendrai par les joues et finirai le geste en baiser langoureux et passionnelle . Rien qu'à ses images, elle en rougissait seul devant son lit. 

Elle en sautilla en tapant des pieds, toutes excitée, serrant contre elle le fameux t-shirt à petite manchettes .

Les sentiments de Néo ne date pas d'hier. Ils sont né avec le temps a force de partager le même quotidien que celui de son cadet. Certes de seulement 2 ans mais tout de même . Il était inséparable à l'orphelinat, Néo de sa petite taille se cachait souvent derrière Moïse qui devenait de plus en plus grands avec le temps . Et elle l'espiègle, allait récupérer le prix de son héros en cachette dans la loges des dames de cantine, qui gardait égoïstement dans un de leurs placard les viennoiseries de l'école. Le plus souvent elle lui volait des '' pépites " comme il s'amusait à appeler les brioches Suisses.  Mais même si la plupart du temps elle ne se faisait jamais attraper, il n'en restait pas moins qu'elle se faisait enfermé en punition avec son camarade . Heures pendant lesquels il n'étais plus moqué dans la cour ou dans les couloirs avec des "ILS SONT AMOUREUUUUHEUUU " et des " BEEERRRK a force ils vont attraper des bébés ! " 

Alors ils en profitaient, pour prendre soin l'un de l'autres . ils aimait se chamailler, faire des combat de sabre avec des catalogue roulé à l'extrême, dessiner , mais le jeu préféré de la petite fille était le coiffeur . Elle avait une collection d'élastique qu'elle cachait habillement en genre de collier multicolor autour de son coup qu'elle pouvait rouler en boule pour rentrer facilement dans sa poche kangourou de sa petite robes . Du coup elle aimait se faire coiffer par son "grand frère" comme elle l'appelait . Son bouclier qu'elle n'avait plus et qui fut le seul à s'interposer devant le danger pour elle . Elle se baladais toujours avec un peigne en or qui était à son père. On lui avait alors confisqué alors qu'elle se peignait avec en échange d'une brosse tout à fait quelconque .  En sois, elle n'en était pas franchement déçu. la jeune femme gagnant en épaisseur de cheveux avec l'âge, le peigne se serait juste coincé dans les noeuds, impuissant . Mais elle aimait une choses, une choses qui la faisait se sentir bien, et se rappeler sa mère. Elle se coiffait la frange et la démarcation sommet du crane avec . A une époque, elle avait des cheveux très fin, et ce peigne au dents épaisse tout de même, fait pour cheveux d'homme d'âge mûr , la fascinait toujours lorsqu'elle voyait son père se coiffer avant d'accueillir un invité ou d'assister aux galas. l'ayant remarqué, son père lui avait légué son peigne un jour il ils l'a surpris en train de jouer à coiffer ses poupées avec ; ce qui hors mis d'avoir fais une grosse peur à sa petite fille, le fit beaucoup rire .

malgré la noblesse de la famille, ses membres était très proche et affectueux entre eux. Et le père y occupait, comme dans le temps, une place importante de chef de famille, bien que la mère ai aussi une autorité extrêmement importante, renforcé par un soutien indéfectibles de son époux, ce qui était assez rare, pour ne pas dire un cas unique, dans le pays pour le souligner.