13: Pourquoi tu veux reparler de ça ?
15: Je voulais juste te dire que j'avais passer un bon moment et te remercier.
13: tu n'as pas à me remercier, moi aussi j'ai passer un bon moment.16 toque a ma porte et l'ouvre.
16: 13 je voulais te, 15 je peux savoir se que tu fous là ?!
15: Je voulais profiter de la vue. Hahahah
16: Dégage de là.
15: Toujours en colère, t'es dégoûté du faite qu'elle veuille passer du temps avec moi. Faut que tu t'y fasse elle et 12 sont à moi.
12: Je peux savoir se qui se passe les garçons ?Elle se gratta les yeux. Ils avaient réussi à la réveiller.
Dans la réalité, les choses ne c'était pas améliorer. Le matin m'a mère m'a réveillé mais m'a laisser dormir encore un peu. J'ai pris un bol de céréale. Ma mère a encore parler de mon père et a fait le ménage vite fait. Nous allions manger au Burger King. Ça m'a fait plaisir. La chose qui me faisait le moins plaisir c'est de faire les boutiques. Je n'aime pas essayer des vêtements. Je ne m'autorise jamais de me regarder dans le miroir sauf pour me coiffer ou me laver le visage ect. C'est très dure pour moi d'assumer mon corps de le regarder. Je n'aime rien de mon corps vraiment rien. C'est un vrai cercle vicieux. Mon corps me rend triste et la tristesse et l'ennuie me donne faim pour combler se manque je mange. Ça me fait du bien.
Maman: Regarde j'ai trouver des pantalons sans bouton comme toi.
Je ne pouvais pas mettre de pantalon comme tout le monde, à cause de mon ventre.
Moi: Cool, il est joli celui là, j'aime bien la couleur.
Maman: Mais tu as pas déjà un de cette couleur.
Moi: Oui, mais il me va plus. Quel taille ?
Maman: On prend ses deux là. Ta taille s'est 42.
On a trouvé les deux taille et on les a pris. On a regarder pour un pull et un T-shirt.Maman: tu en pense quoi de ce pull.
Moi: Un peu trop grand le décolleté je trouve.
Maman: Mais il est petit, et tu es grande avec les épaules ça devrait aller. Tu vas l'essayer.
Moi: Non s'il te plaît sérieux.
Maman: Elles sont où les cabines ?
Moi: Là-bas.Je voulais pas y aller mais j'ai pas eu le choix. J'ai essayer le T-shirt et le pull, J'avais raison le décolleté était trop grand.
Maman: Ah oui en plus c'est ouvert derrière, non en fait prends pas le pull.
Moi: Okai.
Maman: Essaye les deux pantalons.
Moi: non s'il te plaît je suis sûre qu'ils me vont.
Maman: Pour être sur.J'ai essayé les deux pantalons, j'ai pas voulu mais je me suis regardé dans le miroir, j'avais pris du poids, j'avais plus de ventre qu'avant, je me trouve horrible et énorme. J'étais décoiffé je me suis assise et je sais pas pourquoi mais j'ai commencé à pleurer sans bruit juste les larmes qui coulèrent sur mon visage. J'ai mis ma main sur le miroir pendant une seconde ma respiration s'est coupée, mon cœur battait vite, je me suis dépêché d'essuyer mes larmes parce que ma mère m'attendait, je me suis rhabillée et je suis sortie.
Maman: Tant a pris du temps, j'attendais et je me demandais se que tu faisais.
Moi: Tu vois je t'avais dit qu'il m'allais, pourquoi tu m'écoute jamais.Ce n'était pas la faute de ma mère mais je lui en voulait un peu de ne pas m'écouter et de ne pas toujours me comprendre. Plus tard, mon père m'a envoyé un texto pour aller voir Framboise demain. Je ne voulais pas y aller et ma mère trouvais que c'était la meilleure chose à faire. Elle avait raison, ça m'aurait fait trop de peine. Il a m'a dit qu'il appèlerait ma mère plus tard. J'étais triste vraiment triste. On est aller voir d'autres boutiques, J'étais vraiment à bout. Ça faisait mal la vérité. Mon père m'a envoyé un texto plus tard. Il disait que mon chaton Peanut qui habitais chez son amie où est Framboise, il c'était fait écraser par une voiture, il avait passer le portail et n'a pas eu de chance. J'avais envie de pleurer toute les larmes de mon corps. J'ai voulu rester forte même si au fond je voulais pleurer. Quel journée horrible. Les seules choses positives c'est que j'avais acheté mon jeu vidéo et un collier en forme de papillon qui m'avait toucher. Quand je l'ai vu, j'ai senti comme un coup de foudre. Il changeait de couleur par rapport aux humeurs, je n'y croyais pas, il m'indiquais que j'étais toujours heureuse. C'était faux et je le savais. On a finis par rentrer à la maison. Mon père m'a téléphoné, je lui ai dit que je ne viendrai pas la voir pour 2-3 jours, ça me ferai trop mal. J'avais les larmes aux yeux. C'était dure d'attendre jusqu'au vacances d'été pour la revoir. Vers 16h, une amie à ma mère est à la fois la voisine d'un autre étage est venu toquer et s'est écroulé sur les bras de ma mère, elle pleurait elle disait que son mari était mort il y a déjà deux mois. Je ne savais pas où me mettre. Tant de choses étaient arrivés en a une seule journée. Je suis resté dans le salon, j'étais toujours tellement triste de mon physique, j'étais si loin de la personne à qui je rêvais de ressembler.
J'étais dans une bulle, elle flottait dans les airs. Je savais pas où j'étais. Juste que j'étais triste et que je ne faisais que pleurer, j'avais beau être 13 à cette instant, je n'arrivais pas m'arrêter. J'entendais au loin :
16: 13 arête de pleurer s'il te plaît. Je comprend se que tu ressens. Je suis là.
13: Non tu comprends pas. Tu peux pas comprendre. Tu sais pas se que ça fait d'être comme ça de tout les jours se regarder dans le miroir et pleurer parce qu'on me ressemble pas à se que l'on veut ressembler. Tu sais pas se que ça fait de ne jamais s'aimer. JAMAIS TU NE POURRAS ME COMPRENDRE.J'avais les yeux fermer, mon visage était couvert de larmes.
16: Bien sûr que je peux comprendre. Je ressens tout se que tu ressens. Nous somme pareilles après tout.
J'ouvris les yeux et vis 16. Il avait raison, son visage était couvert de larme et il me ressemblais comme deux gouttes d'eau. On était pas lier par le sang mais on se ressemblais comme deux jumeaux. Ces yeux ne quittèrent pas les miens. Il posa une main sur la bulle mais ne rentra pas.
16: Je ne veux plus te voir pleurer, je t'en supplie, crois en moi. Je t'aime après tout.
Il séchait nos larmes. 16 laissa la place à 12 et s'en alla. Elle rentra dans la bulle et elle pris mon visage entre ses mains et me regarda de ses magnifique yeux bleu couleur ciel. Elle remeta en place une de ses mèches de cheveux dorées.
12: Pourquoi est-ce-que tu pleure 13 ?
13: Ne tant fais pas 12, tu dois aller te coucher.
12: Je ne peux pas tant que je serai que là personne que j'aime le plus au monde pleure de tristesse et est seule dans sa bulle.
13: 12Je passais une main dans ses cheveux. Elle ne pouvais pas comprendre, elle est parfaite, douce, adorable, sensible. Elle ressemble à un ange.
13: Tu es si parfaite 12. Je suis désolé de toujours te mêler à se genre de choses. Tu devrais te reposer et ne pas t'inquiéter de ça. Ça n'en vaut pas la peine.
12: Arête de mentir. Je tiens à toi et tu es importante pour moi. Je t'aime de tout mon cœur.
Des larmes on commencé à couler sur son visage.
- Tu peux comprendre ça. Je ferai tout pour toi. Je t'aime 13. Jamais je ne te laisserai tomber.
Je pris son visage entre mes mains et je l'embrassa sur les lèvres.
13: Tu es beaucoup plus mignonne quand tu souris que quand tu pleures. Je t'aime aussi 12 et je serai toujours là.
Ses joues était rouges. Elle ne si attendais pas. Je l'ai prise dans mes bras. Elle m'a serrée fort contre elle et ne m'a pas lâché. La bulle a éclaté. Nous étions de retour dans ma chambre.
Maman: Tu vas dire au revoir à la dame.
Je me suis lever et j'ai dit au revoir à la dame. Elle m'a prise dans ses bras. Elle m'a dit de vivre une vie heureuse comme la sienne. Que la douleur n'était que passagère. Elle pris mon collier entre ses mains. La couleur est devenue presque noir, signe de tristesse. Elle est sortie. J'avais les larmes aux yeux.
Dame: Seul le temps peut guérir des blessures profondes.
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Une petite fille
FantastiqueUne fille de 14 ans dans la réalité mais dans sa tête elle est une autre personne.