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Michael Scofield.

- Vous êtes allez à Loyola? me demande en souriant le Docteur Tancredi

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- Vous êtes allez à Loyola? me demande en souriant le Docteur Tancredi.

- Vous avez relue mon dossier de plus près, je réponds.

- Je tiens à connaître mes patients, je suis aller à North' et j'ai eu mon diplôme seulement deux ans après vous.

- On s'est peut-être déjà vu quelques part alors, dans un bar, autour de quelques verres.

- Je ne l'aurais pas oublier, elle remplie mon dossier la tête baisser.

- C'est un compliment? je demande en souriant.

- Non, elle réponds, hm, elle as l'air perturbée.

- Quoi? je demande alors.

- Votre taux de glucose est à 50mg par décilitre, elle affirme toujours la tête baisser.

- Et alors?

- C'est de l'hypoglycémie, vous réagissez à l'insuline comme si vous n'étiez pas diabétique, êtes vous sûr de l'être?

- Depuis que je suis tout petit.

- Bien, elle réponds confuse, vous n'avez pas de sensation de picotements? des sueurs froides? j'hoche la tête négativement, j'aimerais vous faire quelques analyses la prochaine fois que vous viendrez, je ne tiens pas du tout à faire des piqures d'insuline à un faux diabétique.

Putain de merde.

- Ouais, bien sûr, j'essaye de paraître complètement confiant.

- Très bien, on se regarde quelques instants en souriant légèrement.

      

Je marche le long de la cours avec les autres détenus, je me dirige vers un black dont Sucre mon compagnon de cellule m'as parler auparavant.

- Sucre m'as dit que tu fessait office de pharmacie, je lui dit.

- Qu'est-ce qu'il te faut?

Je lui donne le nom de mon médicament dont j'avais besoin pour prétendre être diabétique auprès du médecin Tancredi.

- Désolée mais le chinois c'est pas mon truc, dit-il je connaissant pas le nom du médicament.

- Ça annule les effets de l'insuline, j'explique, ça se vends tout les jours sous le manteau, il y en as dans toutes les pharmacies.

- Et bah demande en as l'infirmerie alors.

- Non, ça serais pas sérieux.

- Pourquoi? il demande.

- Parce qu'ils me font déjà des piqures d'insuline, il éclate de rire.

- J'ai vu un tas de mec pas clair, mais toi tu bats tout les records.

- Alors, est-ce que tu peut en avoir? je redemande.

- Ça devrais pouvoir se faire si tu me dit pourquoi tu vas à l'infirmerie te faire faire des piqures d'insuline alors que t'en as pas besoin.

- J'adore l'ambiance.

- Ahah, il fais semblant d'y croire.

- Alors, t'es partant? je sors un billet de ma poche et comme réponse il le prends et s'en alla.

- Qu'est ce que tu faisais avec lui? me demande Sucre.

- Rien, je le regarde, faut que je vois un type, un nommer Lincoln Burrows.

- Linc' le déluge? il me demande.

- C'est comme ça que vous l'appeler, je souris légèrement.

- Oui, parce que vu ce qu'il attends, il doit se dire après moi le déluge, Blanche-neige.

- Où est-ce que je peut le trouver?

- Il a tué le frère de la vise-présidente, il passe sur la chaise dans un mois ce qu'il veut dire que dans toute la prison il y as pas plus dangereux que lui parce que le mec il as plus rien à perdre qu'est ce qu'ils vont faire, ils vont le buter deux fois.

- Y'a un moyen de l'approcher?

- Non, ses types là il peuvent sortir que pour aller à la chapelle ou au tp.

- Tp, c'est quoi? je demande en regardant mon frère derrière les grillages surveiller par deux gardes armées.

- Travail pénitentiaire, les gars qui se tiennent à carreaux ils peuvent bosser, ils ont des trucs à peindre ou ils doivent fabriquer des matelas des conneries comme ça, il me regarde, moi si j'étais toi je m'emballerais pas trop vite, t'as pas idée de ceux que s'est le tp.

- Comment ça?

- C'est John Abruzzi qui le contrôle.

- John Abruzzi, John Abruzzi?

- John Abruzzi, John Abruzzi, il marque une pause, pourquoi tu tiens tellement à voir Burrows?

- Parce que c'est mon frère, il me regarde sous le choque et je m'en alla le laissant seul devant le grillage.

De loin j'ai pu apercevoir le fameux John jouer au cartes avec son camarades de cellules.

- Abruzzi, je m'approcha d'eux, faut que tu me prenne au tp.

- Barre toi, il ne se retourna pas.

- Tu devrais peut-être écouter ceux que j'ai à dire.

- Tu ne m'est d'aucune utilité.

- J'en serais pas aussi sûr, je pose un de canard en origami devant lui.

- J'ai parler trop vite, voilà ceux qui me sera utile, un canard.

- Prend moi au tp, Abruzzi, tu me trouveras peut-être beaucoup plus utile que tu ne le crois, prends le temps d'y penser et viens me voir quand tu veux qu'on discute, je m'éloigne de lui.

Michael Scofield x Sara Tancredi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant