Le quotidien qui m'envahis. Toujours la même chose éternellement, en répétitions mais si plaisant. On sais jamais a qui on va parler ou qui nous allons rencontrer. Avec qui je vais rire ? Avec qui je vais vivre ?
Chaque jours passe à une allure époustouflante, tellement rapide que j'en reprend à peine mon souffle. Même si je sais que peu à peu je m'approche de la mort, que je ne sais pas ce que je risque...Je peut mourir à tout instant.
Me rappeler ces moments où mon coeur se méprisait, que les larmes ne voulait pas couler, que mes ailes ont finis par brûler.
Et il y avait ses heures de gloires, le fait de rire avec eux ou même de rire à deux. La confiance qui par ses passages me faisait sentir mieux, le fait de se sentir forte. D'aimer et d'être aimer.
Les sentiments sont bien humains même si pour certains n'y comprends rien.
La colère qui passe à une haine.
L'amour qui passe à une drogue.
La joie qui passe a une ectasie extrême... ou même la tristesse qui passe au silence.
Si je devais mourir demain et que je le savais, je ne dirais rien. Je profiterai de mes derniers souffle pour marquer, juste pour que personne ne m'oublie, qu'on est des pensées bienveillante me concernant.
Je me rappellerai de mes réussites, mes victoires, mes échecs, toute une vie.
La vie semble si injuste par moment. La justice n'est jamais égal. La lumière s'éteint à petit feu pendant que ma clope j'essaye d'allumer. Comme ces gens qui t'ont voler ta confiance.
Je porte ma coupe en levant les bras, pour montrer à tous mon état. Pour dire que je suis fière de moi même si ça ne se vois pas, que je serais là même si au fond je ne le suis pas.
Se sentir vivre, les poumons qui se resserre, le coeur battant de lumière. Pour te montrer que dans cette obscurité j'ai su m'en libérer. Sache que tout le mal que tu m'auras fait reviendras dans tes pensée.
-Sans que son amis le sache, Elle vivait ses derniers instants auprès d'elle.
