Un léger son

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Fuck mes ennemis et leurs avenirs proches. Au jour d'aujourd'hui j'ai les mains dans les poches. Le fusil sur la tempe j'ai sonner les cloches. Pour vivre un enfer aussi loin de mes proches. J'ai sécher tes larmes quand on était que des mioches mais ensemble on a gravit les roches.

Fumer il n'y a que ça de vrais, avant de sourire j'empoisonne mes poumons juste pour faire style d'être un caméléon pour me faufiler au sein de ces cons.

Détruire ma santé j'y avais pas songé. Maman doit me regarder dégoûté, mais j'ai  essayer de marcher vers l'école même si je sais que mon avenir en dépend. C'est sur toi que ma confiance en dépend.

Depuis toute petite j'ai serré les dents, dans l'espoir de trouver un monde élégant. J'ai cesser de marcher pour préférer courir mais au final le passé revis.

Comme on dit : ce monde est une égalité.

Se sentir comme un fils d'immigrés, être intrus comme j'y avais pas penser. S'mettent à cotiser des camps ou sont entassés des gens. J'crois que le plus intelligent serait d'avouer qu'on est con, Serait d'avouer qu'on est blancs,noir ou quelques soit le ton. Voir ce que nous laisse le temps. Croire en nous mais sans le ''en'' car qui sommes nous vraiment quand on l'est pas vraiment ?

Déguisé en être humain pour un semblant d'humanité. Charnelles sont les générosités. 

''Je croyais qu'on serais toujours ensemble''

Depuis je fume pour oublier

Depuis je fume pour oublier

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