Yanis me guide jusqu'à sa maison, puis après avoir refermé la porte derrière moi, me plaque contre le mur, mon corps vibrant du même désir que le sien. Nous nous déshabillons d'une vitesse inimaginable, puis il me porte, mes jambes autour de sa taille, ses mains sur mes fesses, jusqu'à sa chambre. Il me pose sur le lit, puis fouille dans son bureau, et sort une boite de capote. «20 capotes XL» pouvait-on lire sur cette boite. Tout en restant bloquée intérieurement sur la taille des capotes, je lui dit «j'espère que ça suffira» Il me sourit narquoisement, en enfila une, et me pénétra avec violence, comme si on ne s'était pas vus depuis des mois. Puis, il me coucha sur le bord du lit, de sorte qu'il puisse me pénétrer en restant debout. Dans cette position, son sexe fut complètement rentré dans le mien, cela me faisait presque mal tellement il était gros. Je sentait son membre me remplir totalement, avec comme sensation de me déchirer de l'intérieur. Un long cri de jouissance sortit de ma bouche. Puis il fit des va-et-vient en l'enfonçant de plus en plus profondément à chaque mouvement à l'intérieur de moi. Cela me faisait tellement mal, mais on même temps tellement du bien! Cette sensation d'être comblée était excise. Comme si il sentait qu'il me faisait mal, Yanis se calma et me demanda si tout va bien. Je lui murmura que son membre était tellement gros que ça me faisait mal, mais en même temps une sensation encore plus forte, la jouissance, surpassait tout. Je lui ai demandé de continuer dans cette position. En souriant, il se retira à moitié, et, dans un formidable coup de rein, s'enfonça encore plus profondément en moi. Ce coup de rein fut le déclencheur, et, dans un long cri mêlant douleur et jouissance, mon corps fût possédé par le plus gros orgasme que je n'avais jamais ressenti. Des spasmes me parcourait le corps, semblant ne jamais vouloir s'arrêter. Le gémissement incontrôlé de plaisir qui sortait de nos deux bouches fût long et fort, puis Yanis s'écroula sur mon corps encore secoué de spasmes ravageurs. J'avais l'impression d'avoir explosé de l'intérieur en une multitude de molécules guidées par le plaisir. De longues minutes se sont écoulées avant que un de nous deux ne se réussisse à bouger. Cet orgasme partagé nous avait complètement vidés de nos forces. Yanis se pencha sur moi et s'assura que j'allais bien. Le sourire fatigué qui était sur mon visage le rassura. Nous sommes restés blottis l'un contre l'autre pendant longtemps.
Après avoir repris des forces, nous nous sommes embrassés tendrement pendant longtemps. Puis il me murmura «J'ai envie de tester quelque chose, tu me l'a fait mais je ne t'ai pas rendu la pareille» Comprenant de quoi il s'agit, je le laissa faire. Il dirigea sa tête vers mon entre-jambe et y frotta juste son nez. Je sentais mon corps en vouloir plus, et j'avais l'impression que mon cœur était descendu dans mon bas-ventre. Une flamme brûlante se trouvait à intérieur de moi. Puis je sentis sa bouche contre ma peau. Il prit doucement mon clitoris entre ses dents. Un frisson remonta le long de ma colonne vertébrale. Un long et faible gémissement sortit de ma bouche. Sentant que je lui appartenait, Yanis fourra sa langue dans mon sexe, et la bougea doucement. Une fois de plus, mon bas-ventre se contracta et je jouis dans sa bouche.
«Tu as un goût sucré» me dit-il à l'oreille, tandis que je reprenais mes esprits. Il m'embrassa le bout du nez, amusé par ma fatigue. «Déjà fatiguée? Il est que 10h... » me dit-il à l'oreille...
