Illegal world-1 : the hell factory

un premier contact

avec les couteaux de la cantine, on a tout simplement ouvert une des portes et on s'est caché sous un buisson. Ensuite, on a balancé tout les couteaux de toutes nos forces sur les "pauvres".

Certains sont morts, d'autres se mirent à courir vers la sortie... c'était presque parfait jusqu'à ce quelqu'un découvre d'ou provenaient tout ces couteaux volants.

Il me pris par le col avant de mettre son poing droit dans le nez, ce qui fut très douloureux. Guillaume me défendit en sortant un énième couteau du sol. Il tua la personne, et les autres en appelèrent d'autres encore. Je vous le dit j'avais peur. 

Peur qu'une chose nous arrive: la mort.

On se mit à courir vers la sortie. C'était comme dans un film de zombie.

 Il y'avait l'apocalypse, mais pas les zombies, juste des pauvres cherchant à tuer. J'avais l'impression de ne plus rien voir, et d'ailleurs, je ne pensait à rien d'autre qu'a ma propre survie et à celle de guillaume. Guillaume sera -je pense- mon seul ami dans cette histoire. Je croit que je lui fait confiance, dans tout les cas, je n'ai pas d'autres choix. On enjamba la grille exactement comme on était entrés. Ma moto était toujours la, et je lui prêta mon casque avant de démarrer et de partir vers la ville. Bizarrement, rien n'avait changé et il n'y avait pas un rat dans les  rues. Même pas un pauvre. et puis ce qui devait arriver arriva. Plaf, plus d'essence. 

J'y avait pensé trop tard et je me rendait compte que le moteur ne durerais pas éternellement. alors, nous descendîmes et allèrent vers une maison, une sorte de grande maison sur la gauche vers le milieu de la descente. On entrais, il y avait un petit couloir avec au fond, des toilettes, la porte était ouverte. on  trouva une faucille en entrant dans la cuisine. Je la pris et passa devant.

Au collège, je ne savait pas me battre. Je ne me suis jamais battu jusqu'à maintenant d'ailleurs. Et personne ne me l'avait reproché.

 on entra sur une porte dans la cuisine, elle menait à une chambre d'enfant encore presque bébé. C'était une petite chambre. Mais pas d'arme pour Guillaume qui reluquais une ferrai rouge miniature, jusqu'à ce qu'on entende un bruit venant du salon. Un bruit sourd de quelqu'un qui tousse Jusqu'à s'étouffer. 

On eu la même réaction: Serrer les poings et moi serrer la faucille. C'est la première fois que je vais tuer quelqu'un en sachant ce que je fais. La faucille à la main, je m'avança avec Guillaume à côté de moi. On monta quatre marches et passa mon œil près de la serrure: un homme, nu qui se faisait vomir pour pouvoir remanger ses "restes" avant de se mettre à rire et à courir dans la pièce. On préféra ne pas ouvrir.

En sortant, on revis deux motos garées près d'un parking. Une Kawasaki MT-10 et une Yamaha ninja 750. Je savais comment "pirater une moto". J'avais vu une vidéo sur YouTube. Je sortit les câbles et commença l'opération. Au bout de cinq minutes, les deux motos étaient piratées. On pris le casque à côté de la moto avant de partir à toute vitesse. Je croit que c'était le seul moment d'amusement qu'on ait eu avant que le soir tombe.

Une journée inoubliable.

Une nuit restée dans nos têtes.

un monde nouveau à découvrir,

une journée de 2018.