la main explorait, tâtait le visage anxieux. s'arrêtant de temps à autres pour conserver intact le souvenir de ce touché
la femme replongea son esprit dans ses contemplations, laissant la main s'affairer sur une peau morte et vide.
la main se lassa, retomba, penaude, et vint se ranger dans la poche d'un veston bleu marine.
le veston s'éloigna d'un pas souple et lent, vif et aguerri, la main s'en allait visiter d'autres courbes