Tu me parlais si gentiment
Et je t'aimais éperdument
Mais tu ne faisais que de mentir
Alors que moi je nous imaginais un bel avenir.Tu m'insulté, crié et frappé
Je n'avais plus aucune liberté
Je ne disais rien
Car mon corps n'était plus miens.Ces bleus qui décoraient ma peau
Témoignaient que c'était un amour faux
J'ai résisté à tellement de douleur
Mais je ne pourrai pas supporter celle du cœur.Tu m'insultais, crié et frappé
Je n'avais plus aucune liberté
Je ne disais rien
Car mon corps n'était plus miens.Voici les informations d'aujourd'hui
Une femme se faisant battre par son mari
Ne pouvant supporter son corps meurtri
A décidée de mettre fin à sa vie.
Elle laissa une lettre à celui-ci :Tu m'insulté, crié et frappé
Je n'avais plus aucune liberté
Je ne disais rien
Car mon corps n'était plus miens.
Mais sache que je t'ai pardonnée.
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Dans Les Abysses De Mes Songes
PoesíaDepuis toute petite, j'aimais écrire des nouvelles ou des poésies. Je me fichais du sujet, je trouvais toujours quelques choses à dire. Ça pouvait allez à la personnification du matériel dans ma trousse d'école à comment l'éléphant avait une trompe...