You Are Fucking Boy

9.

Je me glisse sous mes draps, en éteignant la lumière quand mon téléphone vibre. C'est Lucas. Fatigué, je décide d'ignorer la pelle et de lui envoyer un message demain. Je le verrouille et mandore en quelques minutes.

« Je me réveil yeux en tous sens, ma gorge me gratte. Quand j'ouvre les yeux, je constate que la pièce est rempli de fumée et des flammes lèche déjà ma porte. Je comment ça paniqué et me recroqueville dans mon lit. Des larmes commencent à couler, vite sécher par la chaleur. Les flammes grossissent de plus en plus et m'entour. Je suffoque ayant du mal à respirer. Le feu cinq part de mon corps et je brûle littéralement. Je hurle de douleur. »

Je sursaute et me redresse, trempé dessus air. J'ai encore fait ce cauchemar, le même depuis deux ans maintenant. Mon réveil indique trois heures et 24 minutes.Je me lève et descendre les deux étages sur la pointe des pieds pour aller boire. J'ai besoin de me rafraîchir.

En bas j'ouvre la porte du frigo mais ne trouve pas la bouteille d'eau. Je me retourne et retient un cri envoyant une ombre se découper au clair de lune.

« Ce n'est que moi. Me rassure Tyler.
–J'ai pas eu peur. Je lui ai dit on s je me lève et descendre les deux étages sur la pointe des pieds pour aller boire. J'ai besoin de me rafraîchir.

En bas j'ouvre la porte du frigo mais ne trouve pas la bouteille d'eau. Je me retourne et retient un cri envoyant une nombre se découper au clair de lune.

–Ce n'est que moi. Me rassure Tyler.
–J'ai pas eu peur. Je lui mens.
–Mais oui ! C'est ça que tu cherches ? Dit-il en me proposant la bouteille d'eau. Je hoche la tête pour confirmer et me sers un grand verre. Je vois un silence ; seule la lune nous éclaire. Tyler elle est épuisée, les cheveux en bataille et des poches sous les yeux.

–Tu aimes bien ce que tu regardes ? Reprend-t-il.

Je ris gêné, quand je comprends que cela fait plus d'une minute que je le scrute.

–Je me disais juste que t'étais épuisé. T'as dormi au moins ?
–Non, j'ai des insomnies depuis plus d'une semaine.
– je n'avais pas remarqué. Tu sais la cause ?
–Je... Je non, non je ne sais pas. Dit-il en se tordant les mains.
–Faudra quand même que t'essaye de te reposer.
–Et toi, tu fais quoi ici ?
–J'avais beaucoup trop chaud. J'ai prétexté ne voulant pas parler de mes cauchemars.

Je lui souris et lui dit bonne nuit puis remonte me coucher. Pendant plus d'une heure, je me tourne et me détourne, impossible de trouver le sommeil.
Lorsque j'entendis, et pas de tags heures monter, il attendit comme pour s'assurer que j'étais bien endormi et rentré dans sa chambre. Je m'assoupi peu de temps après.

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J

'ouvre les yeux et les referme aussitôt, voyant la lumière du soleil. Je me recouvre avec une couette et ignore les cookies sont assignés sur ma pauvre porte. Je l'entends s'ouvrir mais il fait semblant d'être endormi, même si j'ai toujours une oreille à l'écoute de ce qui se passe.

Des sucettes m'en se font entendre mais, à moitié dans les vapes, je ne comprends pas ce qui se dit. Jusqu'à ce qu'un parfois se crache sur moi en hurlant de me réveiller, à bientôt suivi par un autre. Je tente de me retourner mais, mouvement a pour seul but de nous faire tomber tous les trois. C'était mes deux cousins qui avait tout manigancé.
Je me redresse et des visages longuement agacé, mes deux cousins : Enzo et Liote. Je leur adresse un majestueux doit donneur avant de partir dans la salle de bain, mes habits pour la journée sous le bras.

Une fois habillé est prête, je ressors et croise tagueur qui descend les marches. On se salue puis nous rejoignons ma tante et mes cousins.

Je vais présent à une telle heure et nous petit déjeuner. Pendant que nous débarrassons tous à table, Enzo est Liote nous interroge :

–Qu'est-ce qu'on fait cet après-midi ?
–Je sais pas. Vu le temps qu'il fait et je leur vous proposez quoi de ? Le répondit gens lavant quelques verres.
–On pourrait aller en ville, me propose est Liote.
–Moi ça me va, réponds Dige avant de solliciter Tyler du regard. Ce dernier hausse les épaules et réponds :
–Pourquoi pas?
–Bon. Je pense qu'on va donc y aller, tranchée Enzo.

On prévient maintenant de nos projets et elle nous sourit en disant qu'elle est d'accord. Je monte enfiler un short et mes chaussures avant d'être un peu minette de soleil et de rejoindre les garçons en bas. Il va attendais je m'excuse de les avoir fait attendre. On monte dans la voiture, mes cousins à l'avant et moi était une heure derrière.

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«

Allez s'il vous plaît ! Est-ce qu'on peut aller dans cette boutique je supplie comme une gamine.
–Non, me rétorque Enzo agacé.
–Ça va faire la cinquième boutique et je pense qu'on est tous assez chargé comme ça.

Je regarde les trois garçons qui porte mes sacs. Ayant pitié deux, je me résigne à les suivre. On s'assoit sur la terrasse d'un café et un serveur arrive pour prendre le commande. En attendant qu'elle arrive, nous discutons de tout et de rien.

Un moment, Enzo et Eliot c'est excuse auprès de moi et Tyler et me donne les clés de la voiture, ils disent avoir des amis à eux et qu'ils vont passer le reste de l'après-midi ensemble. Fatigué par mon shopping et en mal aux pieds, je ne proteste pas. Tyler prends les clés conduit. N'ayant pas le permis, je trouve ça plutôt normal.

Au moment sur la route et plus particulièrement sur l'autoroute, Tyler n'arrête pas de regarder dans le rétroviseur et de slalomer entre les voitures. Comme s'il voulait éloigner quelque chose de nous. Sauf que, à chaque fois, je n'aperçois qu'une voiture blanche. Rien d'inquiétant.
Quand la voiture s'arrête enfin devant chez ma tante, tagueurs en décembre et ne se préoccupe plus de moi. Je me demande ce que j'ai bien pu lui faire et monte à mon tour dans ma chambre. Je pose mes sacs dans mon dressing et me jette sur mon lit. J'attends mon PC et vais un peu sur les réseaux sociaux avant de partir sur Internet et de lancer un film.

Je choisis ou hasard et finit par regarder 50 nuances plus clair. Je suis allé le voir avec Dana, au cinéma en avant-première et je ne m'en lasse pas. Au moment, où ils sont embrassés, tagueurs Siri dans ma chambre coupant mon attention. Agacé, j'appuie sur stop et attends des explications à cette soudaine apparition. Il ne dit rien, fixant mon ordinateur.

–Quoi ?
–T'es sérieuse quand tu regardes ça ?
–Bah oui, c'est trop bien.
–C'est de la merde. Articule-t-il mot pour mot.
–Au moins lui il s'est embrassé.
–Arrête, j'embrasse super bien.
–Arrête de mentir ! Je dis en rigolant. L'énerver et ma nouvelle passion.
–Je te parie tout ce que tu veux que j'embrasse mieux que Monsieur Grey.