Cette pièce a été écrite dans l'optique de décrire la relation que je possède avec ma mère. Bien sûr, ce n'est pas la réalité, mais plutôt une parodie. Une parodie absurde qui pourrait facilement me faire punir si ma mère la lisait. En espérant qu'elle ne tombera jamais dessus et que vous prendrez du plaisir à la lire.
Si vous lisez cette pièce, laissez moi un avis de préférence constructif. Cela me permettra de m'améliorer.
Je vous souhaite une bonne lecture.
Les personnages :
-La mère est plus petite que sa fille d'environ une tête. Elle a des cheveux plutôt courts plaqués sur son crâne en couettes brouillonnes. Ces vêtements sont hyper décontractés, type vieux pyjama un peu décoloré. Une crème blanche se trouve au-dessus de la lèvre, lui faisant une fausse moustache.
-La fille a des cheveux vraiment en désordre qui forme une masse informe sur sa tête, ces lunettes sont posées au-dessus de son front retenues par ses cheveux. Elle porte un jeans, un t-shirt et des chaussettes dépareillées. Une chaussette d'un vert cristallin et l'autre d'un magenta pétillant comme du soda.
La scène :
La scène représente la chambre de la fille, qui a une sorte d'ambiance très désordonnée. Sur le sol est posé un gros tas de vêtement, de la taille d'une chaise pour enfant. Une porte permet d'accéder aux coulisses par le côté gauche de la scène. Les murs sont tapissés de posters collés maladroitement. Son lit, qui se trouve collé contre le mur à gauche de la scène, est défait d'une manière plutôt artistique. Une commande s'adosse au mur du fond, il y a beaucoup de bibelots dessus. A côté de celle-ci se trouve un bureau recouvert de feuille usagées et de stylos décapuchonnés, mais un cahier vert cristallin et magenta pétillant est posé sur le rebord du bureau. Une petite armoire se trouve à droite du bureau, et ensuite il y a le mur de droite. La lumière n'est pas très présente, il fait sombre et la pièce doit paraître exiguë.
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L'échévelée et la ménopausée
Non-FictionPièce de théâtre à lire ou à jouer, selon vos envies. Une relation mère-fille absurde, mais pourtant véritable. Bonne lecture.