C'étais comme une renaissance dans ce monde indigne de ma présence. Je ne pouvais accepter l'idée que mon coeur ressente une tel chose. Une chose étant l'amour. Je ressentais sa passion jusqu'au plus profond de mon âme et mon être en eut le souffle coupé. Comment avais-je pu tant de fois blesser et esquiver cet âme qui ne cherchait qu'à m'aimer? La sensation de ses mains tels que des pinceaux sur un tableau, me manquèrent. Il dessinait mon corps le faisant courber et frissonner. Son sourire devint ma bénédiction et son être devint ma résurrection. Fais moi l'amour disent-elles mais moi, sil te plaît, prend mon âme.