Appuyée contre un lampadaire,
Agée de 20 ans,
Attendant son bus hebdomadaire,
Les jeunes marchaient en l'insultant,
Mais ses marques d'adolescence,
Présentent sur son visage sont personnelles,
Une adolescence emplie d'essence,
A fini par s'enflammer et les cicatrices sont intemporelles,
Portant toujours des habits noirs,
La peur d'être critiquée,
Espérant de détourner les regards de sa mâchoire,
Les jeunes ne sont plus touchés et amochés,
La vie est une salope,
Elle nous offre des cadeaux empoisonnés,
C'est ce que pense, Pénélope,
Des présents que l'on doit toujours accepter...
-Ellab01-
VOUS LISEZ
Univers Parallèle
PoetryJ'ai décidé de ne plus me cacher, Voici donc mes poèmes à votre portée, Des simples textes pour vous, Qui seront sûrement un peu flou Ma façon de m'exprimer, Est ainsi créer, Vous voilà à me critiquer, Mais on verra qui rira le dernier !
