{Un monde aléatoire}

Un massacre

C'est aujourd'hui. Le fameux jour où la guerre commence. Comment a-t-on pu en arriver là ? Nos dirigeants sont tous des imbéciles. À cause d'eux, j'ai du faire un service militaire, et en plus, abandonner ma famille pour partir au combat. Moi qui souhaitais simplement vivre une vie paisible avec ma femme et ma fille... Ma douce et adorable petite Mélissa... Ma chère et tendre Lola... Je suis tellement désolé...

Pistolet en main, au premier rang, j'avançais vers la ligne ennemis, avec d'autres. Je regarda une dernière fois la petite photo de famille, que l'on avait pris avant mon départ, et partis en courant, enragé, afin de tuer nos opposants. Je n'aurais jamais cru qu'un jour, je me retrouverais ici, à vouloir tuer d'autres. Mon entourage me disait calme, gentil et réfléchit, et voila que maintenant, j'avais la rage de tous les tuer, pour retrouver ce qui est le plus cher à mes petits yeux.

Plusieurs balles furent tirés, et plusieurs hommes finirent au sol - dans les deux camps - partant vers le ciel, avec leurs ancêtres. Je ne sais comment, aucune de ces balles meurtrières m'avaient touché. Je continuais ma course, mon fusil tirant sur nos opposants en première ligne. Plusieurs moururent, alors que je continuais, avec mes coéquipiers et à l'aide de nos armes, tuer encore et encore nos ennemis. Plusieurs des notres décédèrent aussi, mais nos pertes étaient beaucoup moins important que celles nos adversaires. Nous étions plus fort, et cela se voyait.

Le champs de bataille fini assez vite en cimetière, avec tous ces morts, tout ce sang au sol. Ça me donnais envie de vomir. Je regardais tristement les quelques centaines de survivants du camps adverse, qui eux, étaient effrayés. Certain nous supliait, nous disant qu'ils avaient une famille. Je les laissais, je savais parfaitement ce qu'ils ressentaient. Et ce fut ce qui causa ma perte. Une balle, une arme, un homme que j'avais épargnier. Je tomba au sol, avec tous ceux que j'avais massacré sans aucune pitié, souriant. Je sortis une dernière fois la photo, regardant ma fille et ma femme, des larmes coulant sur mes joues sales.

«Ma chère Mélissa... Je t'en pris, ne soit pas triste... Pareil pour toi, ma chère Lola... Je suis désolé... Tellement désolé de vous abandonnez... Juste... Vivez pour moi...» murmurai-je, avant que mon dernier souffle se face entendre.

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393 mots ! J'espère que ça vous à plus =w=

C'était un test massacre, mais il est as trop réussi... Bref, bye~