Le Papillon Bleu (réécriture du "Secret de Misty") [EN PAUSE]

Chapitre lemon

(NDA : Chapitre lemon. Vous pouvez zapper si vous n'êtes pas à l'aise avec ça, dans le chapitre d'après, il y aura une phrase brève qui résumera le lemon. )

Après avoir mangé, nous montâmes dans ma chambre. Je refermais la porte d'entrée quand Simon m'attrapa le poignet, m'attira contre lui pour m'embrasser passionnément. Il fit parcourir ses mains le long de ma colonne vertébrale jusqu'à mon bassin, me provoquant des frissons. Je passai ma langue dans sa bouche et attrapai la sienne. Je fis courir mes mains du milieu du dos jusqu'à la nuque et lui arrachai un gémissement de plaisir.

À contre cœur, nous finîmes par nous séparer à bout de souffle. J'ouvre lentement la fermeture éclair de ma robe pour lui signifier que je voulais plus, que j'étais prête à plus.

Il me regarda faire surprit et dit :

- Misty ? Tu es sûre que tu veux le faire ? Non pas que je ne le veuille pas moi aussi... seulement, j'ai peur de te faire mal...

Je mordis son lobe d'oreille et lui répondis :

- Fais ce que tu as à faire. Je suis à toi.

- Mais...

D'un geste vif, j'accrochai mes bras autour de son cou pour l'attirer vers moi et l'embrassai.

On perdit l'équilibre et tomba sur le lit au milieu des coussins où on s'embrassa sans répit.

- Je t'aime Simon. Maintenant, fais-moi ressentir ton amour pour moi.

Il me répondit en m'embrassant dans le cou alors qu'il passait ses mains sur mes hanches. Il me fit quelques suçons tandis que je me tortillais de plaisir, la respiration toujours plus rapide.

Je descendis mes mains dans le dos du jeune homme puis les ramena à l'avant pour les passer sous le t-shirt. Je caressai son ventre pendant qu'il continuait à m'embrasser un peu partout dans le cou et le visage. Comme je dirigeais doucement mes caresses vers ses pectoraux, le t-shirt remontait au même rythme. Je le retirai immédiatement sentant l'envie de remplir chaque parcelle de son corps musclé de baiser.

Mon cœur qui battait déjà vite semble encore accélérer et mon sang devient feu dans mes veines. D'un seul mouvement, Simon me fit basculer au dessus de lui. Il replaça mes cheveux dernière mon oreille et m'embrasse encore.

Je passais mes mains sur ses omoplates et commençai alors à éparpiller sur le haut de son corps des baisers. Puis, le jeune homme alla cueillir mes lèvres et me releva une main dans mon dos. Il retira la robe et me recoucha doucement sur le matelas. Une fois la besogne terminée, il s'attaqua à mon soutien-gorge. Il descendit progressivement ses bretelles pour dévoiler ma poitrine.

Ses mains se posèrent instinctivement sur mes seins. Il les caressa des bouts des doigts, les embrassa et m'y fit quelques suçons tout en descendant doucement ses mains sur mes fesses. Il suça le bout de ma poitrine avant d'en faire le tour avec sa langue, lentement et méthodiquement.

Je me cabrai légèrement sous la sensation, on aurait dit que chaque interaction m'envoyait une décharge électrique. Chaque millimètre que Simon effleurait de ses lèvres ou du bout des doigts me troublait profondément.

Mais cela ne me suffisait plus, j'en voulais plus. J'allai alors jouer avec sa ceinture pour le lui signifier. Avec un sourire canaille, il s'agenouilla pour défaire son pantalon et le retirer complètement. Il s'allongea sur le lit et je le fis basculer en-dessous de moi.

Je déposai des baisers dans son cou en descendant doucement. Je suça sa peau et la mordit. Il poussait un grognement assez fort qui accentuait mon désir.

Je retirai son boxer, et admirait son sexe. Je le pris en main et fit quelques vas et viens. Tandis que je le mastubait du mieux que je pouvais, il gémissait doucement.

Au bout d'un moment, il arrêta mon geste, posa ses mains sur mes hanches et échangea nos positions. Il enleva ma culotte et m'embrassa lentement.

Il se mit à me caresser les cuisses, à les embrasser. Il passa ses mains sur mon ventre, puis mon dos et mes fesses. Il remonta sa main vers mon sexe et le caressa du bout des doigts. Puis y rentra l'index et tout en embrassant mes seins, fit quelque mouvements circulaire. Il insera un deuxième doigt et fit des vas et viens. Il accéléra mes mouvement et mordit mon teton dur.

- Simon... gémis-je.

Ma respiration se fit plus saccadée et mon désir grandissait. C'est alors qu'il toucha un point sensible. Je gemis et il donna encore quelques coups.

- S-S-Simon, j-je... s'il te plaît... dis-je entre deux gémissements.

Il se retira et me regarda dans les yeux. Je rougis et il retourna embrasser mes lèvres sensuellement. Je forçai doucement l'entrée de sa bouche pour entrelaçai ma langue à la sienne.

Il m'embrassa encore une fois tandis qu'il prenait place entre mes jambes. Pendant que nos langues dansaient entre elles, il entrait doucement moi.

Dans sa voix grave, Simon poussa un soupir suave et sauvage tandis que je gémissais, de douleur et de plaisir. C'était ma toute première fois et il le comprit.

Ses gestes étaient extrêmement doux, il y allait très lentement. Je le sentais s'insérer en moi petit à petit. 

Il enfouit son visage dans mon cou, et inspira profondément, puis expira longuement, son souffle était brûlant. Et il commença alors à faire de lents vas et viens. Au fur et à mesure, la douleur s'estompa pour laisser place à du désir.

Appuyé sur ses coudes de chaque cotés de mon visage, il posa son front contre le mien. Il accéléra un peu le mouvement et je me mis alors à bouger un peu les hanches.

Il m'embrassait en même temps, ce qui étouffait mes gémissements. Je ressentis à ce moment-là des choses que je n'avais jamais ressenti auparavant.

Il alla de plus en plus vite. Un vague de plaisir assez intense, monta de mon bas ventre jusqu'à ma tête, c'était légèrement douloureux mais tellement agréable.

Mon corps se tendis, mes muscles se rencaissèrent. C'était si intense que j'en agrippai les draps à m'en faire mal au paume en y plantant mes ongles.

Ses lèvres étaient contre mon cou quand il grogna et donna des coups de reins un peu plus brusques et profonds en moi. Je gémis une dernière fois et criai son nom.

Je suffoquais un peu et semblant s'en apercevoir, il s'arrêta. J'essayai de rependre mon souffle. Quand ce fut chose faite, il m'embrassa langoureusement avant de reprendre ce que mon orgasme avait précipité.

Au bout d'un moment, je sentis son corps se tendre. Il planta ses ongles dans mon dos, hurla puis s'allongea près de moi.

- Je t'aime plus que tout.

Je me plaçai dans le creux de son épaule et lui répondis avant de m'endormir paisiblement :

- Moi aussi je t'aime.