Il n'a qu'a creuver

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Dans un nuage de fumer nous rions sans vraiment savoir pourquoi. Peut être es parce que'après ce qui c'est passé on en avait besoin ou juste parce qu'on été défoncé. Dans tout les cas ça nous faisait du bien. Ce moment, tout été parfait, mais bien sûre cela ne pouvais duré. J'entend la sonnerie retentir dans toute la maison. Qui pouvais bien sonné à cette heur la et pourquoi appuyais t'il autant de foi sur ce maudis boutons? Sa doit être un mauvaise blague de gamin dont les parents ne s'occupent  pas, il en a plein dans le quartier. Mais ça deviens de plus en plus assistant. Je le regarde l'aire de dire il faut qui j'y aille fini pas tout. Il me sourit et je me dirige vers l'entrée.

"C'EST BON PLUS BESOIN DE SONNER, JE VAIS OUVRIR."
Mais la personne dernière la porte n'a pas l'air de s'occuper de se que je dis.
J'ouvre la porte d'entrée, je m'attendais pas ça. Je ne voulais pas ça, tout sauf ça. S'il vous plais pas ça. Elle. La simple vue de cette peau de vache me donne la gerbe. J'ai envie de la frappé , non pire de la tuer. Pourquoi est elle là, ne devait elle pas m'oublier faire comme si je n'existait pas, comme elle ne m'avait jamais mis au monde. Je comprend rien. Elle empestait l'alcool. En regardant rien elle a l'as triste, qu'elle le soit, je n'en ai plus rien à faire.

"Part
Lui dis je d'un ton sec.

-Moi aussi c'est un plaisir de te revoir.

Elle commence à rentrer dans la maison, mais je la pousse d'un mouvement violent. Je ne veux pas la voir chez, je ne pas la voir du tout. J'ai envie d'hurler, de tout balancer mais je reste là sans la moindre émotion sur mon visage.

"Il faut qu'on parle, c'est important"




§§§



J'hurle fort, si fort. Pourquoi suis je si peiner? pourquoi ne suis je pas dans l'indifférence dans là qu'elle devrais je être? je prend le première objet qui me passe sous la main, c'est un dire un cendrier encore remplie de cendre et de cigarette, tout s'envole dans la pièce mais pour l'instant j'en n'ai que faire. J'ouvre mon armoire à alcool et prend une bouteille de whisky et en bois plusieurs gorgées à la même le goulot, ça brûle  œsophage mais je n'y prête pas attention. Cette douleur est moindre fasse à tout ce que je ressent. Viktor essaye de me retirer la bouteille de la mains mais en vins
vik me hurle dessus:

"Mais putain, qu'est ce qui prend? Pourquoi tu es dans cette état? Pourquoi tu veux pas poser cette putain de bouteille?!?!

-Parce que j'en ai rien à foutre, c'est vrais j'en ai rien à foutre si il est mort. C'était un pauvre con, il va brûler dans les flammes de l'enfer et je l'oublierai.

pourtant mes mots ne semblais pas avoir une quelconque logique au vu des larmes sur mes joue.
Victor s'approche délicatement vers moi et me susurre

"Ton connard de père?"

Il n'est pourtant au courant de rien, je ne lui ai jamais parlé de lui. J'ai mille questions en tête mais la seul chose que j'arrive à faire c'est m'effondrer en larme, je me jette au sol en hurlant de plus  belle. Je ne peut plus bouger, j'y arrive plus, je n'arrive même plus à réfléchir. Quand tout à coup dans le cahot de ma peine je ressens un peu de douceur, oui, c'était sa peau. Il me porte jusqu'a mon lit et me dépose sans même dire un mot, mais avant qu'il ne quitte la pièce je lui cris;

"RESTE, reste...avec moi. je..je...je t'EN SUPPLIE!"    

Je ne voulais pas être seul. J'avais peur d'être seul, peur de se que je pourrais penser, peur de ce que je pourrais faire...peur d'être loin de lui.

Chuchote le moi (BL)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant