~Mon vampire bien aimé~

Une rencontre inattendue. (2e partie)

Le repas se déroula calmement et dans la bonne humeur.
« Alors marie-lou ! » dit mon pere d'une voix joyeuse. « tu as hate d'aller dans ton nouveau lycée? »
Quelle question...je n'y avais encore jamais réfléchis jusqu'à présent.
« He bien à vrais dire...je n'y avais pas encore pense mais il a l'air plutôt cool et on voit que les bâtiments sont plus récents que celui ou j'étais à Cordoue en tout cas. » repondis-je d'un ton las. J'espère juste que je m'y ferais de nouveaux amis, je veux que tout change. J'ai passe trop de temps seule a ce foutu lycée...

« En tout cas, si quelqu'un t'emmerde je te préviens que je ne pourrais pas me retenir de venir lui casser la geule ! Personne ne touche à ma petite soeur » dit alors mon frère, sérieux en pointant sa fourchette vers moi.
Rha il peut pas s'en empêcher celui-là...il est lourd. Et c'est comme ça à chaque fois...

« Ernesto ! C'est bon commence pas d'accord...? Je n'y suis même pas encore et je sus assez grande pour me défendre » soupirais-je exaspéré par son comportement d'homme des cavernes.

« Quoi? J'ai plus le droit de te protéger? » dit-il d'un ton plaintif. « Je suis ton grand frères et je dos veiller sur toi, tu trouves ça mal? » se reprit-il froid.
Et aller il essaye le truc de la culpabilité....sauf qu'il me connais encore mal niveau caractère haaha.

« Mais justement putain ! Tu me protèges trop ! » criais-je. « Tu me colles et me suis partout ou je vais, je peux jamais rien faire sans que tu me fasses la morale ou que tu m'envoies un message toutes les dix minutes » (Oui oui c'est pas une blague il a vrmt déjà fait ça ).

Mon père commence à s'interposer voyant que je me leva de ma chaise pour lui imposer ma colère. « Aller c'est bon calmez vous es enfants, tout va bien » sauf sue mon frère parla d'un truc dont il n'aurait pas du parler, il me trahis de la pire façon qui soit.... 

« Ouais bah excuse moi de garder un œil sur ma soeur qui se scarifie et qui a déjà tenté de se suicider... » hurla Ernesto au bord des larmes.
Mon père me lâcha alors et recula pour me dévisager et ne sachant si il doit être choqué ou en colère...Pfff c'est pas vrais il fallait qu'il gâche tout encore lui ! Je le déteste , c'est vraiment qu'un crétin. Il en rate pas une pour plomber l'ambiance ou dire des trucs gênants...En l'occurence ici il a gâcher le reste de la soirée.
« Qué?  Es la verdad María-Luisa Flora Carlos Octavia Silvia De La Cruz? » s'énerva mon père (je sais, je sais en Espagne on a beaucoup de noms différents, ce sont ceux de nos ancêtres...).
« Papa, no te enojado por favor...puedo...ex.explicarte.. » dis-je en larmes.
(Pour la petite traduction cela veut dire : ne t'énerve pas s'il te plait je peux t'expliquer #Lucie☺️❤️)

« Pourquoi ?! Hein pourquoi tu te lacères le corps pour saigner? DIS-LE-MOI » s'attrista-t-il...
« Heu..j...je...suis d...désolée..je » dis-je en sanglotant. C'est alors que je reçue une baffe monumentale, je fixais mon père choquée en me tenant la joue et mon père semblait lui même choqué de ce qu'il avait fait. Pendant ce temps, mon frère avait quitté la cuisine pour partir avec sa voiture (croyez moi il perd rien pour attendre celui là !). Je courue alors jusqu'à ma chambre en trébuchant de peu dans l'escalier. Il fallait à tout prix que je sortes de là ! J'attrape à la volée mon petit sac et une veste au cas ou le vent soufflerait à la tombée de la nuit.
Je sortie alors de la maison en hurlant « JE SOOORS » sans oublier de claquer brutalement la porte. Une fois dehors je me mis'a courir jusqu'à épuisement et aperçu un petit parc non loins de là...Je décidai alors d'aller m'y poser.

Il faisait à présent nuit noire et, la seule chose qui m'inquiétait était que mon père et mon frère fasses les alentours du village pour me chercher...je m'assieds avec pied d'un énorme oranger, ça sentait si bon...le tronc est tellement gros, il doit être là depuis des centaines d'années enfin peut importe, pourquoi je m'intéresse à un arbre alors que j'ai des problèmes? Franchement je rigolais intérieurement.
Le vent soufflait une petit brise d'été agréable, je mis mes bras sur mes genoux, recroquevillée sur moi même et posa la tête dessus..mes larmes coulèrent petit à petit. Je me sens incomprise en quelque sorte...ont-ils tout les deux déjà oublié que leur mère et femme est morte récemment? J'éclata en sanglot jusqu'à ce qu'un bruit venu du côté me fit sursauter. Je le lis alors a regarder partout mais ne vis rien je pensais alors « c'est la fin, ça y est que,qu'un est venu m'enlever et va me tuer » (Avouez ça vous est déjà arriver de penser ça seule dans la rue? Haaha #Lucie🤔😁)