Icy heart of the forest

Chapitre 1

Quand mon père est mort, ma mère a changée , elle est passée de la mère protectrice et aimante à la mère méprisante que j'ai du mal à reconnaitre . C'était un homme brave et intelligent que tout le monde redoutait. Son impressionnante carrure révélait l'homme qu'il était à un point que tout le monde se pliait pour lui. Il était si bienveillant et accueillant , tout le monde l'aimait, il savait tout faire.

Lorsque j'ai appris sa mort , j'avais l'impression que le monde avait arrêter de tourner, la chute était si brutale comme si on me passait tout doucement une lame autour du coup pour me laisser souffrir tout doucement. Entre gérer le grand héritage qu'il a laissé derrière et la vie que j'allais avoir, ma mère me laissa guère le choix. Depuis qu'elle a pu accéder à l'argent de mon père, elle n'est plus la même. Elle est devenu une autre femme, une femme assoiffée d'argents et méprisante, une vraie croqueuse de diamants.On a déménager dans une grande maison à côté d'une forêt, que mon père avait acheter , pour s'isoler. Mais ce qui est important,c'est que pourquoi aménager dans une demeure aussi loin de la ville ?

J'ai 23 ans, je vis toujours seule, ma mère n'est jamais la de toute façon, elle vient rarement. Tout ce que j'aimerais faire est de sortir et aller travailler chaque matin comme le reste du monde .Les chiffres m'ont toujours intéressés, et vu les bouquins que j'ai lu dessus , je sais ce que c'est. Le jour où j'ai annoncée à ma mère que je voulais travaillée comme bancaire, elle avait fait comme si elle n'avait rien entendu en me lançant qu'un seule regard à la dérobé, ce qui m'avaut affreusement  serré le cœur. Pour elle une femme de notre famille n'est pas faite pour travailler, c'est les hommes qui travaillent.

Il est 15h de l'après-midi, je sors respirer l'air frais de la forêt, j'ai toujours aimé cette demeure. Je passe tellement de temps dehors que j'oublie le monde entier, j'oublie tout ce qui m'entoure, le bruit des oiseaux me fait tellement du bien et me transports dans un monde si merveilleux que j'ai l'impression de flotter.

Je cueillis quelque fleures et rentra les poser dans un vase d'eau et les mettre dans ma chambre.

Au moment de descendre , je surpris ma mère dehors, depuis la baie vitrée du salon , à côté d'une voiture entrain de parler à un homme que j'arrivais pas à discerner ou distinguer . C'est pourtant la première fois que je la surpris dans un moment pareils. Sa voix s'élevait de plus en plus que je ne tarda pas à me lever et me précipiter dehors si vite, que l'homme avec qui elle parlait, tourna brusquement la tête vers moi. Je me fige d'un coup. C'est la première fois de toute ma vie que je vois un homme si terrifiant que lui, une longue cicatrice barrait le contour de ses lèvres depuis son œil gauche. J'ai l'impression que j'ai fait quelque chose qu'il ne fallait pas, les regards que ma mère me lançait n'annonçaient rien de bon , et vu l'expression que l'homme affichait je ne tarda pas à bredouiller des excuses et m'en allait en direction de la maison si vite, que des feuilles mortes par terre s'envolèrent.

Je claqua la porte de la maison une fois rentrée, et me précipitait vers le salon pour attendre ma mère renter. 2 minutes plus tard elle rentra en claquant ses talons derniers prix.

Elle arpentait le couloir qui conduisais la cuisine au salon comme un fauve ce qui augmenta encore plus mon stress. Mais pourquoi elle ne dis rien ?. En voyant mon regard qui pesait sur elle, elle s'arrêta d'un coup et se retourna vers moi, ses yeux étaient si noir comme un océan , qu'on pourrait s'y perdre dedans.

- Mais pour quoi tu est sortis dehors nom de dieu ! explosa-t-elle si fort que j'ai eu un sursaut.

- Je...je te croyais.....que.... bégaya-je

- Mais tu croyais quoi Tara tu croyais quoi ? Combien de fois je t'ai dis que ce que je fais ne te regarde pas ? .

Elle me regarda si mal, que j'ai l'impression que si elle avait des mitrailleuses à la place des yeux elle m'aurait tuée, Je sens la panique montée en mois de plus en plus que je ne sentais plus mon corps . Je tremble de plus en plus.

- Ne me refait plus jamais un coup pareils t'entends ? Plus jamais ! Je devrais une fois de plus réparer ton erreur ! Dit-elle en arrachant ses talons si fort qu'ils atterrissent au bout de la pièce. J'essaie de plus en plus de maîtriser mes tremblements, que j'ai du mal à pouvoir me lever.

Je sens mes yeux me picotés et je ne tarda pas à exploser en sanglots, j'ai tellement mal que ça devient insupportable. Mes tremblements se calment petits à petit et avec grand mal, je remonte dans ma chambre me couchée, ne sachant ce que demain me réservera.