On m'avais dis de ne jamais rendre les coups,
Et je ne l'ai jamais fais,
Je me suis toujours laissais faire,
À tomber presque morte,
On m'avais dit qu'un papa ,
Étais celui pour le quel on craquait à notre plus jeune âge,
Avec lequel on aurais voulu se marier,
Plus tard,
Et vivre heureux comme dans les contes de fée,
Que maman me lisait le soir,
Mais toi papa,
Pourquoi n'est plus pas comme celui de mes copines ?
Pourquoi l'école est devenu mon seul refuge de mes jours ?
Pourquoi les soir, mon ventre se serre sous les hurlements de maman ?
Pourquoi fais tu sa papa ?
Tu nous crie tout les soirs que tu nous déteste,
Tu nous bats comme de simples objets,
Je suis ta fille et je n'ai que 14 ans,
Tu ne devrais pas être mon dégoût,
Je me rappelle des nuit ou je pouvais me réveiller en sursaut,
Et entendre maman te crier de ne pas faire sa,
Je me cachait sous ma couette,
Que tu arrachais violemment sous un état d'ivresse,
Tu souriais comme le diable peut le faire,
Puis tu jouais avec moi,
En passant tes main sur tout mon pauvre corps,
Tu m'entendais pleurer,
Mais j'ai l'impression que tu confondais mes larmes à de simples rires,
Une fois terminer tu me laisser la,
Allonger au sol,
Fatiguée de me débattre en vain,
Tu me laisser suffoquer,
Et je priais pour que ce souffle la soit le dernier,
On a caché ce secret pendant des années,
Car tu nous menaçait de nous tuer,
Tu nous menaçait de tout,
Je ne faisait que cauchemar sur cauchemar,
Alors parfois je décidais de passer des nuits blanches,
À regarder ma porte en priant que tu ne l'ouvre pas,
On me regarder venir le matin avec un bleu en plus sur ce qui me sert de peau,
On me regarder de travers,
À me dévisager,
À m'insulter,
Car par ce que pour te protéger,
Je disais à la foule que je m'étais battue,
Je te déteste papa,
Je te déteste plus que n'importe qui,
Tu à réduis ma jeunesse à un tas de poussières,
Tu à réduit mon enfance à de la violence à du viol toutes les nuits,
A des insultes poignantes,
Tu m'as montré la mort papa,
Tu m'as donnée l'envie de disparaître à jamais,
À tout ces os que tu m'as brisé,
Sous ces milliers de coups,
À ces deux avortements que tu m'as fais subir,
À ces hurlement qui ne sortiront jamais de ma tête remplie de haine,
À ces couleurs que tu à effacées,
À ces deux vies que tu à sans arrêt sali,
Je te déteste papa,
Tu deviendra jamais celui que je regarderais avec un regard rempli d'amour,
Je te déteste papa,
À souhaiter des choses que tu ne sais pas,
Je te déteste papa,
Et jamais sa ne changera....
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Textes oraux
PoetryJe fais un livre de textes oraux. J'adore les textes oraux donc vu que moi même je cherche des livres de ce genre que je ne trouve pas je vais vous le faire car peut être que vous aussi vous chercher comme moi ❤️ Début de l'histoire:18/05/18