Après être sortie de la salle de bain j'entrouvre la vitre afin d'évacuer l'humidité. Je me rhabille d'un jean et d'un t-shirt et met mes chaussures. Il faut dire que chaque soir j'aime regarder la lune en étant allonger dans l'herbe. C'est un moment d'apaisement que je m'octroie afin de soulager mon âme meurtrie.
Avant ça, je m'active à préparer le repas que je prends toujours avant. Vous vous demanderez peut-être pourquoi sachant que même la faim ne peut pas me tuer. J'ai déjà essayé et la faim est probablement une des pires morts au monde, même si elle ne m'a pas tué je préfère mille fois trouver une autre façon de mourir.
Lorsqu'on a faim les tripes se tordent de douleurs et une sensation vide se fait en nous. La douleur et en plus croissante, étant d'abords infime, elle s'accroît comme un boa viendrait tuer sa proie s'enroulant doucement autour de son cou jusqu'à l'étouffer.
Toute fois, si c'était la seule solution je m'y résoudrais attendant patiemment mon heure.
Je me sustentais lorsque que la sonnette de la porte d'entrée retentis. Personne de mon travail ne connaissait mon adresse et il était trop tard pour que le facteur ne passe à cette heure ci.
Etant parez à toutes éventualités de part l'expérience je récupéré un sac d'urgence dans lequel j'ai mis à l'avance le nécessaire pour survivre. Ce qui se compose, d'affaires de rechanges, d'argents, de faux papiers, d'armes diverses et varier. Je l'ouvre est récupère la première arme qui vient: un flingue avec silencieux (faut croire que tout était prévue) . Je la planque dans mon dos et m'approche à pas feutrés de la porte d'entrée. Je regarde par le judas.
Un homme d'une vingtaine d'année m'attend devant la porte un sourire avenant sur le visage. Le type semble bien trop joyeux pour une visite avec un inconnue. Je constate que c'est deux mains sont parfaitement en vue. Cependant il semble trop... statique. Ma résidence se trouvant dans un endroit plutôt malfamé, que j'ai choisi sciemment il devrait être terrifier ou au moins sur ses gardes. Et la rien. Pas un tremblement. Un vrai neurochirurgien. Je regarde alors par deux trous que j'ai placés dans les murs de chaque côtés de la porte. Ce n'est pas la première fois que se genre de chose m'arrive et j'ai commencé à toujours prendre les mêmes habitudes de paranoïaques.
Bingo. Un malabars par coin.
À présent chaque secondes mets comptés avant qu'ils n'enfoncent la porte. Je recule en silence. Récupère le sac et traverse l'appartement. Je ne prend pas la peine de récupérer quoi que se soit. L'attachement matériel est une perte de temps. Quand on est à l'affût du moindre danger le pragmatisme est de mise.
Je vais dans la salle de bain ou la fenêtre est déjà entrouverte après mon passage. Je l'enjambe et bascule dans le vide. Je me trouve au première étage et le conteneur à poubelle plein me réceptionne. L'odeur est pestilentielle. Un mélange de poissons avariés et de fruits en décompositions. Je me soulève à la force de mes bras et atterrit les pieds sur la ruelle.
Un coup d'œil à gauche. À droite. Rien. C'est trop, calme. Beaucoup trop calme. J'avance prudemment longeant le mur le plus proche. Je sens mon cœur pulser jusqu'à mes tympans. Bou-Boum, Bou-boum,Bou-boum, Bou-boum.
Chaque pas est empreint d'une terreur que ma mémoire n'a pas oubliée. La traque. Ayant était des deux côtés de la barrière je ne m'imagine que trop bien le ressentie de mes prédateurs. Excités par la chasse. Intrigués par leurs proie. Impatients de la terminé et pourtant si tristes au moment ou ça arrivera.
Je regarde encore autour de moi cherchant un moyen de m'échapper. Je repère la caisse de Chef de Gang du coin. Une Lamborghini flambant neuve tout juste acquit de leurs dernier casse.
Seulement voilà la caisse se trouve à environs cinq cents mètres et les autres abruties m'auront en pleins dans leur ligne de mire.
Boum.
Une explosion retentit au dessus de ma tête et des pas précipités retentissent.
C'est ma chance. En espérant qu'ils soient tous rentrés à l'intérieur. Je sprinte jusqu'au véhicule ne me préoccupant plus du bruit que je produis . J'ai de la chance. Comme personnes n'est à assez fou pour commettre le moindre complots contre le Boss du coin il laisse ses clés dans sa voiture ouverte. Il est tellement prétentieux qu'il croit encore au Père Noël on dirait.
Je m'engouffre dans le véhicule alors que du bruit se fait entendre dans mon dos. Je démarre au quart de tours juste le temps d'entendre les coups de feu ricocher sur le bolide.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Hello ça faisait longtemps . J'ai pas tellement eu d'inspiration, ni de temps donc voilà pourquoi autant de temps. Je vous avez prévenue x). Bon j'espère que se chapitre vous auras plus en attendant n'hésité pas à me donner votre avis en commentaire.
Bye bye 😊😊😊😊
VOUS LISEZ
Éperdument solitaire
FantasyNi vraiment mort, ni vraiment vivant. Son seul est unique objectif depuis maintenant 300 ans, trouver la mort et échapper à une vie devenue trop longue. Dans cette histoire vous suivrez la quête d'Aiste qui cherche par tout les moyens à mourir. Att...