La fin de soirée

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Elle avait quitté la soirée, histoire d'aller se rafraîchir dehors quelques minutes. Le vent froid sur ses épaules lui fit prendre conscience de la chaleur qui régnait à l'intérieur de la maison. Elle respira des grandes goulés d'air, chassant les débuts de tournis que lui causait l'alcool dans ses veines. Ses oreilles bourdonnaient de se retrouver si soudainement privée de cette musique assourdissante, galvanisante. La fatigue commençait à se faire ressentir. Elle passa une main sur son front et retourna dans la moiteur de la fête où la musique battait toujours son plein.
Elle se fraya un chemin entre les corps transpirants et gagna l'escalier. Après avoir monté avec difficulté les marches, elle rejoignit l'une des chambres de la maisonné qu'elle partageait avec son homme. Elle s'écroula de fatigue sur le lit et se glissa dans les draps froids, frissonnant un instant. Son corps se chargea de réchauffer les draps avant qu'elle ne retire grossièrement son pantalon et son tee-shirt. Les bras autour de son corps, elle n'arrivait clairement pas à s'endormir, les enceintes du salon faisaient trembler les murs accompagnées des fêtards qui criaient pour tout un tas de raisons qui n'étaient pas digne de l'empêcher de sombrer dans son sommeil.

Elle somnolait entre les deux mondes quand la porte s'ouvrit, laissant un filet de lumière éclairer son visage ainsi qu'un passage pour le son qui vint cogner dans ses oreilles quelques secondes avant que la porte ne se referme. Elle n'entendit pas le verrou se fermer mais distingua nettement le son d'une ceinture tomber lourdement sur le sol. Son visage se tourna pour rencontrer la carrure musclée d'un homme qu'elle connaissait plus que bien. Elle tendit son bras pour l'inviter à la rejoindre dans le lit. Il ne se fit pas prier et se glissa dans la chaleur des draps pour venir entourer sa taille de ses grands bras musclés. Son nez se logea tout naturellement dans son cou tandis qu'il gromellait quelque chose du genre "J'ai envie de toi mon coeur".

Sa main rugueuse caressait son ventre avant de prendre la direction de son entre-jambe. Il reprit ses caresses entre ses cuisses, insistant de son majeur sur sa fente pas encore humide, puis entre deux passages, il glissa sa main dans sa culotte, venant vérifier si elle était prête pour lui. Ne sentant aucunement la moiteur caractéristique de son excitation, il s'appliqua à dessiner des cercles concentriques sur son clitoris, stimulant les sens de sa partenaire. Elle se cambra et ses fesses vinrent épouser la forme de ses abdos. Aux doigts de son amant toujours en action, elle rajouta les siens au dessus pour lui intimer d'arrêter tandis qu'elle instaurait le rythme de ses doigts entre ses lèvres intimes à coup de léger mouvement du bassin. Ses fesses rencontrèrent l'érection de son homme alors qu'elle guidait sa main plus bas, là ou coulait désormais abondamment sa cyprine, lubrifiant ses doigts, sa main et toute sa vulve prête à recevoir la longueur d'un sexe d'homme dur et chaud. Les mains de la jeune fille quittèrent sa nymphe pour partir à la recherche du bord du caleçon de son amant qu'elle s'empressa de descendre en se pliant en deux, laissant involontairement la verge dure de son homme s'imprimer entre ses fesses rebondies. Elle réserva le même sort à son tanga alors que les doigts du bienheureux jouaient à l'entrée de sa vulve dont les lèvres étaient gorgées de plaisir, trempant littéralement ceux-ci dans sa cyprine abondante, d'ailleurs elle pouvait sentir son liquide couler sur sa cuisse pour venir mouiller les draps. C'est en songeant à la gêne que pourrait engendrer la découverte d'un drap trempé de cyprine et de sperme qu'elle gémit, sentant des doigts écarter ses lèvres pour la pénétrer violemment. Son sexe se resserra instinctivement sur ces longs doigts. Elle imaginait parfaitement l'effet que devait avoir le contact de ses muqueuses avec les doigts de son homme pour avoir connu cela lors de ses plaisirs solitaires qu'elle se donnait à une époque. Quand elle recherchait encore les sensentions que pouvaient offrir un sexe d'homme en elle. Mais rien ne valait les doigts d'un autre. Elle alternait entre le désir de jouir violemment et la frustration de sentir son amant s'arrêter lorsqu'elle présentait les premiers signes de cet orgasme. Il la tenait sur un fil ou elle ne pouvait pas se libérer mais où la tension présente dans son sexe était tel un élastique tendu près à claquer à tout instant. Par réflexe sûrement, elle se retourna légèrement pour attraper le chibre fièrement dressé dans son dos, elle devait le serrer trop fort car une main vint se poser sur la sienne, une main complètement trempée de son propre sexe, pour lui faire décoller ses doigts du membre viril.

-Tu me fait mal mon cœur, chuchota-il dans un souffre rauque.

-Fais-moi jouir, cria-elle sans le vouloir, toujours noyée dans le méandre d'un plaisir dont elle ne voyait plus le bout.

Il bougea sur le lit, glissant son sexe entre les cuisses de sa belle. Il lui écarta les jambes puis remonta un peu sur le lit pour que sa verge touche entièrement la moiteur de sa compagne. Il détacha ses lèvres pour venir y caller son membre et amorça de léger va et vient sans jamais la pénétrer. Son gland stimulait son clitoris quand il ne s'enfoncait pas dans ces chairs intimes, entraînant une légère pénétration qu'il s'empressait d'arrêter. Le jeu dura ainsi cinq minutes, elle se cambrait toujours plus, à la recherche de cette pénétration qui ne se faisait pas, alors que lui tenait la base de son sexe pour éviter de voir son gland disparaître entre les plies intimes de sa belle. Il se sentait prêt à se lâcher en elle mais arrêtait tout mouvement quand les choses devenaient incontrôlables. Il tenait à la faire jouir avant lui. Finalement, il arrêta tout mouvement pour placer ses mains sur la vulve. Il maintena d'une main l'écart de ses chairs et de l'autre vint dégager son clitoris dur et tout aussi trempé que le reste. Il n'eut qu'à l'effleurer pour qu'elle sursaute en poussant un crie de jouissance digne d'un film pornographique. Elle se laissa tomber dans un coma post-orgasmique alors que lui attrapait son propre sexe pour le stimuler, tout en le tenant, il se mit à genoux entre les cuisses de sa belle qui n'était toujours pas remise de l'orgasme et passa sa main sur la fente humide de la jeune femme.  Il se pencha sur elle, abaissa le bonnet de son soutien-gorge pour sussoter ses tétons durcis, elle gémit tandis qu'il se masturbait au dessus d'elle tout en continuant de faire tournoyer sa langue. Elle s'abaissa doucement pour atteindre ses testicules qui claquaient contre la main de son homme. Il ne lui fallut que quelques mouvements de plus avant de pousser un râle tout en se déversant sur elle. Il s'écroula par la suite à ses côtés, la main enserrant toujours sa verge qui dégonflait progressivement.

-Je m'occupe des mouchoirs...

Il se leva et fouilla dans la poche de son pantalon pour venir essuyer les traces blanches qui maculaient le ventre de sa compagne.

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Bonsoir à tous !
Je m'excuse pour les (je pense) nombreuses fautes d'orthographes mais je ne suis pas au point sur ça et sur ma grammaire.
Et puis soyez indulgent c'est ma première histoire érotique donc je m'excuse si elle n'est pas tip top mais j'espère m'améliorer avec le temps.
Gros poutous mes petits saucissons fumés. 😉

La beauté des AttributsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant