S1-La tiédeur de leurs chaines

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Quand il s'éveilla, il avait les mains enchaînées, tirant sur une chaîne accrochée au plafond, ses pieds, eux, pendaient mollement sur le sol, ne soutenant plus son corps qu'il savait entièrement nu en vue de la fraîcheur qui venait mordre sa peau sur ses côtes et ses cuisses. Un grand frisson tenta vainement de le réchauffer. Il s'appuya sur ses pieds pour soulager le poids que portait ses poignets en tenant sur ses jambes. Son regard zyeuta la pièce sombre pour tomber sur celui d'une jeune femme dans un coin de la pièce. Assise sur une chaise contre un mur, elle fixait intensément l'entre-jambe de son prisonnier. Se redressant adroitement, elle vint se planter devant lui sans quitter des yeux cette partie de chairs qu'elle convoitait tant.

-Salut mon mignon, ça te dirait de jouer un peu avec moi ?

Elle passa un doigt de son nombril à l'extrémité de sa verge encore au repos. Il gesticula tout en grognant, faisant tinter ses chaînes au-dessus de sa tête.

-Si tu es gentil je te ferais quelques faveurs mon beau.

Les yeux de l'homme jaugèrent sa geôlière d'un regard circulaire et s'attarda sur ses seins qu'on pouvait voire pondirent à travers un tee-shirt rouge et une veste en cuir noire.

-Qu'est-ce que tu regardes mon beau ?

Elle retira sa veste et souleva très sensuellement son tee-shirt pour venir tâter ses seins ronds dont les pointes dures tendaient le tissu de son soutien-gorge. Elle ne lui laissa pas le temps de voir sa poitrine et se retourna en se déhanchant exagérément. Elle se mit à bouger dans des gestes suggestifs tout en retirant son soutien-gorge. Toujours de dos, elle s'attaqua à son jean puis à sa culotte en dentelle. Finissant tout aussi nue que son prisonnier qui sentait son sang se concentrer sur une partie de son anatomie, faisant dresser son membre dur et épais.

De dos, il pouvait voir ses belles fesses rebondies bouger au rythme de ses hanches, sa peau d'albâtre semblant briller comme un phare en pleine nuit. Quand elle se penchait en avant, il pouvait voir sa vulve gonflée qui, d'après la légère brillance, montrait que madame n'était pas insensible à son propre jeu de séduction. Il imaginait bien la pousser vers la chaise, la pencher en avant pour qu'elle est ses deux mains agrippées au dossier, puis glisser ses doigts entre ses chairs intimes pour lubrifier la totalité de sa féminité. Puis il porterait ses doigts à sa bouche pour venir la goûter avant de présenter sa verge et de la pénétrer tout en douceur. Mais la réalité lui revint en pleine face quand il fit un pas en avant, tirant sur ses chaînes qui lui blessaient les poignets. La femme se retourna au grognement qu'il poussa. Il cessa tout mouvement en voyant ses seins nus se balancer alors qu'elle se rapprochait de lui. Son sexe était épilé, laissant à nu ces chairs tentatrices dans lesquels il rêverait de s'enfoncer. Elle gémit quand sa virilité frôla son sexe trempé. Elle recula légèrement. Il regarda son membre tendu vers les lèvres de la femme.

-Tu imagines ma bouche courir sur ta queue ? Je le lècherais de toute sa longueur en m'attardant sur ton extrémité. Puis j'enfoncerais tout ton membre dans ma bouche pour te faire la fellation la plus existante de ta vie.

Il allaitait, son membre frétillait d'excitation, son souffle se faisait irrégulier. Il ne souhaitait qu'une chose, la prendre, là, sur ce sol, brutalement, bruyamment. Sa respiration se coupa quand il sentit une main enserrer sa verge épaisse et brûlante. Cette main alla toucher ses testicules pour les malaxer tandis qu'une autre main vint le branler doucement. Une bouche se referma sur sa clavicule, remontant jusqu'à ses lèvres. Il voyait flou, se concentrant exclusivement sur ces caresses érotiques. Une langue passa la barrière qu'est sa bouche pour venir titiller la sienne. Dans un sursaut incontrôlé, ses hanches s'avancèrent et son sexe tapa contre le ventre de la femme qui accélérait le rythme sur son chibre. La bouche quitta la sienne, pour glisser dans son cou, son torse, son ventre, contournant son nombril tout doucement, puis toujours plus bas, la langue suivit le V puis dériva au dernier moment sur sa hanche droite. Il grogna alors qu'il sentit un sourire se former sur sa cuisse. Son bassin s'inclina encore plus quand les mains lâchèrent sa verge. Les lèvres quittèrent sa cuisse pour longer toute la longueur de sa virilité. Elle exerça une légère pression en aspirant la peau sensible et y laissa une légère trace rouge. Ses lèvres s'écartèrent largement au-dessus de son gland mais passèrent à côté au dernier moment pour lécher en sens inverse.

Il la regardait s'afférer sur son bas-ventre, sespoings se resserraient à chaque passage sur son gland. Il n'eut même pas letemps de fermer les yeux qu'une douce chaleur engloba son membre alors qu'unbruit de déglutition se faisait entendre dans la salle. En baissant son regardil tomba sur les deux orbes appréciatrices qui le fixaient, plus bas, la boucheétait grande ouverte, avalant de moitié son chibre. Elle le suça adroitement ens'aidant de l'une de ses mains. Quand la tension se fit trop grande dans sesreins, il poussa un râle viril en se déversant dans sa bouche. La femme fermales yeux en appréciant son goût sur sa langue. Ses gémissements lui firentbaisser les yeux, là où la seconde main de sa geôlière s'activait sur saféminité. Quand elle s'écarta, il remarqua la flaque de cyprine sur le sol, làoù elle se tenait encore quelques secondes plus tôt. La femme lui releva lementon pour qu'il la regarde avalée son sperme encore chaud. Cette vue le fitgrogner alors qu'elle venait l'embrasser avec dévotion    

Elle enlaça leurs mains et les mis au niveau de leurs yeux. À leurs annulaire, deux bagues en argent identiques luisaient malgré le peu de lumière.
-Je reviendrai te chercher mon chéri. souffla-t-elle en quittant ses lèvres.

Et sur ce, elle l'abandonna dans la pièce sombre, nu, son membre mi-bandé, ses mains attachées au plafond avec comme unique compagnie, une odeur de sexe et les images de ces dernières minutes avec sa femme...

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Bonsoir mes petits choux à la crème! Voici ma seconde invention érotique, on reste toujours sur quelque chose de relativement soft à mon goût mais je cherche encore mes marques. N'hésitez pas à commenter pour me corriger ou pour donner votre avis.

Bisous bisous!

La beauté des AttributsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant