~CHAPITRE 6~

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J'avais l'impression depuis ce fameux jour où je l'aivais revue à l'hôtel, que l'ont me suivais, c'était effrayant. J'en'avais parlé à Évan qui m'avait dit que jétait parano, et Lana m'avait conseillé de faire attention et m'avais même donné une bombe l'Acrimo, et un taser au cas où.

Je me suis même pas poser la question d'où elle avait trouvé tous sa.

Dès que je sortais j'avais la main dans la poche prête à sortir le taser, vous, vous diriez que je suis folle mais, quand on ce sens menacé on prend les précisions.
L'hôtel m'avait demandé de faire des heures supplémentaires, donc de travailler le soir exceptionnellement, car il faisait restauration le soir, un employé était malade.

C'était donc le soir il devait être 19h30 et je commençai le service du soir, je n'avais pas trop de monde, mais assez pour être occupée, je ne vis pas le temps passé, il était 23h j'avais fini de tous ranger, et nettoyer, je me dirigeai vers les vestiaires pour me changer, et pris le chemin de chez moi .

Je me sentais vraiment suivie je regardais dans toutes les directions, d'un coup je pris peur quelqu'un venait de me mettre la main sur la bouche pour m'empêcher de crier ! Je me stoppai terrifier, j'essayai d'attraper les tasers, mais l'inconnu me le prit.

Quand il rapprocha sa bouche de mon oreille et me chuchota

« Je te l'avais dit que j'en avais pas fini avec toi »

Je reconnus cette voix, c'était celle de ce gars que j'avais aspergé d'eau.
Il me lâcha et je pus me retourner vers lui, je leva mon bras pour lui mettre une gifle, mais il l'arrêta juste avant qu'elle atteigne sa joue.

« Hop hop Hop, tu voulais faire quoi là ? » me dit-il sur un ton joueur

« Pourriez-vous le laisser tranquille, j'aimerais rentrer chez moi, je suis fatigué . »

« Non » me répond-il

«Comment sa non ! Mais vous n'êtes pas bien, vous êtes qui pour me dire non ! »
Commençais-Je à m'emporter!

« Je suis Adam Droski et vous qui êtes-vous ? »

« Non mais je rêve, vous êtes tarer mon pauvre, vous n'avez pas besoin de le savoir »lui dis-je

Quand d'un coup je le sentis emporté dans une petite ruelle, il me plaqua aux murs, et me dit.

« Ne jouer pas à sa avec moi! Je vous redemande calmement comment vous appelez-vous ? » me dit-il en contractant sa mâchoire

«Non mais vous avez un sérieux problème» lui repartais-je en le regardant droit dans les yeux,en lui tenant tête, je commençais à avoir peur

« Je veux juste savoir le prénom de la fille que j'ai aidée, alors dit le moi ! »

« Yvie, Yvie BLACK » lui répondis-je

Il me relâcha satisfait sans doute de ma réponse, et le dit.

« Yvie BLACK, jolie prénom, tu es la fille de Mathias Black, je me trompe . »

« Non vous ne vous trompez pas, et je n'ai pas envie de parler de mon père » lui répondis-je énerver

«Comme vous voulez, mais faire attention à vous, Yvie des gens pourrais sans prendre à vous, car votre père n'est pas tout blanc » me dit-il

Je ne vous aie pas parlé de ma famille, j'avais perdu ma mère et mes deux frères aînés dans un conflit entre gangs, mon père en était la cause, c'est à cause de lui il avait cherché la mafia italienne, qui n'avait pas tardé à répliquer, il avait attendu que m'a père parte en conférence pour attaquer la villa où l'on habitait, j'ai tout vu je l'ai ait vu tomber au sol devant moi, leur sang coulais sur le sol, j'étais caché dans une trappe d'aération, juste avant ma mère avais eu un pressentiment et m'avais caché là; mais elle n'a pas t'eut le temps de prévenir mes frères que les coups de feu commençaient. Voilà donc comment vous dire que mon père je n'ai pas envie d'en parler.

Ce sont des choses dont je ne veux pas parler.

« Je sais » luis crachais-je
« maintenant laisser moi tranquille Adam Droski » lui dis-je sur un ton amère

Je le fixai pour lui faire comprendre que j'étais sérieuse.

« Je vous laisse partir cette fois, »me dit-il en s'éloignant dans la ruelle.

Il rajouta en partant « Enchanté Yvie black »

Je partis en courant chez moi.
Me voilà sur ma terrasse à regarder l'océan, les vagues qui éclatent contre les falaises, le soleil se reflétant sur l'eau, cette vue était magnifique. J'étais contente d'être là malgré ce qui sa passe, je suis enfin libre, enfin et oui car je ne suis pas partie de Toulouse par hasard, les ennemies de mon père voulaient sans prendre à moi, tout n'est pas question d'aventure mais plutôt de fuite qui m'a mené ici, même si Biarritz était l'endroit où je voulais aller.

Me voilà à repenser à ma vie d'avant, j'étais beaucoup mieux ici me dis-je toute en regardant l'horizon.

Sur ses belles paroles je partis me coucher en pensant à Adam, pourquoi me suivait-il ? Sur ses pensées je partis dans les bars de Morphée.

TÉNÉBREUX AMOUREUXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant